Les forces syriennes bombardaient lundi des bastions rebelles dans le pays où des combats opposaient également soldats et rebelles, a indiqué une ONG syrienne en faisant état de 14 morts dans les violences. Les forces syriennes bombardaient lundi des bastions rebelles dans le pays où des combats opposaient également soldats et rebelles, a indiqué une ONG syrienne en faisant état de 14 morts dans les violences. L'armée a utilisé des hélicoptères pour bombarder Rastane dans la province de Homs (Centre), dont elle tente de reprendre le contrôle depuis des mois, a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Dans la localité de Qousseir, également dans la province de Homs, des rebelles ont attaqué un barrage de l'armée, faisant "des morts et des blessés" dans les rangs des troupes syriennes, a ajouté l'organisation basée en Grande-Bretagne. Dans la province de Deir Ezzor (Est), la localité d'Al-Achara était la cible d'un pilonnage de l'armée qui a coûté la vie à deux civils et un déserteur. Des combats y ont en outre éclaté entre combattants rebelles et soldats dans lesquels six membres des forces régulières ont péri, rapporte l'agence française de presse. Dans la ville d'Idleb (Nord-Ouest), un civil et quatre membres des forces de sécurité dont un officier, ont été tués dans une attaque à l'explosif contre une patrouille, a ajouté l'ONG. La veille, la répression de la révolte et les combats entre insurgés et soldats ont fait 63 morts -38 civils, 19 soldats et 6 rebelles, selon la même source. Les combats se sont intensifiés ces derniers jours dans plusieurs villes du pays, l'Armée syrienne libre (ASL), formée principalement de militaires dissidents, faisant subir des pertes de plus en plus lourdes aux troupes du régime de Bachar al-Assad. Dimanche, le nouveau chef de l'opposition le Kurde Abdel Basset Sayda a appelé les responsables du pouvoir en Syrie à faire défection, estimant que le régime touchait "à sa fin". L'ASL a également appelé la population à la désobéissance civile et pressé les militaires "qui n'ont pas du sang sur les mains" à déserter l'armée. Les violences en Syrie ont fait plus de 14.100 morts en près de 15 mois de révolte, selon l'OSDH. L'armée a utilisé des hélicoptères pour bombarder Rastane dans la province de Homs (Centre), dont elle tente de reprendre le contrôle depuis des mois, a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Dans la localité de Qousseir, également dans la province de Homs, des rebelles ont attaqué un barrage de l'armée, faisant "des morts et des blessés" dans les rangs des troupes syriennes, a ajouté l'organisation basée en Grande-Bretagne. Dans la province de Deir Ezzor (Est), la localité d'Al-Achara était la cible d'un pilonnage de l'armée qui a coûté la vie à deux civils et un déserteur. Des combats y ont en outre éclaté entre combattants rebelles et soldats dans lesquels six membres des forces régulières ont péri, rapporte l'agence française de presse. Dans la ville d'Idleb (Nord-Ouest), un civil et quatre membres des forces de sécurité dont un officier, ont été tués dans une attaque à l'explosif contre une patrouille, a ajouté l'ONG. La veille, la répression de la révolte et les combats entre insurgés et soldats ont fait 63 morts -38 civils, 19 soldats et 6 rebelles, selon la même source. Les combats se sont intensifiés ces derniers jours dans plusieurs villes du pays, l'Armée syrienne libre (ASL), formée principalement de militaires dissidents, faisant subir des pertes de plus en plus lourdes aux troupes du régime de Bachar al-Assad. Dimanche, le nouveau chef de l'opposition le Kurde Abdel Basset Sayda a appelé les responsables du pouvoir en Syrie à faire défection, estimant que le régime touchait "à sa fin". L'ASL a également appelé la population à la désobéissance civile et pressé les militaires "qui n'ont pas du sang sur les mains" à déserter l'armée. Les violences en Syrie ont fait plus de 14.100 morts en près de 15 mois de révolte, selon l'OSDH.