Le chef de la mission d'observation électorale de l'Union européenne (UE) en Algérie, José Ignacio Salafranca, a déclaré, hier à Alger, que «leur présence, dans notre pays, répond de l'importance que l'UE donne à ses relations avec l'Algérie». Evoquant le but de leur mission, le chef de la mission a tenu à préciser qu'«il n'est pas question d'interférer mais d'accompagner le processus entamé en Algérie par les autorités du pays». «Notre travail vise à identifier les points forts et faibles pour ensuite établir un rapport que nous allons présenter aux autorités algériennes», a-t-il dit. Le chef de la mission d'observation électorale de l'Union européenne (UE) en Algérie, José Ignacio Salafranca, a déclaré, hier à Alger, que «leur présence, dans notre pays, répond de l'importance que l'UE donne à ses relations avec l'Algérie». Evoquant le but de leur mission, le chef de la mission a tenu à préciser qu'«il n'est pas question d'interférer mais d'accompagner le processus entamé en Algérie par les autorités du pays». «Notre travail vise à identifier les points forts et faibles pour ensuite établir un rapport que nous allons présenter aux autorités algériennes», a-t-il dit. José Ignacio Salafranca a confirmé que le nombre d'observateurs qui seront présents pour ces élections va de 150 à 160 personnes au total. Il dira que le chef de la mission est assisté de neuf (9) experts basés à Alger et qui ont entamé leur mission le 30 mars dernier. Quarante (40) observateurs de longue durée (OLD) sont déjà arrivés le 10 avril dernier afin de suivre l'ensemble du processus électoral. Soixante (60) autres observateurs de courte durée viendront renforcer le dispositif dès le début du mois de mai prochain, a-t-il annoncé. Il indiquera, également, qu'une délégation du Parlement européen est attendue prochainement. Cette délégation composée de sept (7) membres se joindra au reste du groupe de la mission le 7 mai, a-t-il fait savoir. Le jour du scrutin, a-t-il ajouté, des observateurs issus des membres du personnel diplomatique des Etats membres de l'UE renforceront le dispositif déjà en place. Selon lui, un intérêt particulier est porté par les observateurs de longue durée (OLD) sur les différentes étapes du processus électoral et ce, de l'ouverture de la campagne jusqu'à la déclaration finale des résultats. L'environnement médiatique, les préparatifs électoraux et le déroulement du scrutin feront l'objet d'observation, a-t-il dit. Les premières conclusions relatives à l'observation des élections seront communiquées à travers une déclaration qui sera rendue publique lors d'une conférence de presse prévue pour les jours suivant le scrutin, a-t-il indiqué. A propos de ses entretiens avec les responsables du gouvernement, notamment le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, le chef de la mission d'observateurs de l'UE a souligné que «j'ai rencontré le ministre de l'Intérieur qui a mis tous les moyens nécessaires pour faciliter et faire réussir notre mission». Il rappellera, entre autres, que «notre présence vise à apporter une transparence et n'avons nullement l'intention de nous imposer». Selon les précisions du MAE, «la prolongation de la mission de l'UE au-delà du 10 mai intervient en application de la méthode de surveillance des élections par l'UE qui prévoit un déploiement d'observateurs pendant trois mois, avant et après les scrutins». Par ailleurs, à noter que le scrutin du 10 mai prochain sera suivi par plus de 500 observateurs internationaux, dont 160 observateurs de l'Union Européenne. José Ignacio Salafranca a confirmé que le nombre d'observateurs qui seront présents pour ces élections va de 150 à 160 personnes au total. Il dira que le chef de la mission est assisté de neuf (9) experts basés à Alger et qui ont entamé leur mission le 30 mars dernier. Quarante (40) observateurs de longue durée (OLD) sont déjà arrivés le 10 avril dernier afin de suivre l'ensemble du processus électoral. Soixante (60) autres observateurs de courte durée viendront renforcer le dispositif dès le début du mois de mai prochain, a-t-il annoncé. Il indiquera, également, qu'une délégation du Parlement européen est attendue prochainement. Cette délégation composée de sept (7) membres se joindra au reste du groupe de la mission le 7 mai, a-t-il fait savoir. Le jour du scrutin, a-t-il ajouté, des observateurs issus des membres du personnel diplomatique des Etats membres de l'UE renforceront le dispositif déjà en place. Selon lui, un intérêt particulier est porté par les observateurs de longue durée (OLD) sur les différentes étapes du processus électoral et ce, de l'ouverture de la campagne jusqu'à la déclaration finale des résultats. L'environnement médiatique, les préparatifs électoraux et le déroulement du scrutin feront l'objet d'observation, a-t-il dit. Les premières conclusions relatives à l'observation des élections seront communiquées à travers une déclaration qui sera rendue publique lors d'une conférence de presse prévue pour les jours suivant le scrutin, a-t-il indiqué. A propos de ses entretiens avec les responsables du gouvernement, notamment le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, le chef de la mission d'observateurs de l'UE a souligné que «j'ai rencontré le ministre de l'Intérieur qui a mis tous les moyens nécessaires pour faciliter et faire réussir notre mission». Il rappellera, entre autres, que «notre présence vise à apporter une transparence et n'avons nullement l'intention de nous imposer». Selon les précisions du MAE, «la prolongation de la mission de l'UE au-delà du 10 mai intervient en application de la méthode de surveillance des élections par l'UE qui prévoit un déploiement d'observateurs pendant trois mois, avant et après les scrutins». Par ailleurs, à noter que le scrutin du 10 mai prochain sera suivi par plus de 500 observateurs internationaux, dont 160 observateurs de l'Union Européenne.