Le président de l'Université de la formation continue et président du Conseil scientifique, Abdeldjebar Lemnouar, nous explique les objectifs à court terme de cette institution et souligne la qualité et l'importance des enseignements qui y sont dispensés aux fonctionnaires et aux cadres de la Fonction publique. Le président de l'Université de la formation continue et président du Conseil scientifique, Abdeldjebar Lemnouar, nous explique les objectifs à court terme de cette institution et souligne la qualité et l'importance des enseignements qui y sont dispensés aux fonctionnaires et aux cadres de la Fonction publique. Midi Libre : Quel est l'objectif essentiel de la rencontre relative au conseil scientifique ? Abdeldjebbar Lemnouar : Il s'agit d'une rencontre ordinaire en vertu des textes de l'UFC et du conseil scientifique stipulant qu'il doit y avoir deux réunions par an. Donc, c'est la première rencontre de l'année 2012 destinée à passer en revue le bilan du premier semestre 2011-2012. En effet, l'UFC a un plan de charges très dense s'appuyant sur le programme du gouvernement pour la formation de 78.000 enseignants de l'éducation nationale. Il existe une formation de PEM en LMD à l'UFC pour toutes les filières existant donc dans les CEM, à savoir physique, chimie, mathématiques langues, technologies, histoire et géographie, ainsi que l'arabe. Ce programme se termine en 2015. L'UFC a 3 paliers d'enseignement de pré graduation, l'équivalent du baccalauréat avec une moyenne de 40.000 à 50.000 candidats et la post-graduation pour les bacheliers ou ceux ayant passé des examens à l'UFC et dont le nombre est de l'ordre de 80.000 personnes. Nous avons également la post graduation spécialisée. Existe-t-il d'autres types de formations supérieures ? Oui, il y a la formation des cadres de la Fonction publique dont le nombre s'élève à 587.000 personnes, nous leur avons assuré la formation en ligne. Par ailleurs, il existe une plate-forme de formation et d'enseignement dédiée à la population dont des informations pratiques peuvent être consultées sur le site www.efad.ufc.dz. Il s'agit d'une plate-forme dédiée aux enseignants de l'éducation nationale et de la Fonction publique. Nous allons à la troisième post graduation en intelligence économique et nous sommes la seule institution d'enseignement supérieure qui dispense ce type d'enseignement tandis que nous sommes également conventionnés avec le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion des investissements. Par ailleurs, l'UFC dispose d'une émission télévision de 90 minutes hebdomadaires, le vendredi, de 10 h 30 à 12 h et d'une émission radio de l'UFC qui émet chaque jour de 13 h à 17 h. Les diplômes de l'UFC sont-ils prisés sur le marché du travail ? Bien sûr. Plus de 60 % des gens qui sont déjà des fonctionnaires viennent pour préparer des diplômes et les 40 % restants trouvent aussi leur compte. Il existe donc une adéquation entre la formation et l'emploi. Nous formons des cadres de banques et du secteur immobilier. L'Université de la formation continue est une université nationale dont le siège est situé à Dély Brahim en disposant de 53 centres de formation en Algérie. Midi Libre : Quel est l'objectif essentiel de la rencontre relative au conseil scientifique ? Abdeldjebbar Lemnouar : Il s'agit d'une rencontre ordinaire en vertu des textes de l'UFC et du conseil scientifique stipulant qu'il doit y avoir deux réunions par an. Donc, c'est la première rencontre de l'année 2012 destinée à passer en revue le bilan du premier semestre 2011-2012. En effet, l'UFC a un plan de charges très dense s'appuyant sur le programme du gouvernement pour la formation de 78.000 enseignants de l'éducation nationale. Il existe une formation de PEM en LMD à l'UFC pour toutes les filières existant donc dans les CEM, à savoir physique, chimie, mathématiques langues, technologies, histoire et géographie, ainsi que l'arabe. Ce programme se termine en 2015. L'UFC a 3 paliers d'enseignement de pré graduation, l'équivalent du baccalauréat avec une moyenne de 40.000 à 50.000 candidats et la post-graduation pour les bacheliers ou ceux ayant passé des examens à l'UFC et dont le nombre est de l'ordre de 80.000 personnes. Nous avons également la post graduation spécialisée. Existe-t-il d'autres types de formations supérieures ? Oui, il y a la formation des cadres de la Fonction publique dont le nombre s'élève à 587.000 personnes, nous leur avons assuré la formation en ligne. Par ailleurs, il existe une plate-forme de formation et d'enseignement dédiée à la population dont des informations pratiques peuvent être consultées sur le site www.efad.ufc.dz. Il s'agit d'une plate-forme dédiée aux enseignants de l'éducation nationale et de la Fonction publique. Nous allons à la troisième post graduation en intelligence économique et nous sommes la seule institution d'enseignement supérieure qui dispense ce type d'enseignement tandis que nous sommes également conventionnés avec le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion des investissements. Par ailleurs, l'UFC dispose d'une émission télévision de 90 minutes hebdomadaires, le vendredi, de 10 h 30 à 12 h et d'une émission radio de l'UFC qui émet chaque jour de 13 h à 17 h. Les diplômes de l'UFC sont-ils prisés sur le marché du travail ? Bien sûr. Plus de 60 % des gens qui sont déjà des fonctionnaires viennent pour préparer des diplômes et les 40 % restants trouvent aussi leur compte. Il existe donc une adéquation entre la formation et l'emploi. Nous formons des cadres de banques et du secteur immobilier. L'Université de la formation continue est une université nationale dont le siège est situé à Dély Brahim en disposant de 53 centres de formation en Algérie.