Le baril de pétrole Brent s'échangeait vendredi à plus de 121 dollars en fin d'échanges européens, dans un marché pénalisé par un nouveau ralentissement de la croissance en Chine, deuxième pays consommateur de brut au monde. Vers 16H00 GMT (18H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai, dont c'est le dernier jour de cotation, s'échangeait à 121,28 dollars, en baisse de 43 cents par rapport à la clôture de jeudi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 63 cents à 103,01 dollars. La Chine a annoncé vendredi sa croissance trimestrielle la plus faible en près de trois ans sous l'effet de la crise de la dette en Europe. Le produit intérieur brut (PIB) de la deuxième économie mondiale a augmenté au premier trimestre de 8,1% sur un an, son plus bas niveau depuis 2009. Par ailleurs, la prudence des investisseurs était renforcée par le ralentissement en mars de la hausse des prix aux Etats-Unis, du fait principalement d'un net ralentissement de la progression des prix de l'essence. En outre, l'annonce d'une baisse plus forte que prévu de l'indice de confiance des consommateurs américains en avril a ravivé les craintes sur la demande énergétique des Etats-Unis. Sur le plan de l'offre, les analystes estiment que le regard du marché allait se fixer sur la rencontre prévue début de la semaine prochaine entre l'Iran et les représentants du forum des 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, Grande-Bretagne, France et Allemagne). Les opérateurs continuent de redouter des perturbations de l'offre de brut au Moyen-Orient en raison des sanctions internationales contre l'Iran, accusé par les Occidentaux de développer un programme nucléaire à visée militaire. Le baril de pétrole Brent s'échangeait vendredi à plus de 121 dollars en fin d'échanges européens, dans un marché pénalisé par un nouveau ralentissement de la croissance en Chine, deuxième pays consommateur de brut au monde. Vers 16H00 GMT (18H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai, dont c'est le dernier jour de cotation, s'échangeait à 121,28 dollars, en baisse de 43 cents par rapport à la clôture de jeudi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 63 cents à 103,01 dollars. La Chine a annoncé vendredi sa croissance trimestrielle la plus faible en près de trois ans sous l'effet de la crise de la dette en Europe. Le produit intérieur brut (PIB) de la deuxième économie mondiale a augmenté au premier trimestre de 8,1% sur un an, son plus bas niveau depuis 2009. Par ailleurs, la prudence des investisseurs était renforcée par le ralentissement en mars de la hausse des prix aux Etats-Unis, du fait principalement d'un net ralentissement de la progression des prix de l'essence. En outre, l'annonce d'une baisse plus forte que prévu de l'indice de confiance des consommateurs américains en avril a ravivé les craintes sur la demande énergétique des Etats-Unis. Sur le plan de l'offre, les analystes estiment que le regard du marché allait se fixer sur la rencontre prévue début de la semaine prochaine entre l'Iran et les représentants du forum des 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, Grande-Bretagne, France et Allemagne). Les opérateurs continuent de redouter des perturbations de l'offre de brut au Moyen-Orient en raison des sanctions internationales contre l'Iran, accusé par les Occidentaux de développer un programme nucléaire à visée militaire.