La secrétaire d'Etat américaine, Mme Hillary Clinton, a affirmé, hier, à Alger que les Etats-Unis appréciaient les réflexions et les opinions de l'Algérie sur les différents événements dans la région. La secrétaire d'Etat américaine, Mme Hillary Clinton, a affirmé, hier, à Alger que les Etats-Unis appréciaient les réflexions et les opinions de l'Algérie sur les différents événements dans la région. «Les Etats-Unis apprécient les réflexions et les opinions algériennes" sur les différents événements dans la région, a déclaré Mme Clinton à son arrivée à Alger. Elle a ajouté que son pays et l'Algérie entretiennent "un dialogue permanent dans tous les domaines", soulignant que sa visite a pour objectif de renforcer la coopération entre Alger et Washington. «Je suis ici pour discuter du renforcement de la coopération bilatérale et échanger les idées sur le événements qui se déroulent actuellement dans la région", a-t-elle dit. Mme Clinton a indiqué que les relations algéro-américaines, qui existent depuis très longtemps, "sont bonnes, s'approfondissent et évoluent". Par ailleurs, interrogée sur le "financement de partis islamistes par les Etats-Unis", la chef de la diplomatie américaine a réfuté cette affirmation. «Nous ne finançons aucun parti politique dans le monde, toutefois nous proposons de travailler avec les partis pour échanger des idées et donner un soutien en ce qui concerne l'organisation d'élections pour pouvoir assurer un scrutin libre, équitable et crédible", a-t-elle précisé. A propos des prochaines élections en Algérie, Mme Clinton a fait part de la disponibilité de son pays à apporter une assistance technique. "Si on nous le demande, nous entrerons en contact avec des groupes d'experts pour qu'ils travaillent avec les autorités en Algérie pour appuyer les élections", a-t-elle ajouté. En début d'après-midi, La secrétaire d'Etat américaine a déclaré dans une rencontre avec la presse que l'Algérie doit occuper la place "qui lui sied" dans le concert des nations. «L'Algérie, qui fête ses 50 années d'indépendance, doit occuper la place qui lui sied pour les 50 ans à venir, avec un programme de développement en faveur de la société", a-t-elle dit à l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique à Alger, devant la presse et des membres de la société civile, notamment des diplômés des écoles et universités américaines. Pour Mme Clinton, les Etats-Unis doivent soutenir ce programme de développement qui "privilégie le dialogue entre le gouvernement, la société civile et le monde de l'économie". Se faisant plus précise dans ses propos, l'invitée de l'Algérie explique que le peuple algérien est, comme le reste des peuples du Maghreb, "talentueux et travaillent dur. Une raison pour laquelle ils méritent l'opportunité de prendre les décisions eux-mêmes sur ce qui les concerne». La secrétaire d'Etat américaine, étaient arrivée dans la matinée d'hier à Alger pour une visite de travail à l'invitation de son homologue algérien, Mourad Medelci. Mme Clinton a été accueillie à son arrivée à l'aéroport international Houari-Boumediene par M. Medelci. Les entretiens qu'a eue Mme Clinton lors de sa visite en Algérie porteront sur "la consolidation de la relation bilatérale multiforme qui lie les deux pays sur le train des réformes politiques profondes en cours dans notre pays", avait indiqué le ministère des Affaires étrangères. Ils ont porté également sur "certaines questions de l'actualité régionale et internationale d'intérêt commun, telles que la conjoncture qui prévaut dans certaines parties du monde arabe, la relance de l'intégration régionale au Maghreb, la situation sécuritaire au Sahel et la lutte internationale contre le terrorisme et ses connexions". La première visite de Mme Clinton en Algérie, qui fait suite à celle effectuée en janvier dernier à Washington par M. Medelci, consacre la dynamique de consolidation des liens bilatéraux, que traduisent les visites devenues plus fréquentes des hauts responsables américains en Algérie. L'Algérie s'apprête à la tenue d'élections législatives en mai prochain, tout en initiant de plus vastes réformes politiques dans le cadre du parachèvement de l'édifice démocratique. Les Etats-Unis ont salué cette démarche tout en félicitant le gouvernement algérien des efforts engagés dans ce sens. Sur le plan bilatéral, la lutte contre le terrorisme constitue un des pivots du partenariat entre l'Algérie et les Etats-Unis qui, à maintes reprises, ont salué les efforts déployés par l'Algérie, perçue par la partie américaine comme un partenaire incontournable dans la lutte contre ce fléau notamment dans la région du Sahel. Dans le domaine économique, les Etats-Unis continuent à occuper le rang de premier client de l'Algérie qui est classée, selon le département américain du Commerce, parmi les 20 premiers pays ayant une balance commerciale excédentaire avec les Etats-Unis. La dernière visite effectuée par un chef de la diplomatie américaine (Condoleezza Rice) en Algérie remonte à septembre en 2008, après celle de son prédécesseur, Colin Powell, en décembre 2003. «Les Etats-Unis apprécient les réflexions et les opinions algériennes" sur les différents événements dans la région, a déclaré Mme Clinton à son arrivée à Alger. Elle a ajouté que son pays et l'Algérie entretiennent "un dialogue permanent dans tous les domaines", soulignant que sa visite a pour objectif de renforcer la coopération entre Alger et Washington. «Je suis ici pour discuter du renforcement de la coopération bilatérale et échanger les idées sur le événements qui se déroulent actuellement dans la région", a-t-elle dit. Mme Clinton a indiqué que les relations algéro-américaines, qui existent depuis très longtemps, "sont bonnes, s'approfondissent et évoluent". Par ailleurs, interrogée sur le "financement de partis islamistes par les Etats-Unis", la chef de la diplomatie américaine a réfuté cette affirmation. «Nous ne finançons aucun parti politique dans le monde, toutefois nous proposons de travailler avec les partis pour échanger des idées et donner un soutien en ce qui concerne l'organisation d'élections pour pouvoir assurer un scrutin libre, équitable et crédible", a-t-elle précisé. A propos des prochaines élections en Algérie, Mme Clinton a fait part de la disponibilité de son pays à apporter une assistance technique. "Si on nous le demande, nous entrerons en contact avec des groupes d'experts pour qu'ils travaillent avec les autorités en Algérie pour appuyer les élections", a-t-elle ajouté. En début d'après-midi, La secrétaire d'Etat américaine a déclaré dans une rencontre avec la presse que l'Algérie doit occuper la place "qui lui sied" dans le concert des nations. «L'Algérie, qui fête ses 50 années d'indépendance, doit occuper la place qui lui sied pour les 50 ans à venir, avec un programme de développement en faveur de la société", a-t-elle dit à l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique à Alger, devant la presse et des membres de la société civile, notamment des diplômés des écoles et universités américaines. Pour Mme Clinton, les Etats-Unis doivent soutenir ce programme de développement qui "privilégie le dialogue entre le gouvernement, la société civile et le monde de l'économie". Se faisant plus précise dans ses propos, l'invitée de l'Algérie explique que le peuple algérien est, comme le reste des peuples du Maghreb, "talentueux et travaillent dur. Une raison pour laquelle ils méritent l'opportunité de prendre les décisions eux-mêmes sur ce qui les concerne». La secrétaire d'Etat américaine, étaient arrivée dans la matinée d'hier à Alger pour une visite de travail à l'invitation de son homologue algérien, Mourad Medelci. Mme Clinton a été accueillie à son arrivée à l'aéroport international Houari-Boumediene par M. Medelci. Les entretiens qu'a eue Mme Clinton lors de sa visite en Algérie porteront sur "la consolidation de la relation bilatérale multiforme qui lie les deux pays sur le train des réformes politiques profondes en cours dans notre pays", avait indiqué le ministère des Affaires étrangères. Ils ont porté également sur "certaines questions de l'actualité régionale et internationale d'intérêt commun, telles que la conjoncture qui prévaut dans certaines parties du monde arabe, la relance de l'intégration régionale au Maghreb, la situation sécuritaire au Sahel et la lutte internationale contre le terrorisme et ses connexions". La première visite de Mme Clinton en Algérie, qui fait suite à celle effectuée en janvier dernier à Washington par M. Medelci, consacre la dynamique de consolidation des liens bilatéraux, que traduisent les visites devenues plus fréquentes des hauts responsables américains en Algérie. L'Algérie s'apprête à la tenue d'élections législatives en mai prochain, tout en initiant de plus vastes réformes politiques dans le cadre du parachèvement de l'édifice démocratique. Les Etats-Unis ont salué cette démarche tout en félicitant le gouvernement algérien des efforts engagés dans ce sens. Sur le plan bilatéral, la lutte contre le terrorisme constitue un des pivots du partenariat entre l'Algérie et les Etats-Unis qui, à maintes reprises, ont salué les efforts déployés par l'Algérie, perçue par la partie américaine comme un partenaire incontournable dans la lutte contre ce fléau notamment dans la région du Sahel. Dans le domaine économique, les Etats-Unis continuent à occuper le rang de premier client de l'Algérie qui est classée, selon le département américain du Commerce, parmi les 20 premiers pays ayant une balance commerciale excédentaire avec les Etats-Unis. La dernière visite effectuée par un chef de la diplomatie américaine (Condoleezza Rice) en Algérie remonte à septembre en 2008, après celle de son prédécesseur, Colin Powell, en décembre 2003.