La bipolarité politique dans la région de Kabylie est désormais une étape révolue, a estimé hier, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du Front de libération nationale (FLN). Ce dernier a animé un meeting dans le cadre de la campagne électorale à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. La bipolarité politique dans la région de Kabylie est désormais une étape révolue, a estimé hier, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général du Front de libération nationale (FLN). Ce dernier a animé un meeting dans le cadre de la campagne électorale à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. L'orateur a ainsi laissé entendre que les deux partis du Front des forces socialistes et le Rassemblement pour la culture et la démocratie n'ont plus la mainmise sur l'électorat de la région. L'invité de Tizi-Ouzou a plaidé pour une forte participation lors du scrutin du 10 mai prochain. Abdelaziz Belkhadem s'est montré très confiant lors de sa sortie d'hier dans la capitale du Djurdjura en prédisant, entre autres, que son parti politique est la première force politique du pays. Il a même prédit une victoire de sa formation politique lors des prochaines législatives. L'orateur s'est par ailleurs attaqué à quelques autres partis politiques qu'il accuse d'être en manque d'arguments tangibles pour mener campagne et pour convaincre le citoyen. «L'objectif de ces partis consiste à baratiner la population», a estimé Belkhadem. Ce dernier a ajouté que son parti a présenté sur ses listes des candidats crédibles et intègres dont 26 % sont des jeunes car «nous voulons donner la chance à la nouvelle génération tout en gardant l'esprit du 1er Novembre 1954 qui est le fondement de notre parti». Abdelaziz Belkhadem a estimé en outre que son parti se présente avec des propositions pour réduire le taux du chômage et pour accélérer le développement économique du pays. De son côté, Said Lakhdari, mouhafedh de la wilaya de Tizi-Ouzou du FLN et tête de liste pour les prochaines législatives, est intervenu afin de présenter les différents candidats. Il a, par la suite, étalé les grands axes du programme électoral de son parti. Concernant la question cardinale qui se pose dans la région depuis des décennies, à savoir l'amazighité, l'orateur a souligné : «Au FLN, nous avons tout fait pour que tamazight devienne langue nationale et nous continuerons à œuvrer pour qu'elle devienne langue officielle». L'orateur a ainsi laissé entendre que les deux partis du Front des forces socialistes et le Rassemblement pour la culture et la démocratie n'ont plus la mainmise sur l'électorat de la région. L'invité de Tizi-Ouzou a plaidé pour une forte participation lors du scrutin du 10 mai prochain. Abdelaziz Belkhadem s'est montré très confiant lors de sa sortie d'hier dans la capitale du Djurdjura en prédisant, entre autres, que son parti politique est la première force politique du pays. Il a même prédit une victoire de sa formation politique lors des prochaines législatives. L'orateur s'est par ailleurs attaqué à quelques autres partis politiques qu'il accuse d'être en manque d'arguments tangibles pour mener campagne et pour convaincre le citoyen. «L'objectif de ces partis consiste à baratiner la population», a estimé Belkhadem. Ce dernier a ajouté que son parti a présenté sur ses listes des candidats crédibles et intègres dont 26 % sont des jeunes car «nous voulons donner la chance à la nouvelle génération tout en gardant l'esprit du 1er Novembre 1954 qui est le fondement de notre parti». Abdelaziz Belkhadem a estimé en outre que son parti se présente avec des propositions pour réduire le taux du chômage et pour accélérer le développement économique du pays. De son côté, Said Lakhdari, mouhafedh de la wilaya de Tizi-Ouzou du FLN et tête de liste pour les prochaines législatives, est intervenu afin de présenter les différents candidats. Il a, par la suite, étalé les grands axes du programme électoral de son parti. Concernant la question cardinale qui se pose dans la région depuis des décennies, à savoir l'amazighité, l'orateur a souligné : «Au FLN, nous avons tout fait pour que tamazight devienne langue nationale et nous continuerons à œuvrer pour qu'elle devienne langue officielle».