De nouveaux bombardements ont pris pour cible, vendredi matin, la ville syrienne de Homs (centre), épicentre de la contestation émaillée de violences depuis la mi-mars dernier, ont rapporté les agences de presse, citant des militants syriens. "C'est les bombardements les plus violents depuis 14 jours. C'est incroyable, c'est d'une violence extrême, on n'a jamais connu ça. C'est en moyenne quatre roquettes tirées par minute", a affirmé un membre d'une Commission de la révolution syrienne, cité par les agences. "En plus des quartiers de Baba Amr et d'Al-Inchaat, ceux de Khaldiyé et de Bayyada sont pilonnés vendredi, alors que les bombardements sur ces quartiers n'ont pas été aussi intenses au cours des derniers jours", a-t-il ajouté. Selon ce militant, l'aviation militaire et des avions de reconnaissance survolaient Homs, qualifiant ce déploiement de "sans précédent". Les forces du régime de Bachar Al-Assad bombardent la cité rebelle depuis le 4 février pour tenter d'y étouffer la contestation, émaillée de violences qui ont fait des milliers de morts, selon l'ONU. Damas attribue ces violences à des "gangs armés qui cherchent à déstabiliser le pays", dénonçant un complot étranger". De nouveaux bombardements ont pris pour cible, vendredi matin, la ville syrienne de Homs (centre), épicentre de la contestation émaillée de violences depuis la mi-mars dernier, ont rapporté les agences de presse, citant des militants syriens. "C'est les bombardements les plus violents depuis 14 jours. C'est incroyable, c'est d'une violence extrême, on n'a jamais connu ça. C'est en moyenne quatre roquettes tirées par minute", a affirmé un membre d'une Commission de la révolution syrienne, cité par les agences. "En plus des quartiers de Baba Amr et d'Al-Inchaat, ceux de Khaldiyé et de Bayyada sont pilonnés vendredi, alors que les bombardements sur ces quartiers n'ont pas été aussi intenses au cours des derniers jours", a-t-il ajouté. Selon ce militant, l'aviation militaire et des avions de reconnaissance survolaient Homs, qualifiant ce déploiement de "sans précédent". Les forces du régime de Bachar Al-Assad bombardent la cité rebelle depuis le 4 février pour tenter d'y étouffer la contestation, émaillée de violences qui ont fait des milliers de morts, selon l'ONU. Damas attribue ces violences à des "gangs armés qui cherchent à déstabiliser le pays", dénonçant un complot étranger".