Le président de la République a affirmé hier que l'Algérie plaçait les droits de la femme au centre des préoccupations et des politiques nationales en intégrant dans sa Constitution une nouvelle disposition incitant l'Etat à promouvoir les droits politiques de la femme. L'Algérie "qui s'est engagée dans la consolidation du processus démocratique et la promotion des droits de l'homme, place les droits de la femme au centre des préoccupations et des politiques nationales" à travers des réformes législatives et structurelles profondes, a précisé le président Abdelaziz Bouteflika, dans un message aux participantes aux travaux du Haut conseil de l'Organisation de la femme arabe (OFA), lu en son nom par le secrétaire général de la présidence de la République, Habba El-Okbi. "Ces réformes qui ont touché notamment le régime électoral, le secteur de l'information, les partis et les associations de la société civile, viennent parachever celles réalisées auparavant, à savoir la réforme des structures de l'Etat, de la justice, de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur", a ajouté le chef de l'Etat. Le président de la République n'a pas manqué, à cette occasion, de noter avec satisfaction les acquis réalisés par la femme algérienne dans divers domaines, voulant pour preuve "sa présence dans tous les cycles d'enseignement et sa participation aux différents secteurs d'activité, à la faveur des multiples opportunités d'autonomisation et des divers programmes basés sur le principe de parité effective homme-femme". S'adressant aux participantes, le président Bouteflika a affirmé que les stratégies et programmes arrêtés par l'OFA, en faveur de la réalisation d'objectifs socio-économiques et politiques, "ne trouveront de sens qu'avec votre concours en tant que femmes leaders dans la société arabe sur les pas des pionnières dont les positions courageuses ont marqué le long cheminement de leur lutte, à travers la consécration des droits de la femme, l'élimination de la discrimination de sexe et l'établissement d'une société cohérente". Le chef de l'Etat a rappelé dans son message que "toute consolidation de nos capacités internes propres et tout resserrement de nos rangs, femmes et hommes, est de nature à fortifier la place civilisationnelle de notre nation et conforter notre contribution à l'enrichissement de l'expérience universelle qui tend à dynamiser le rôle de la femme dans la société". Par ailleurs, il a noté qu'"au rythme d'une progression tantôt ascendante tantôt descendante, la femme continue d'avancer d'un pas ferme dans nos sociétés, porteuse des soucis et des espérances de sa nation", indiquant que la génération de novembre avec ses chahidate et ses moudjahidate "est la meilleure preuve de la fidélité de la femme algérienne à son rôle de lutte et de ses sacrifices pour la liberté et la dignité". Tout en saluant en outre la lutte de la femme palestinienne, Bouteflika a affirmé que la rencontre d'Alger "constituera sans nul doute une opportunité pour approfondir la concertation sur les questions qui engagent l'avenir et leur impact positif sur nos sociétés et pays respectifs". Il s'est dit convaincu à ce titre, que grâce à leur compétence et leur mobilisation, les participantes "réussiront à définir les perspectives de l'action future pour contribuer efficacement au développement du monde arabe et partant au développement global qui repose sur le travail et œuvre à consacrer le bien-être du citoyen arabe et la prospérité de la nation". Le président de la République a affirmé hier que l'Algérie plaçait les droits de la femme au centre des préoccupations et des politiques nationales en intégrant dans sa Constitution une nouvelle disposition incitant l'Etat à promouvoir les droits politiques de la femme. L'Algérie "qui s'est engagée dans la consolidation du processus démocratique et la promotion des droits de l'homme, place les droits de la femme au centre des préoccupations et des politiques nationales" à travers des réformes législatives et structurelles profondes, a précisé le président Abdelaziz Bouteflika, dans un message aux participantes aux travaux du Haut conseil de l'Organisation de la femme arabe (OFA), lu en son nom par le secrétaire général de la présidence de la République, Habba El-Okbi. "Ces réformes qui ont touché notamment le régime électoral, le secteur de l'information, les partis et les associations de la société civile, viennent parachever celles réalisées auparavant, à savoir la réforme des structures de l'Etat, de la justice, de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur", a ajouté le chef de l'Etat. Le président de la République n'a pas manqué, à cette occasion, de noter avec satisfaction les acquis réalisés par la femme algérienne dans divers domaines, voulant pour preuve "sa présence dans tous les cycles d'enseignement et sa participation aux différents secteurs d'activité, à la faveur des multiples opportunités d'autonomisation et des divers programmes basés sur le principe de parité effective homme-femme". S'adressant aux participantes, le président Bouteflika a affirmé que les stratégies et programmes arrêtés par l'OFA, en faveur de la réalisation d'objectifs socio-économiques et politiques, "ne trouveront de sens qu'avec votre concours en tant que femmes leaders dans la société arabe sur les pas des pionnières dont les positions courageuses ont marqué le long cheminement de leur lutte, à travers la consécration des droits de la femme, l'élimination de la discrimination de sexe et l'établissement d'une société cohérente". Le chef de l'Etat a rappelé dans son message que "toute consolidation de nos capacités internes propres et tout resserrement de nos rangs, femmes et hommes, est de nature à fortifier la place civilisationnelle de notre nation et conforter notre contribution à l'enrichissement de l'expérience universelle qui tend à dynamiser le rôle de la femme dans la société". Par ailleurs, il a noté qu'"au rythme d'une progression tantôt ascendante tantôt descendante, la femme continue d'avancer d'un pas ferme dans nos sociétés, porteuse des soucis et des espérances de sa nation", indiquant que la génération de novembre avec ses chahidate et ses moudjahidate "est la meilleure preuve de la fidélité de la femme algérienne à son rôle de lutte et de ses sacrifices pour la liberté et la dignité". Tout en saluant en outre la lutte de la femme palestinienne, Bouteflika a affirmé que la rencontre d'Alger "constituera sans nul doute une opportunité pour approfondir la concertation sur les questions qui engagent l'avenir et leur impact positif sur nos sociétés et pays respectifs". Il s'est dit convaincu à ce titre, que grâce à leur compétence et leur mobilisation, les participantes "réussiront à définir les perspectives de l'action future pour contribuer efficacement au développement du monde arabe et partant au développement global qui repose sur le travail et œuvre à consacrer le bien-être du citoyen arabe et la prospérité de la nation".