Chacun des deux camps a retenu son souffle à l'annonce des résultats du second tour de l'élection présidentielle. Le verdict tombe : François Hollande élu à 51,9% contre 48,1% pour le candidat Sarkozy. Chacun des deux camps a retenu son souffle à l'annonce des résultats du second tour de l'élection présidentielle. Le verdict tombe : François Hollande élu à 51,9% contre 48,1% pour le candidat Sarkozy. La France a un deuxième président socialiste sous la Vème république. Ironie , Hollande a fait le même score que François Mitterrand en 1980. Les Français ont voté hier pour départager les deux finalistes, François Hollande et Nicolas Sarkozy. La participation des électeurs a été en hausse par rapport au premier tour. Durant la journée du dimanche, les candidats ont meublé leur attente dans leur fief respectif en attendant les JT du 20 heures conformément au code électoral. Les deux candidats se sont livrés à une bataille acharnée. Le président sortant et perdant aura mené une campagne commando le plus souvent improvisée derrière son rival socialiste. Il est vrai que la percée du Front national au premier tour a conforté le candidat Sarkozy dans sa détermination à partir à la chasse des électeurs de l'extrême-droite ce qui n'a pas toujours fait l'unanimité au sein de la majorité UMP. Pour Nicolas Sarkozy, il a eu le doute, l'espoir au premier tour puis le désespoir au second tour. Dépité, il ne mènera pas la bataille des législatives tout en disant qu'il reste au service de la France. Il se sera montré fair- play en félicitant le nouveau président de la République française, François Hollande qui peut aujourd'hui savourer sa victoire sur la droite qui a cru rejouer comme en 2007 la fable de La Fontaine «Le lièvre et la tortue». La victoire des socialistes est un très grand bonheur, c'est, pour le porte parole du parti socialiste Benoit Hamon : «la République est de retour». La France a refusé la dérive sarkozyste et a choisi de reprendre son destin en main. C'est la fin de l'arrogance : ce 6 mai est un jour de victoire pour tous les républicains. La France en la personne de François Hollande a un homme neuf qui devra forger sa personnalité et bâtir sa stature de président. Il devra être fidèle à son programme tout en prenant en compte les réalités. Etre fidèle à ses promesses, celles faites sur les relations algéro-françaises ainsi sur la repentance. On est à la veille de la commémoration du cinquantième anniversaire de l'indépendance, L'Algérie a les yeux braqués sur la France et attend. La France a un deuxième président socialiste sous la Vème république. Ironie , Hollande a fait le même score que François Mitterrand en 1980. Les Français ont voté hier pour départager les deux finalistes, François Hollande et Nicolas Sarkozy. La participation des électeurs a été en hausse par rapport au premier tour. Durant la journée du dimanche, les candidats ont meublé leur attente dans leur fief respectif en attendant les JT du 20 heures conformément au code électoral. Les deux candidats se sont livrés à une bataille acharnée. Le président sortant et perdant aura mené une campagne commando le plus souvent improvisée derrière son rival socialiste. Il est vrai que la percée du Front national au premier tour a conforté le candidat Sarkozy dans sa détermination à partir à la chasse des électeurs de l'extrême-droite ce qui n'a pas toujours fait l'unanimité au sein de la majorité UMP. Pour Nicolas Sarkozy, il a eu le doute, l'espoir au premier tour puis le désespoir au second tour. Dépité, il ne mènera pas la bataille des législatives tout en disant qu'il reste au service de la France. Il se sera montré fair- play en félicitant le nouveau président de la République française, François Hollande qui peut aujourd'hui savourer sa victoire sur la droite qui a cru rejouer comme en 2007 la fable de La Fontaine «Le lièvre et la tortue». La victoire des socialistes est un très grand bonheur, c'est, pour le porte parole du parti socialiste Benoit Hamon : «la République est de retour». La France a refusé la dérive sarkozyste et a choisi de reprendre son destin en main. C'est la fin de l'arrogance : ce 6 mai est un jour de victoire pour tous les républicains. La France en la personne de François Hollande a un homme neuf qui devra forger sa personnalité et bâtir sa stature de président. Il devra être fidèle à son programme tout en prenant en compte les réalités. Etre fidèle à ses promesses, celles faites sur les relations algéro-françaises ainsi sur la repentance. On est à la veille de la commémoration du cinquantième anniversaire de l'indépendance, L'Algérie a les yeux braqués sur la France et attend.