Les cancers touchant essentiellement la femme sont le cancer du sein en première place, suivi du cancer du col de l'utérus. Le premier étant détectable par l'auto-examen des seins (auto-palpation), le deuxième ne peut être détecté que chez le gynécologue. Un examen gynécologique tous les deux ans est conseillé chez toutes les femmes à partir de 20 ans. Mentionnons encore deux autres cancers plus rares chez la femme : le cancer des ovaires et le cancer de l'utérus, à ne pas confondre avec le cancer du col de l'utérus. Les cancers touchant essentiellement la femme sont le cancer du sein en première place, suivi du cancer du col de l'utérus. Le premier étant détectable par l'auto-examen des seins (auto-palpation), le deuxième ne peut être détecté que chez le gynécologue. Un examen gynécologique tous les deux ans est conseillé chez toutes les femmes à partir de 20 ans. Mentionnons encore deux autres cancers plus rares chez la femme : le cancer des ovaires et le cancer de l'utérus, à ne pas confondre avec le cancer du col de l'utérus. Il existe un lien entre les verrues génitales et le cancer du col de l'utérus. Les deux affections peuvent être causées par un virus de la famille des papillomavirus humains (HPV). Ainsi, la sexualité jouerait un rôle dans le développement d'un cancer du col de l'utérus. En effet, le nombre de partenaires sexuels, ainsi qu'une sexualité commencée très jeune seraient des causes pouvant entraîner l'apparition d'un cancer du col de l'utérus. Plus le traitement sera commencé tôt, plus les chances de survie seront grandes, car les cellules anormales n'auront pas encore eu le temps de se disséminer et d'attaquer d'autres organes du bassin. Une fois encore, cela montre l'importance d'un test de dépistage effectué régulièrement chez le gynécologue. Le cancer du col de l'utérus n'est certes pas le premier cancer chez la gent féminine. Il faut tout de même rappeler qu'1 femme sur 4 (chiffres pour la France, lire aussi statistiques cancer du col de l'utérus), atteinte du cancer du col de l'utérus, meure chaque année. Les femmes ont donc le droit de savoir et de se protéger. Le cancer du col de l'utérus se développe en plusieurs phases et peut être détecté chez le gynécologue par des tests cytologiques (des cellules) réguliers. Le gynécologue effectue, en effet, un test de dépistage à chaque contrôle. Il est recommandé de faire un contrôle gynécologique tous les 2 ans, voir tous les ans, chez les femmes plus âgées. Ce test est très recommandé, car il est le seul moyen de détecter un cancer du col de l'utérus qui est toujours asymptomatique dans les débuts de la maladie. On distingue les différentes phases du cancer du col de l'utérus, selon la dissémination du cancer. Précancer: les cellules sont déjà anormales, mais ne sont pas encore cancéreuses. Dans cette première phase, il y a 3 étapes: la dysplasie légère, modérée, grave. Ensuite, vient la phase cancéreuse. Au stade 1, le cancer reste limité au col. Au stade 2, le cancer commence son invasion dans les tissus environnants, à savoir la partie supérieure du vagin. Au stade 3, la partie inférieure du vagin est également touchée. Au stade 4, le cancer touchera également le rectum ou la vessie. Comme tout cancer, il est essentiel de le dépister tôt, afin de le traiter rapidement et d'enrayer sa dissémination. L'efficacité d'un traitement anti-cancéreux étant en général toujours meilleure, quand la maladie ne s'est pas trop développée, fonction du stade d'évolution du cancer. Selon le site Wikipedia le cancer du col de l'utérus est la première cause de mortalité par cancer dans les pays du tiers-monde (20 à 30% des cas de cancer chez la femme dans ce pays). Dans le monde on estime que 270'000 personnes décèdent chaque année de ce cancer, dont plus de trois quarts dans les pays du tiers monde. Symptômes du cancer du col de l'utérus Le cancer du col de l'utérus se développe en 2 phases et plusieurs sous-stades. La première phase, appelée également phase précancéreuse est asymptomatique. En effet, les cellules du col de l'utérus sont anormales, on appelle cela la dysplasie, mais elles ne sont pas encore cancéreuses. Dans le stade 1, la dysplasie est légère. Les cellules sont plus déformées lors du stade 2, appelée dysplasie modérée. Dans le stade 3, on rentre déjà dans la dysplasie grave. La deuxième phase de développement du cancer du col de l'utérus est appelée la phase cancéreuse. Les cellules dysplasiques (déformées) commencent à envahir les tissus aux alentours. Cette invasion entraine des douleurs, car les cellules malades écrasent les organes du bassin et empêchent également leurs bons fonctionnements. Lors du premier stade de la phase cancéreuse, le cancer reste limité au col. Dans le deuxième stade de la phase cancéreuse, le cancer a franchi le col de l'utérus pour venir s'établir également au niveau supérieur du vagin. Dans le troisième stade de la phase cancéreuse, le cancer du col de l'utérus a également atteint le niveau inférieur du vagin. Au stade 4, le cancer du col de l'utérus touche la vessie ou le rectum. Premiers symptômes de la maladie • saignements en dehors des périodes de règles • saignements suite aux rapports sexuels • Pertes vaginales avec forte odeur. Lors de ces différents symptômes, il est essentiel de demander une consultation médicale, afin d'exclure un cancer du col de l'utérus. Qu'est-ce qu'une biopsie ? Effectuée selon les cas, par un chirurgien au bloc opératoire ou par un médecin, dans un cabinet, une biopsie consiste à prélever un fragment de tissu ou d'organe. La nature et la structure du prélèvement sont ensuite passées au crible grâce à un examen microscopique et/ou une analyse biochimique. Pratique de la biopsie Sein, foie, rein, moelle osseuse, poumon, utérus, bronches, vessie, estomac, prostate, membrane synoviale et même les paupières ou la langue… les organes et tissus « cibles » d'une biopsie sont nombreux. Cet examen est généralement indiqué lorsque le médecin souhaite bénéficier d'une étude anatomopathologique pour affiner ou établir un diagnostic. C'est ainsi que la biopsie permet de déterminer si telle ou telle lésion prélevée sur un organe est maligne ou non. Ou à un stade différent, de suivre son évolution ou son étendue. Cet examen est encore souvent requis pour préciser le résultat d'un examen cytologique. Une biopsie-exérèse peut également être réalisée. Elle consiste en l'ablation totale d'une tumeur, suivie aussitôt d'un examen anatomopathologique. Déroulement d'une biopsie Selon les cas, cet examen est les plus souvent effectué sous anesthésie locale ou générale. Il existe différents types de biopsies. Celle dite transcutanée est généralement réalisée à l'aide d'un trocart. Il s'agit d'un instrument de chirurgie constitué d'une tige métallique en forme de cylindre fin, coulissant à l'intérieur d'une canule. La biopsie peut aussi être réalisée à l'aide d'un endoscope, en passant par les voies naturelles : tube digestif, bronche, vessie… Risques éventuels de la biopsie La durée de l'intervention est variable selon la technique utilisée et surtout l'organe ou le tissu ciblé. Les risques sont principalement liés au geste chirurgical (infection, hémorragie…) et/ou ce qui l'entoure, l'anesthésie notamment. Il existe un lien entre les verrues génitales et le cancer du col de l'utérus. Les deux affections peuvent être causées par un virus de la famille des papillomavirus humains (HPV). Ainsi, la sexualité jouerait un rôle dans le développement d'un cancer du col de l'utérus. En effet, le nombre de partenaires sexuels, ainsi qu'une sexualité commencée très jeune seraient des causes pouvant entraîner l'apparition d'un cancer du col de l'utérus. Plus le traitement sera commencé tôt, plus les chances de survie seront grandes, car les cellules anormales n'auront pas encore eu le temps de se disséminer et d'attaquer d'autres organes du bassin. Une fois encore, cela montre l'importance d'un test de dépistage effectué régulièrement chez le gynécologue. Le cancer du col de l'utérus n'est certes pas le premier cancer chez la gent féminine. Il faut tout de même rappeler qu'1 femme sur 4 (chiffres pour la France, lire aussi statistiques cancer du col de l'utérus), atteinte du cancer du col de l'utérus, meure chaque année. Les femmes ont donc le droit de savoir et de se protéger. Le cancer du col de l'utérus se développe en plusieurs phases et peut être détecté chez le gynécologue par des tests cytologiques (des cellules) réguliers. Le gynécologue effectue, en effet, un test de dépistage à chaque contrôle. Il est recommandé de faire un contrôle gynécologique tous les 2 ans, voir tous les ans, chez les femmes plus âgées. Ce test est très recommandé, car il est le seul moyen de détecter un cancer du col de l'utérus qui est toujours asymptomatique dans les débuts de la maladie. On distingue les différentes phases du cancer du col de l'utérus, selon la dissémination du cancer. Précancer: les cellules sont déjà anormales, mais ne sont pas encore cancéreuses. Dans cette première phase, il y a 3 étapes: la dysplasie légère, modérée, grave. Ensuite, vient la phase cancéreuse. Au stade 1, le cancer reste limité au col. Au stade 2, le cancer commence son invasion dans les tissus environnants, à savoir la partie supérieure du vagin. Au stade 3, la partie inférieure du vagin est également touchée. Au stade 4, le cancer touchera également le rectum ou la vessie. Comme tout cancer, il est essentiel de le dépister tôt, afin de le traiter rapidement et d'enrayer sa dissémination. L'efficacité d'un traitement anti-cancéreux étant en général toujours meilleure, quand la maladie ne s'est pas trop développée, fonction du stade d'évolution du cancer. Selon le site Wikipedia le cancer du col de l'utérus est la première cause de mortalité par cancer dans les pays du tiers-monde (20 à 30% des cas de cancer chez la femme dans ce pays). Dans le monde on estime que 270'000 personnes décèdent chaque année de ce cancer, dont plus de trois quarts dans les pays du tiers monde. Symptômes du cancer du col de l'utérus Le cancer du col de l'utérus se développe en 2 phases et plusieurs sous-stades. La première phase, appelée également phase précancéreuse est asymptomatique. En effet, les cellules du col de l'utérus sont anormales, on appelle cela la dysplasie, mais elles ne sont pas encore cancéreuses. Dans le stade 1, la dysplasie est légère. Les cellules sont plus déformées lors du stade 2, appelée dysplasie modérée. Dans le stade 3, on rentre déjà dans la dysplasie grave. La deuxième phase de développement du cancer du col de l'utérus est appelée la phase cancéreuse. Les cellules dysplasiques (déformées) commencent à envahir les tissus aux alentours. Cette invasion entraine des douleurs, car les cellules malades écrasent les organes du bassin et empêchent également leurs bons fonctionnements. Lors du premier stade de la phase cancéreuse, le cancer reste limité au col. Dans le deuxième stade de la phase cancéreuse, le cancer a franchi le col de l'utérus pour venir s'établir également au niveau supérieur du vagin. Dans le troisième stade de la phase cancéreuse, le cancer du col de l'utérus a également atteint le niveau inférieur du vagin. Au stade 4, le cancer du col de l'utérus touche la vessie ou le rectum. Premiers symptômes de la maladie • saignements en dehors des périodes de règles • saignements suite aux rapports sexuels • Pertes vaginales avec forte odeur. Lors de ces différents symptômes, il est essentiel de demander une consultation médicale, afin d'exclure un cancer du col de l'utérus. Qu'est-ce qu'une biopsie ? Effectuée selon les cas, par un chirurgien au bloc opératoire ou par un médecin, dans un cabinet, une biopsie consiste à prélever un fragment de tissu ou d'organe. La nature et la structure du prélèvement sont ensuite passées au crible grâce à un examen microscopique et/ou une analyse biochimique. Pratique de la biopsie Sein, foie, rein, moelle osseuse, poumon, utérus, bronches, vessie, estomac, prostate, membrane synoviale et même les paupières ou la langue… les organes et tissus « cibles » d'une biopsie sont nombreux. Cet examen est généralement indiqué lorsque le médecin souhaite bénéficier d'une étude anatomopathologique pour affiner ou établir un diagnostic. C'est ainsi que la biopsie permet de déterminer si telle ou telle lésion prélevée sur un organe est maligne ou non. Ou à un stade différent, de suivre son évolution ou son étendue. Cet examen est encore souvent requis pour préciser le résultat d'un examen cytologique. Une biopsie-exérèse peut également être réalisée. Elle consiste en l'ablation totale d'une tumeur, suivie aussitôt d'un examen anatomopathologique. Déroulement d'une biopsie Selon les cas, cet examen est les plus souvent effectué sous anesthésie locale ou générale. Il existe différents types de biopsies. Celle dite transcutanée est généralement réalisée à l'aide d'un trocart. Il s'agit d'un instrument de chirurgie constitué d'une tige métallique en forme de cylindre fin, coulissant à l'intérieur d'une canule. La biopsie peut aussi être réalisée à l'aide d'un endoscope, en passant par les voies naturelles : tube digestif, bronche, vessie… Risques éventuels de la biopsie La durée de l'intervention est variable selon la technique utilisée et surtout l'organe ou le tissu ciblé. Les risques sont principalement liés au geste chirurgical (infection, hémorragie…) et/ou ce qui l'entoure, l'anesthésie notamment.