L'Iran a annoncé, lundi 20 février, le lancement de manœuvres anti-aériennes pour défendre ses sites nucléaires, alors qu'une délégation de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) est arrivée tôt dans la matinée à Téhéran pour essayer de trouver une solution diplomatique à la question du programme nucléaire iranien et éclaircir ses zones d'ombre. L'agence officielle INRA, citant un communiqué du commandement de la défense anti-aérienne iranienne, précise que ces opérations dureront quatre jours et auront lieu dans "la moitié sud du pays", bordant, notamment, le Golfe. Ces manœuvres doivent mettrent en œuvre une large panoplie de missiles, les systèmes radar et l'aviation de l'Iran. Elles visent à renforcer la coordination entre les forces dépendant des Gardiens de la révolution, garde prétorienne du régime qui contrôle, notamment, les missiles iraniens, et celles relevant de l'armée traditionnelle, rapporte l'IRNA. Baptisées Sarollah "vengeance de Dieu", elles ont été annoncées alors qu'Israël a multiplié ces dernières semaines les allusions à une possible frappe militaire contre les sites du programme nucléaire iranien. Les Etats-Unis, l'Etat hébreu et plusieurs puissances occidentales s'inquiètent, en dépit des démentis de Téhéran, d'une possible dimension militaire du programme nucléaire iranien, condamné par six résolutions de l'Onu dont quatre assorties de sanctions ensuite renforcées unilatéralement par les pays occidentaux. L'Iran avait pourtant souhaité, dimanche, une reprise rapide des négociations nucléaires avec les grandes puissances, selon son ministre des affaires étrangères, Ali Akbar Salehi. Téhéran "souhaite une reprise rapide des négociations et attend la réponse" du groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) à la lettre envoyée mercredi par le négociateur iranien Saïd Jalili à la chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, a dit le ministre iranien. L'Iran a annoncé, lundi 20 février, le lancement de manœuvres anti-aériennes pour défendre ses sites nucléaires, alors qu'une délégation de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) est arrivée tôt dans la matinée à Téhéran pour essayer de trouver une solution diplomatique à la question du programme nucléaire iranien et éclaircir ses zones d'ombre. L'agence officielle INRA, citant un communiqué du commandement de la défense anti-aérienne iranienne, précise que ces opérations dureront quatre jours et auront lieu dans "la moitié sud du pays", bordant, notamment, le Golfe. Ces manœuvres doivent mettrent en œuvre une large panoplie de missiles, les systèmes radar et l'aviation de l'Iran. Elles visent à renforcer la coordination entre les forces dépendant des Gardiens de la révolution, garde prétorienne du régime qui contrôle, notamment, les missiles iraniens, et celles relevant de l'armée traditionnelle, rapporte l'IRNA. Baptisées Sarollah "vengeance de Dieu", elles ont été annoncées alors qu'Israël a multiplié ces dernières semaines les allusions à une possible frappe militaire contre les sites du programme nucléaire iranien. Les Etats-Unis, l'Etat hébreu et plusieurs puissances occidentales s'inquiètent, en dépit des démentis de Téhéran, d'une possible dimension militaire du programme nucléaire iranien, condamné par six résolutions de l'Onu dont quatre assorties de sanctions ensuite renforcées unilatéralement par les pays occidentaux. L'Iran avait pourtant souhaité, dimanche, une reprise rapide des négociations nucléaires avec les grandes puissances, selon son ministre des affaires étrangères, Ali Akbar Salehi. Téhéran "souhaite une reprise rapide des négociations et attend la réponse" du groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) à la lettre envoyée mercredi par le négociateur iranien Saïd Jalili à la chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, a dit le ministre iranien.