Il a également insisté sur les résultats obtenus au niveau du programme de coopération scientifique concrétisé entre les deux pays, "Sahara Solar Breeder", traduisant le développement qualitatif de la coopération scientifique et universitaire. Le Directeur général du département Asie-Océanie au ministère des Affaires étrangères, Mohamed El Amine Derragui, a mis l'accent, dans son intervention, sur l'importance du processus des relations de coopération entre l'Algérie et le Japon, notamment dans les domaines technique, scientifique et économique. L'évolution de la coopération algéro-japonaise vers des "perspectives prometteuses" a été mise en exergue par des diplomates, lors de l'ouverture du Forum Arabe Asie sur l'énergie durable à Oran. M. Derragui a affirmé que le partenariat et la coopération entre l'Algérie et le Japon comprennent désormais plusieurs secteurs vitaux tels que les travaux publics, le transport maritime, la pêche, les ressources en eau, la culture, l'enseignement supérieur et la recherche scientifique. Le volume des échanges commerciaux entre les deux pays a évolué à hauteur de 2 milliards de dollars ces dernières années. Le Japon étant le troisième fournisseur asiatique de l'Algérie et son quatrième client pour le continent asiatique en matière de gaz naturel liquéfié, de produits gaziers, métalliques et autres tels que la pêche, a ajouté le même responsable. Le représentant du ministère algérien des Affaires étrangères a indiqué que ce forum, qui comprend également le quatrième atelier international sur le programme de coopération algéro-japonaise "Sahara Solar Breeder", est une occasion propice pour ouvrir une fenêtre sur les relations bilatérales entre les deux pays, notamment qu'il coïncide avec la célébration du cinquantième anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre l'Algérie et le Japon. Il a rappelé que ces relations avaient précédé l'indépendance de l'Algérie, avec la création de la première association d'amitié algéro-nippone en 1958, à l'initiative de parlementaires japonais et de représentants du Front de libération nationale (FLN) et que les autorités japonaises avaient exprimé leur solidarité avec l'Algérie en 1959 en l' autorisant à ouvrir un bureau de représentation du Front de libération nationale à Tokyo. Pour sa part, l'ambassadeur du Japon en Algérie, Tsukasa Kawada, a souligné que cette rencontre, de trois jours, organisée par l'Université des sciences et de la technologie "Mohamed Boudiaf" d'Oran, est le fruit d'un développement continu des relations bilatérales et un exemple vivant de la qualité de la coopération. L'ambassadeur a mis exergue, au passage, l'importance de la coopération scientifique et académique qui a réalisé, selon lui, des résultats qui méritent satisfaction, exprimant son optimisme quant à la promotion de la coopération et la réalisation d'autres acquis. Il a également insisté sur les résultats obtenus au niveau du programme de coopération scientifique concrétisé entre les deux pays, "Sahara Solar Breeder", traduisant le développement qualitatif de la coopération scientifique et universitaire. Le Directeur général du département Asie-Océanie au ministère des Affaires étrangères, Mohamed El Amine Derragui, a mis l'accent, dans son intervention, sur l'importance du processus des relations de coopération entre l'Algérie et le Japon, notamment dans les domaines technique, scientifique et économique. L'évolution de la coopération algéro-japonaise vers des "perspectives prometteuses" a été mise en exergue par des diplomates, lors de l'ouverture du Forum Arabe Asie sur l'énergie durable à Oran. M. Derragui a affirmé que le partenariat et la coopération entre l'Algérie et le Japon comprennent désormais plusieurs secteurs vitaux tels que les travaux publics, le transport maritime, la pêche, les ressources en eau, la culture, l'enseignement supérieur et la recherche scientifique. Le volume des échanges commerciaux entre les deux pays a évolué à hauteur de 2 milliards de dollars ces dernières années. Le Japon étant le troisième fournisseur asiatique de l'Algérie et son quatrième client pour le continent asiatique en matière de gaz naturel liquéfié, de produits gaziers, métalliques et autres tels que la pêche, a ajouté le même responsable. Le représentant du ministère algérien des Affaires étrangères a indiqué que ce forum, qui comprend également le quatrième atelier international sur le programme de coopération algéro-japonaise "Sahara Solar Breeder", est une occasion propice pour ouvrir une fenêtre sur les relations bilatérales entre les deux pays, notamment qu'il coïncide avec la célébration du cinquantième anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre l'Algérie et le Japon. Il a rappelé que ces relations avaient précédé l'indépendance de l'Algérie, avec la création de la première association d'amitié algéro-nippone en 1958, à l'initiative de parlementaires japonais et de représentants du Front de libération nationale (FLN) et que les autorités japonaises avaient exprimé leur solidarité avec l'Algérie en 1959 en l' autorisant à ouvrir un bureau de représentation du Front de libération nationale à Tokyo. Pour sa part, l'ambassadeur du Japon en Algérie, Tsukasa Kawada, a souligné que cette rencontre, de trois jours, organisée par l'Université des sciences et de la technologie "Mohamed Boudiaf" d'Oran, est le fruit d'un développement continu des relations bilatérales et un exemple vivant de la qualité de la coopération. L'ambassadeur a mis exergue, au passage, l'importance de la coopération scientifique et académique qui a réalisé, selon lui, des résultats qui méritent satisfaction, exprimant son optimisme quant à la promotion de la coopération et la réalisation d'autres acquis.