Les activités commerciales, notamment le fonctionnement des marchés de gros, les grandes surfaces ou les hypermarchés, et même les marchés hebdomadaires de voitures et les halles à marée seront dorénavant réglementées. Les activités commerciales, notamment le fonctionnement des marchés de gros, les grandes surfaces ou les hypermarchés, et même les marchés hebdomadaires de voitures et les halles à marée seront dorénavant réglementées. Abdelaziz Ait Abderrahmane, directeur général de la régulation des activités et de la réglementation au ministère du Commerce, qui était, hier, l'invité de la Radio nationale chaîne III a indiqué que cette nouvelle réglementation va en fait organiser les espaces commerciaux et mieux encadrer le commerce de gros. Le décret exécutif, déjà approuvé par le gouvernement et signé par le Premier ministre, devrait être prochainement publié au Journal officiel, a-t-il précisé. Selon M. Ait Abderrahmane, ce nouveau texte vise à organiser davantage les structures commerciales, notamment les marchés de gros de fruits et de légumes, de produits agroalimentaires, des produits industriels de même que les marchés couverts de proximité de détail de fruits et de légumes, les marchés de voitures, et pour la première fois les pêcheries et autres poissonneries. Les marchés couverts de quartiers, préexistants ou nouveaux, seront ainsi mieux réglementés, avec une notable amélioration des activités commerciales et un contrôle permanent autant de la qualité que des prix des produits proposés à la vente. Ce nouveau texte a été élaboré dans le but de remédier à ''la situation critique qui caractérise la gestion, l'organisation, le fonctionnement et l'état général dans lesquels sont exercées les activités au sein des marchés'', avait indiqué la semaine dernière lors d'un point de presse M. Ait Abderrahmane, qui a affirmé qu'il s'agit ''d'assainir les circuits de distribution'' et d'asseoir de nouvelles règles régissant, par exemple, les marchés hebdomadaires de véhicules d'occasion. Autre nouveauté introduite par ce décret exécutif : la possibilité de création de marchés de gros spécialisés tels que les marchés de gros de produits agroalimentaires et ceux dédiés aux produits industriels et de voitures. Il existe en Algérie 1.597 marchés dont 43 dédiés au commerce de gros de fruits et de légumes, 654 de détail et 623 sont des marchés hebdomadaires, mais mal répartis à travers le territoire national, particulièrement pour les marchés de gros pour les produits agricoles frais, selon le même responsable. ''La concentration de ces marchés est au niveau des grands pôles urbains du nord du pays. Et il n'existe pas de marchés de gros dans un certain nombre de wilayas comme Oum El Bouaghi, Tissemsilt, Ain Defla, Illizi et Bouira'', a-t-il relevé, ajoutant que les marchés de gros, souvent gérés par les collectivités locales, souffrent de nombreux dysfonctionnements. Le nombre de marchés de gros à travers le territoire national est insuffisant, selon des walis, et le ''minima'' de ces structures commerciales, selon des cadres du ministère du Commerce, est de 3.000 marchés brassant l'ensemble des activités agricoles, industriellles et de service, d'habillement et d'ameublement. Détaillant par ailleurs le contenu du nouveau décret exécutif, M. Ait Abderrahmane a expliqué que la nouvelle législation stipule que ''les marchés de gros doivent être aménagés en carreaux et/ou locaux qui peuvent faire l'objet de cession ou de location au profit d'opérateurs économiques ayant le statut de personnes physiques ou morales et habilités à effectuer des opérations d'achat et de vente en gros''. A ce titre, seuls les mandataires grossistes, les collecteurs livreurs des produits agricoles, ainsi que les prestataires de services sont autorisés à effectuer des transactions commerciales au stade de gros, selon ce projet de décret dont l'article 16 stipule que ''la gestion des marchés de gros peut être assurée par toute personnes physique ou morale de droit public ou de droit privé''. Abdelaziz Ait Abderrahmane, directeur général de la régulation des activités et de la réglementation au ministère du Commerce, qui était, hier, l'invité de la Radio nationale chaîne III a indiqué que cette nouvelle réglementation va en fait organiser les espaces commerciaux et mieux encadrer le commerce de gros. Le décret exécutif, déjà approuvé par le gouvernement et signé par le Premier ministre, devrait être prochainement publié au Journal officiel, a-t-il précisé. Selon M. Ait Abderrahmane, ce nouveau texte vise à organiser davantage les structures commerciales, notamment les marchés de gros de fruits et de légumes, de produits agroalimentaires, des produits industriels de même que les marchés couverts de proximité de détail de fruits et de légumes, les marchés de voitures, et pour la première fois les pêcheries et autres poissonneries. Les marchés couverts de quartiers, préexistants ou nouveaux, seront ainsi mieux réglementés, avec une notable amélioration des activités commerciales et un contrôle permanent autant de la qualité que des prix des produits proposés à la vente. Ce nouveau texte a été élaboré dans le but de remédier à ''la situation critique qui caractérise la gestion, l'organisation, le fonctionnement et l'état général dans lesquels sont exercées les activités au sein des marchés'', avait indiqué la semaine dernière lors d'un point de presse M. Ait Abderrahmane, qui a affirmé qu'il s'agit ''d'assainir les circuits de distribution'' et d'asseoir de nouvelles règles régissant, par exemple, les marchés hebdomadaires de véhicules d'occasion. Autre nouveauté introduite par ce décret exécutif : la possibilité de création de marchés de gros spécialisés tels que les marchés de gros de produits agroalimentaires et ceux dédiés aux produits industriels et de voitures. Il existe en Algérie 1.597 marchés dont 43 dédiés au commerce de gros de fruits et de légumes, 654 de détail et 623 sont des marchés hebdomadaires, mais mal répartis à travers le territoire national, particulièrement pour les marchés de gros pour les produits agricoles frais, selon le même responsable. ''La concentration de ces marchés est au niveau des grands pôles urbains du nord du pays. Et il n'existe pas de marchés de gros dans un certain nombre de wilayas comme Oum El Bouaghi, Tissemsilt, Ain Defla, Illizi et Bouira'', a-t-il relevé, ajoutant que les marchés de gros, souvent gérés par les collectivités locales, souffrent de nombreux dysfonctionnements. Le nombre de marchés de gros à travers le territoire national est insuffisant, selon des walis, et le ''minima'' de ces structures commerciales, selon des cadres du ministère du Commerce, est de 3.000 marchés brassant l'ensemble des activités agricoles, industriellles et de service, d'habillement et d'ameublement. Détaillant par ailleurs le contenu du nouveau décret exécutif, M. Ait Abderrahmane a expliqué que la nouvelle législation stipule que ''les marchés de gros doivent être aménagés en carreaux et/ou locaux qui peuvent faire l'objet de cession ou de location au profit d'opérateurs économiques ayant le statut de personnes physiques ou morales et habilités à effectuer des opérations d'achat et de vente en gros''. A ce titre, seuls les mandataires grossistes, les collecteurs livreurs des produits agricoles, ainsi que les prestataires de services sont autorisés à effectuer des transactions commerciales au stade de gros, selon ce projet de décret dont l'article 16 stipule que ''la gestion des marchés de gros peut être assurée par toute personnes physique ou morale de droit public ou de droit privé''.