Les cours du baril de pétrole "light sweet crude" (WTI) pour livraison en juin a perdu 94 cents, à 96,14 dollars US, dans les échanges matinaux alors que le baril de Brent de la mer du Nord à même échéance cédait 81 cents à 111,92 USD. Jeudi, le baril de "light sweet crude" pour livraison en juin a fini en hausse de 27 cents par rapport à mercredi, à 97,08 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin a fini en baisse de 47 cents, 112,73 dollars. Evolution sans direction en fin d'échanges européens Les cours du pétrole reculaient à Londres jeudi en fin d'échanges européens, pénalisés par des inquiétudes sur la demande énergétique mondiale, mais progressaient à New York après un indicateur rassurant aux Etats-Unis. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin s'échangeait à 112,64 dollars, en baisse de 56 cents par rapport à la veille. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 15 cents, à 96,96 dollars. "Les cours du brut semblent se stabiliser après avoir lourdement chuté depuis le début du mois", notait un analyste. En effet, certains opérateurs pouvaient profiter du récent fort repli des cours - jusqu'à 11 dollars à New York et plus de 9 dollars à Londres entre le 1er mai et le début de cette semaine - pour effectuer quelques achats à bon compte. Cette tendance était notamment alimentée pour le WTI par l'annonce d'un recul, pour la deuxième semaine consécutive, des nouvelles inscriptions au chômage aux Etats-Unis lors de la semaine achevée le 5 mai. Ces chiffres étaient de nature à rassurer les investisseurs sur la santé du marché du travail de la première économie mondiale après une série de signes décevants. Cependant, "les investisseurs restent prudents dans leurs achats face aux incertitudes sur l'avenir de la zone euro et sur les perspectives de l'économie mondiale", tempérait l'analyste. Les opérateurs digéraient ainsi toujours le fait que "la Chine a importé 5,42 millions de barils par jour en avril, soit 2,3% de moins que le mois précédent", relevaient les analystes. Ces chiffres sont " interprétés par le marché comme un signe de ralentissement de la demande", malgré les volumes d'importation élevés enregistrés en début d'année, a-t-il ajouté. De plus, l'instabilité politique en Grèce, malgré des signes de progrès vers un possible gouvernement "pro-européen", selon des responsables politiques grecs, renforçait les craintes sur la santé de l'économie de l'Union monétaire dans son ensemble, et donc sur la demande énergétique de la région, pesant sur les cours du brut. Les cours du baril de pétrole "light sweet crude" (WTI) pour livraison en juin a perdu 94 cents, à 96,14 dollars US, dans les échanges matinaux alors que le baril de Brent de la mer du Nord à même échéance cédait 81 cents à 111,92 USD. Jeudi, le baril de "light sweet crude" pour livraison en juin a fini en hausse de 27 cents par rapport à mercredi, à 97,08 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin a fini en baisse de 47 cents, 112,73 dollars. Evolution sans direction en fin d'échanges européens Les cours du pétrole reculaient à Londres jeudi en fin d'échanges européens, pénalisés par des inquiétudes sur la demande énergétique mondiale, mais progressaient à New York après un indicateur rassurant aux Etats-Unis. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juin s'échangeait à 112,64 dollars, en baisse de 56 cents par rapport à la veille. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 15 cents, à 96,96 dollars. "Les cours du brut semblent se stabiliser après avoir lourdement chuté depuis le début du mois", notait un analyste. En effet, certains opérateurs pouvaient profiter du récent fort repli des cours - jusqu'à 11 dollars à New York et plus de 9 dollars à Londres entre le 1er mai et le début de cette semaine - pour effectuer quelques achats à bon compte. Cette tendance était notamment alimentée pour le WTI par l'annonce d'un recul, pour la deuxième semaine consécutive, des nouvelles inscriptions au chômage aux Etats-Unis lors de la semaine achevée le 5 mai. Ces chiffres étaient de nature à rassurer les investisseurs sur la santé du marché du travail de la première économie mondiale après une série de signes décevants. Cependant, "les investisseurs restent prudents dans leurs achats face aux incertitudes sur l'avenir de la zone euro et sur les perspectives de l'économie mondiale", tempérait l'analyste. Les opérateurs digéraient ainsi toujours le fait que "la Chine a importé 5,42 millions de barils par jour en avril, soit 2,3% de moins que le mois précédent", relevaient les analystes. Ces chiffres sont " interprétés par le marché comme un signe de ralentissement de la demande", malgré les volumes d'importation élevés enregistrés en début d'année, a-t-il ajouté. De plus, l'instabilité politique en Grèce, malgré des signes de progrès vers un possible gouvernement "pro-européen", selon des responsables politiques grecs, renforçait les craintes sur la santé de l'économie de l'Union monétaire dans son ensemble, et donc sur la demande énergétique de la région, pesant sur les cours du brut.