L'euro a terminé la semaine en nette baisse face au dollar vendredi, les cambistes fuyant les actifs jugés risqués comme la monnaie unique après le ralentissement surprise des embauches aux Etats-Unis, perçu comme un mauvais signe pour la vigueur de la reprise américaine. La devise européenne valait 1,3082 dollar vendredi soir, contre 1,3149 dollar la veille au soir, tombant à un nouveau plus bas depuis le 19 avril. L'euro baissait face à la devise nippone, à 104,46 yens, un plus bas depuis la mi-février, contre 105,45 yens jeudi soir, tout comme le dollar qui s'échangeait 79,85 yens contre 80,20 yens. Dans le sillage des marchés d'actions, l'euro était nettement sous pression vendredi après la publication d'un rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis qui a fait état d'un net ralentissement des créations d'emplois, que les observateurs n'avaient pas anticipé. Les cambistes craignaient ainsi "que la reprise (américaine) s'étiole rapidement", a noté un analyste de Capital Economics. Cette aversion au risque soutenait le dollar et le yen, largement considérées comme des valeurs refuge. Par ailleurs, ces chiffres de l'emploi américain alimentaient les spéculations sur de nouvelles injections de liquidités par la Réserve fédérale américaine (Fed) dans la première économie mondiale, des mesures qui ont pour effet de diluer la valeur du dollar et ainsi rendre le billet vert moins attractif pour les investisseurs. Cependant, malgré ces spéculations, les incertitudes politiques continuaient de préoccuper les cambistes et de peser sur la monnaie unique, alors que les électeurs étaient appelés aux urnes dimanche, en France notamment avec le second tour de l'élection présidentielle et en Grèce. De son côté, la livre britannique montait un peu face à l'euro, à 80,95 pence pour un euro, mais baissait face au billet vert, à 1,6156 dollar. La devise helvétique était stable face à l'euro, à 1,2012 franc suisse pour un euro, et baissait face au billet vert, à 0,9180 franc suisse pour un dollar. L'euro a terminé la semaine en nette baisse face au dollar vendredi, les cambistes fuyant les actifs jugés risqués comme la monnaie unique après le ralentissement surprise des embauches aux Etats-Unis, perçu comme un mauvais signe pour la vigueur de la reprise américaine. La devise européenne valait 1,3082 dollar vendredi soir, contre 1,3149 dollar la veille au soir, tombant à un nouveau plus bas depuis le 19 avril. L'euro baissait face à la devise nippone, à 104,46 yens, un plus bas depuis la mi-février, contre 105,45 yens jeudi soir, tout comme le dollar qui s'échangeait 79,85 yens contre 80,20 yens. Dans le sillage des marchés d'actions, l'euro était nettement sous pression vendredi après la publication d'un rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis qui a fait état d'un net ralentissement des créations d'emplois, que les observateurs n'avaient pas anticipé. Les cambistes craignaient ainsi "que la reprise (américaine) s'étiole rapidement", a noté un analyste de Capital Economics. Cette aversion au risque soutenait le dollar et le yen, largement considérées comme des valeurs refuge. Par ailleurs, ces chiffres de l'emploi américain alimentaient les spéculations sur de nouvelles injections de liquidités par la Réserve fédérale américaine (Fed) dans la première économie mondiale, des mesures qui ont pour effet de diluer la valeur du dollar et ainsi rendre le billet vert moins attractif pour les investisseurs. Cependant, malgré ces spéculations, les incertitudes politiques continuaient de préoccuper les cambistes et de peser sur la monnaie unique, alors que les électeurs étaient appelés aux urnes dimanche, en France notamment avec le second tour de l'élection présidentielle et en Grèce. De son côté, la livre britannique montait un peu face à l'euro, à 80,95 pence pour un euro, mais baissait face au billet vert, à 1,6156 dollar. La devise helvétique était stable face à l'euro, à 1,2012 franc suisse pour un euro, et baissait face au billet vert, à 0,9180 franc suisse pour un dollar.