L'Office national de la culture et de l'information reste fidèle à sa tradition d'être toujours présent aux rendez-vous marquants. Ainsi, l'ONCI qui a été au rendez-vous de la manifestation «Alger, capitale de la culture arabe 2007», de la 2e édition du Festival Panafricain en 2009, de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011» sera bien sûr présent pour la commémoration du cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie. L'Office national de la culture et de l'information reste fidèle à sa tradition d'être toujours présent aux rendez-vous marquants. Ainsi, l'ONCI qui a été au rendez-vous de la manifestation «Alger, capitale de la culture arabe 2007», de la 2e édition du Festival Panafricain en 2009, de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011» sera bien sûr présent pour la commémoration du cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie. À travers une visite d'inspection, organisée avant-hier par l'ONCI à l'intention de différents médias à la coupole du complexe olympique Mohamed-Boudiaf et au théâtre de plein air de Sidi Fredj (Casif), nous nous sommes informé de l'avancement des préparatifs de la fête exceptionnelle du cinquantenaire de l'Indépendance et une rencontre avec les artistes et les responsables de ces préparatif ont apporté plus de détails durant cette rencontre. Les artistes, majoritairement jeunes, étaient déjà dans leurs rôles respectifs pour un spectacle qui s'annonce grandiose pour le 4 juillet au Casif de Sidi Feredj. Ce spectacle conçu par le chorégraphe libanais, Abdelhalim Caracalla, donnera le coup d'envoi officiel de la célébration du 50e anniversaire de l'indépendance de l'Algérie. Une célébration qui s'étalera durant toute une année. En marge de cette visite, le directeur de l'Office national de la culture et de l'information (ONCI), Lakhdar Bentorki a annoncé, dont un point de presse, que ce spectacle consiste en une comédie musicale et une fresque historique en hommage à nos martyrs, une gloire à notre guerre de l'Indépendance et à notre Histoire. Le premier responsable de L'Onci a également souligné que ce spectacle, dont le titre n'a pas encore été choisi, sera présent au Casif du 4 au 7 juillet avant de connaître trois escales à travers le pays, notamment à Oran, Constantine et Batna. Durant cette visite, nous avons découvert un théâtre de plein air qui a connu une extension pour être à la hauteur de cet événement. De surcroît, mis à part les grands moyens logistiques et techniques qui consistent en matériels de pointe de sonorisation, d'éclairage, de vidéo et de scénographie, la scène a été élargie de 100 m2 à 1.000m2. Pour cet événement, tel que cela a été annoncé par la ministe de la Culture, la totalité des jeunes artistes participant à cet événement sont tous algériens venus de différentes régions du pays. Ce spectacle rassemblera 500 artistes de divers genres artistiques : danseurs de ballet, hip-hop, chanteurs, acteurs, troupes folkloriques...sans oublier le staff technique composé de plus de 300 personnes dont une soixantaine d'étrangers et la direction d'un responsable technique italien. Quant au spectacle, la conception de la mise en scène par le chorégraphe Caracalla, consiste en un flash back historique. Le tableau commence par une université algérienne d'aujourd'hui pour partir vers différentes étapes historiques du pays représentées par des danses et des tableaux artistiques. « Le spectacle évoque plusieurs étapes de la résistance du peuple algérien. Ce n'est pas simple d'évoquer la révolution algérienne car il s'agit bel et bien du symbole des révolutions populaires contre les régimes coloniaux. Le scénario a été écrit sur la base de phrases d'anciens chefs d'Etat algériens, de textes de poètes algériens ou plus généralement puisé du patrimoine musical algérien », a indiqué le chorégraphe libanais. À travers une visite d'inspection, organisée avant-hier par l'ONCI à l'intention de différents médias à la coupole du complexe olympique Mohamed-Boudiaf et au théâtre de plein air de Sidi Fredj (Casif), nous nous sommes informé de l'avancement des préparatifs de la fête exceptionnelle du cinquantenaire de l'Indépendance et une rencontre avec les artistes et les responsables de ces préparatif ont apporté plus de détails durant cette rencontre. Les artistes, majoritairement jeunes, étaient déjà dans leurs rôles respectifs pour un spectacle qui s'annonce grandiose pour le 4 juillet au Casif de Sidi Feredj. Ce spectacle conçu par le chorégraphe libanais, Abdelhalim Caracalla, donnera le coup d'envoi officiel de la célébration du 50e anniversaire de l'indépendance de l'Algérie. Une célébration qui s'étalera durant toute une année. En marge de cette visite, le directeur de l'Office national de la culture et de l'information (ONCI), Lakhdar Bentorki a annoncé, dont un point de presse, que ce spectacle consiste en une comédie musicale et une fresque historique en hommage à nos martyrs, une gloire à notre guerre de l'Indépendance et à notre Histoire. Le premier responsable de L'Onci a également souligné que ce spectacle, dont le titre n'a pas encore été choisi, sera présent au Casif du 4 au 7 juillet avant de connaître trois escales à travers le pays, notamment à Oran, Constantine et Batna. Durant cette visite, nous avons découvert un théâtre de plein air qui a connu une extension pour être à la hauteur de cet événement. De surcroît, mis à part les grands moyens logistiques et techniques qui consistent en matériels de pointe de sonorisation, d'éclairage, de vidéo et de scénographie, la scène a été élargie de 100 m2 à 1.000m2. Pour cet événement, tel que cela a été annoncé par la ministe de la Culture, la totalité des jeunes artistes participant à cet événement sont tous algériens venus de différentes régions du pays. Ce spectacle rassemblera 500 artistes de divers genres artistiques : danseurs de ballet, hip-hop, chanteurs, acteurs, troupes folkloriques...sans oublier le staff technique composé de plus de 300 personnes dont une soixantaine d'étrangers et la direction d'un responsable technique italien. Quant au spectacle, la conception de la mise en scène par le chorégraphe Caracalla, consiste en un flash back historique. Le tableau commence par une université algérienne d'aujourd'hui pour partir vers différentes étapes historiques du pays représentées par des danses et des tableaux artistiques. « Le spectacle évoque plusieurs étapes de la résistance du peuple algérien. Ce n'est pas simple d'évoquer la révolution algérienne car il s'agit bel et bien du symbole des révolutions populaires contre les régimes coloniaux. Le scénario a été écrit sur la base de phrases d'anciens chefs d'Etat algériens, de textes de poètes algériens ou plus généralement puisé du patrimoine musical algérien », a indiqué le chorégraphe libanais.