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Une infection sexuellement transmissible
Condylome ou verrue génitale
Publié dans Le Midi Libre le 09 - 05 - 2012

Les condylomes génitaux, aussi appelés verrues génitales ou "crêtes de coq", sont extrêmement fréquents dans la population sexuellement active. Généralement bénignes, les verrues génitales sont cependant inconfortables et très contagieuses, ce qui justifie leur prise en charge rapide.
Les condylomes génitaux, aussi appelés verrues génitales ou "crêtes de coq", sont extrêmement fréquents dans la population sexuellement active. Généralement bénignes, les verrues génitales sont cependant inconfortables et très contagieuses, ce qui justifie leur prise en charge rapide.
Les condylomes génitaux ou verrues génitales font partie des infections sexuellement transmissibles les plus courantes.
Ils sont en effet causés par certaines souches du papillomavirus (HPV), un virus que contractera au moins une fois 80 à 85 % de la population sexuellement active. Mais parmi la centaine de souches existantes du papillomavirus, seules quelques-unes peuvent entraîner l'apparition de condylomes génitaux.
Très contagieuses, les verrues génitales se transmettent uniquement par contact sexuel. Elles peuvent apparaître dès les premiers flirts un peu poussés... pas besoin de pénétration pour attraper un condylome. Le temps d'incubation est environ d'un à trois mois. La seule manière de les éviter ? Le préservatif.
Les condylomes (verrues génitales) forment des excroissances semblables à des verrues classiques. Autrement dit, ils ne sont pas très esthétiques ! Ils sont visibles à l'œil nu (quelques millimètres) et il est fréquent d'en voir apparaître plusieurs en même temps.
Même s'ils sont généralement indolores, des démangeaisons peuvent parfois être présentes et, chez la femme, ils peuvent même entraîner des saignements lors des rapports sexuels.
Les verrues génitales se situent en général sur les organes génitaux externes (vulve, pénis, testicules) et plus rarement dans le vagin, sur le col de l'utérus, dans l'urètre ou dans la région de l'anus. Parfois, les condylomes peuvent se développer dans la bouche suite à des rapports bucco-génitaux.
Même s'ils ne sont pas douloureux, les condylomes nécessitent toujours un traitement. Celui-ci consiste généralement en l'application d'une pommade qui va "brûler" la verrue. Celle-ci devra généralement être appliquée pendant une période assez longue (de 3 à 15 semaines). Jusqu'à disparition du ou des condylome (s), il est donc nécessaire d'utiliser un préservatif afin d'éviter toute contamination de son partenaire(s). Signalons encore qu'avec le temps, certaines verrues génitales peuvent se transformer en lésions précancéreuses (cancer du col de l'utérus par exemple). Chez la femme, le frottis du col utérin pratiqué chez le gynécologue permet de détecter ces éventuelles transformations précancéreuses et donc de les traiter à temps.
Enfin, rappelons qu'aujourd'hui, le vaccin contre le papillomavirus permet de protéger les jeunes filles et les femmes de certaines souches du HPV et donc de prévenir le cancer du col.
Les condylomes génitaux ou verrues génitales font partie des infections sexuellement transmissibles les plus courantes.
Ils sont en effet causés par certaines souches du papillomavirus (HPV), un virus que contractera au moins une fois 80 à 85 % de la population sexuellement active. Mais parmi la centaine de souches existantes du papillomavirus, seules quelques-unes peuvent entraîner l'apparition de condylomes génitaux.
Très contagieuses, les verrues génitales se transmettent uniquement par contact sexuel. Elles peuvent apparaître dès les premiers flirts un peu poussés... pas besoin de pénétration pour attraper un condylome. Le temps d'incubation est environ d'un à trois mois. La seule manière de les éviter ? Le préservatif.
Les condylomes (verrues génitales) forment des excroissances semblables à des verrues classiques. Autrement dit, ils ne sont pas très esthétiques ! Ils sont visibles à l'œil nu (quelques millimètres) et il est fréquent d'en voir apparaître plusieurs en même temps.
Même s'ils sont généralement indolores, des démangeaisons peuvent parfois être présentes et, chez la femme, ils peuvent même entraîner des saignements lors des rapports sexuels.
Les verrues génitales se situent en général sur les organes génitaux externes (vulve, pénis, testicules) et plus rarement dans le vagin, sur le col de l'utérus, dans l'urètre ou dans la région de l'anus. Parfois, les condylomes peuvent se développer dans la bouche suite à des rapports bucco-génitaux.
Même s'ils ne sont pas douloureux, les condylomes nécessitent toujours un traitement. Celui-ci consiste généralement en l'application d'une pommade qui va "brûler" la verrue. Celle-ci devra généralement être appliquée pendant une période assez longue (de 3 à 15 semaines). Jusqu'à disparition du ou des condylome (s), il est donc nécessaire d'utiliser un préservatif afin d'éviter toute contamination de son partenaire(s). Signalons encore qu'avec le temps, certaines verrues génitales peuvent se transformer en lésions précancéreuses (cancer du col de l'utérus par exemple). Chez la femme, le frottis du col utérin pratiqué chez le gynécologue permet de détecter ces éventuelles transformations précancéreuses et donc de les traiter à temps.
Enfin, rappelons qu'aujourd'hui, le vaccin contre le papillomavirus permet de protéger les jeunes filles et les femmes de certaines souches du HPV et donc de prévenir le cancer du col.


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