Ainsi en est-il de cette coalition d'islamistes dite de «l'Algérie verte» formée par le MSP, Ennahda et El Islah, qui a animé hier un meeting à la salle Harcha à Alger. Le plus vieux parti de l'opposition, le FFS, en l'occurrence, a quant à lui, organisé au cours de la même journée à la salle Sierra Maestra, à Alger, une rencontre de présentation de ses têtes de listes à la députation. Le MPA (Mouvement populaire algérien) d'Amara Benyounès a choisi le cadre de l'hôtel Ryad de Sidi-Fredj pour organiser, jeudi, une rencontre de présentation de ses candidats têtes de listes. Selon Benyounès, son parti fera «30 propositions visant à opérer le changement pacifique de manière à trouver des solutions à certains problèmes sociaux». Le chef du MPA a fustigé la pratique qui consiste à monnayer les listes électorales, à laquelle recourent certains partis. Il a appelé «la justice à sanctionner ces dépassements et à ouvrir des enquêtes judiciaires». Benyounès a exprimé son regret de ne pas voir les démocrates réussir à nouer une alliance alors que «les partis de la mouvance islamiste» sont parvenus à le faire. Le tout nouveau PLJ (Parti de la liberté et de la justice) n'est pas en reste. Son président, Mohamed Saïd, a été l'hôte ce jeudi de Yellel, au nord de Relizane où il a plaidé pour l'établissement d'un diagnostic de l'économie nationale afin de dégager une stratégie à long terme. L'action politique, selon lui, "devrait se baser sur l'esprit de sacrifice". Il a dénoncé "ceux qui associent l'acte politique au business et se tiennent prêts à trahir la confiance placée en eux pour ne s'occuper que de leurs propres intérêts». Mohamed Saïd a appelé à une "distribution équitable» des richesses et la consolidation de l'Etat de droit. De son côté, le Front national algérien (FNA) a annoncé jeudi qu'il participera lors des prochaines joutes avec 604 candidats représentant 48 wilayas. 199 femmes figurent parmi les candidats, a précisé Moussa Touati, président du FNA. Selon ce dernier les prochaines législatives seront «décisives et différentes» des autres. «Çe sera l'opportunité pour épargner à l'Algérie de tomber dans la spirale de la violence et l'anarchie», a indiqué le président de ce parti. « "Nous nous écarterons des surenchères et des promesses mensongères", a-t-il promis. Et d'ajouter : «Notre campagne ne se limitera pas uniquement aux meetings programmés dans 43 wilayas, mais prévoit également des rencontres de proximité pour expliquer le programme du FNA.». Touati n'a pas caché sa déception envers l'administration qui selon lui «n'a pas pu s'adapter aux changements qu'a connus la société algérienne, ni au discours du président de la République et aux réformes que celui-ci a initiées". Pour lui l'administration devrait être «dessaisie de certains aspects techniques, notamment en ce qui concerne le contenu du bulletin de vote, alors que la campagne électorale est toute proche". Ainsi en est-il de cette coalition d'islamistes dite de «l'Algérie verte» formée par le MSP, Ennahda et El Islah, qui a animé hier un meeting à la salle Harcha à Alger. Le plus vieux parti de l'opposition, le FFS, en l'occurrence, a quant à lui, organisé au cours de la même journée à la salle Sierra Maestra, à Alger, une rencontre de présentation de ses têtes de listes à la députation. Le MPA (Mouvement populaire algérien) d'Amara Benyounès a choisi le cadre de l'hôtel Ryad de Sidi-Fredj pour organiser, jeudi, une rencontre de présentation de ses candidats têtes de listes. Selon Benyounès, son parti fera «30 propositions visant à opérer le changement pacifique de manière à trouver des solutions à certains problèmes sociaux». Le chef du MPA a fustigé la pratique qui consiste à monnayer les listes électorales, à laquelle recourent certains partis. Il a appelé «la justice à sanctionner ces dépassements et à ouvrir des enquêtes judiciaires». Benyounès a exprimé son regret de ne pas voir les démocrates réussir à nouer une alliance alors que «les partis de la mouvance islamiste» sont parvenus à le faire. Le tout nouveau PLJ (Parti de la liberté et de la justice) n'est pas en reste. Son président, Mohamed Saïd, a été l'hôte ce jeudi de Yellel, au nord de Relizane où il a plaidé pour l'établissement d'un diagnostic de l'économie nationale afin de dégager une stratégie à long terme. L'action politique, selon lui, "devrait se baser sur l'esprit de sacrifice". Il a dénoncé "ceux qui associent l'acte politique au business et se tiennent prêts à trahir la confiance placée en eux pour ne s'occuper que de leurs propres intérêts». Mohamed Saïd a appelé à une "distribution équitable» des richesses et la consolidation de l'Etat de droit. De son côté, le Front national algérien (FNA) a annoncé jeudi qu'il participera lors des prochaines joutes avec 604 candidats représentant 48 wilayas. 199 femmes figurent parmi les candidats, a précisé Moussa Touati, président du FNA. Selon ce dernier les prochaines législatives seront «décisives et différentes» des autres. «Çe sera l'opportunité pour épargner à l'Algérie de tomber dans la spirale de la violence et l'anarchie», a indiqué le président de ce parti. « "Nous nous écarterons des surenchères et des promesses mensongères", a-t-il promis. Et d'ajouter : «Notre campagne ne se limitera pas uniquement aux meetings programmés dans 43 wilayas, mais prévoit également des rencontres de proximité pour expliquer le programme du FNA.». Touati n'a pas caché sa déception envers l'administration qui selon lui «n'a pas pu s'adapter aux changements qu'a connus la société algérienne, ni au discours du président de la République et aux réformes que celui-ci a initiées". Pour lui l'administration devrait être «dessaisie de certains aspects techniques, notamment en ce qui concerne le contenu du bulletin de vote, alors que la campagne électorale est toute proche".