Les représentants du ministère de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissements et la délégation de l'Union européenne ont longuement abordé, hier, à l'hôtel Hilton lors d'un séminaire, le projet de jumelage P3A, projet géré par le ministère algérien du Commerce et financé par l'Union européenne. Les représentants du ministère de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissements et la délégation de l'Union européenne ont longuement abordé, hier, à l'hôtel Hilton lors d'un séminaire, le projet de jumelage P3A, projet géré par le ministère algérien du Commerce et financé par l'Union européenne. Ce projet de jumelage entre l'Algérie et l'UE consiste à appuyer le MIPMEPI pour ce qui est de la préparation d'accords avec l'UE dans le domaine de l'évaluation de conformité. Pour les promoteurs de ce projet, « l'objectif essentiel consiste, notamment, à contribuer à la facilitation du commerce entre l'Algérie et l'Union européenne, à travers un appui à l'administration algérienne pour la mise en conformité et à la standardisation normative des produits industriels ». Cela couvre les secteurs des matériels électriques (basse tension) et les produits de construction. Le directeur de l'unité de gestion du programme P3A, Abdelaziz Guend, a affirmé que « ce projet nous a réunis pendant deux années, en faisant réfléchir et activer plusieurs personnes sachant que le navire est arrivé à bon port. Aussi, la clôture de ce jumelage a tenu toutes ses promesses, en ce sens que, sur plus de 963.000 euros de ce projet, plus de 87.000 euros ont déjà été dépensés, soit 90 % des crédits alloués consommés ».Selon lui, ce jumelage est une réussite pour les perspectives ouvertes, car, les activités ont permis des communications clefs du projet et la clôture est un processus de consolidation des liens entre les parties du jumelage. Il s'agit d'améliorer la compétitivité des entreprises, le commerce et la diversification de l'économie nationale. Cet appui est une mise en œuvre de l'accord d'association entre l'Algérie et l'Union européenne afin d'encourager les autres secteurs n'ayant pas bénéficié de cet instrument. Pour sa part, M. Crignou, chef de projet, à l'association française de normalisation (AFNOR) a abordé le rôle de cet organisme en précisant que « son budget est évalué à 135 millions d'euros et son effectif est doté de 120 collaborateurs pour mener à bien ses missions de certification de produits et de systèmes. La période d'exécution du projet P3A est de 18 mois sachant que le jumelage a débuté en janvier 2011 ». Le jumelage vise le programme PME 2 Concernant le contexte de ce programme, les organisateurs de ce séminaire soulignent que «dans la perspective de l'instauration d'une zone de libre-échange entre l'Algérie et l'Union européenne, le ministère de l'Industrie a entrepris plusieurs actions visant à l'amélioration de la compétitivité de l'industrie algérienne». Aussi, ils indiquent «qu'un programme de modernisation et de privatisation industrielle a été développé dans le cadre de la coopération avec l'UE. Ce programme comporte, notamment, un volet ‘'infrastructure qualité'' prévoyant le renforcement des capacités de l'Algérie en vue de négocier des accords avec l'Union européenne en matière d'évaluation de la conformité et de l'acceptation de produits industriels (dits ACAA) ». A propos des bénéfices et obligations, les responsables de ce projet affirment, qu'à titre d'exemple, un produit ‘'made in Algeria'' affichant le marquage CE apposé en Algérie pourra entrer librement en Europe. En contrepartie, les produits «made in Europe» ayant le label CE pourront également entrer librement en Algérie. Avec des ressources de 320 heures et jours d'expertise sur place, 964.000 euros et 20 experts et acteurs du projet, le projet P3A s'articule autour de l'harmonisation de la législation (normalisation, accréditation, évaluation de la conformité, métrologie légale) et de la règlementation technique (produits de construction, produits électriques basse tension et instruments de mesure) avec l'acquis de l'UE. Il s'agit aussi du renforcement de la capacité de l'administration centrale et la mise en place d'une structure de coordination apte à maîtriser le processus ACAA et son application. Les bénéficiaires de ce projet, à savoir, l'Ianor, l'Algerac et l'ONML doivent également renforcer leurs institutions de l'infrastructure de la qualité, dans ce cadre, et avoir accès au programme d'information et de sensibilisation des acteurs concernés par les ACAA Ce projet de jumelage entre l'Algérie et l'UE consiste à appuyer le MIPMEPI pour ce qui est de la préparation d'accords avec l'UE dans le domaine de l'évaluation de conformité. Pour les promoteurs de ce projet, « l'objectif essentiel consiste, notamment, à contribuer à la facilitation du commerce entre l'Algérie et l'Union européenne, à travers un appui à l'administration algérienne pour la mise en conformité et à la standardisation normative des produits industriels ». Cela couvre les secteurs des matériels électriques (basse tension) et les produits de construction. Le directeur de l'unité de gestion du programme P3A, Abdelaziz Guend, a affirmé que « ce projet nous a réunis pendant deux années, en faisant réfléchir et activer plusieurs personnes sachant que le navire est arrivé à bon port. Aussi, la clôture de ce jumelage a tenu toutes ses promesses, en ce sens que, sur plus de 963.000 euros de ce projet, plus de 87.000 euros ont déjà été dépensés, soit 90 % des crédits alloués consommés ».Selon lui, ce jumelage est une réussite pour les perspectives ouvertes, car, les activités ont permis des communications clefs du projet et la clôture est un processus de consolidation des liens entre les parties du jumelage. Il s'agit d'améliorer la compétitivité des entreprises, le commerce et la diversification de l'économie nationale. Cet appui est une mise en œuvre de l'accord d'association entre l'Algérie et l'Union européenne afin d'encourager les autres secteurs n'ayant pas bénéficié de cet instrument. Pour sa part, M. Crignou, chef de projet, à l'association française de normalisation (AFNOR) a abordé le rôle de cet organisme en précisant que « son budget est évalué à 135 millions d'euros et son effectif est doté de 120 collaborateurs pour mener à bien ses missions de certification de produits et de systèmes. La période d'exécution du projet P3A est de 18 mois sachant que le jumelage a débuté en janvier 2011 ». Le jumelage vise le programme PME 2 Concernant le contexte de ce programme, les organisateurs de ce séminaire soulignent que «dans la perspective de l'instauration d'une zone de libre-échange entre l'Algérie et l'Union européenne, le ministère de l'Industrie a entrepris plusieurs actions visant à l'amélioration de la compétitivité de l'industrie algérienne». Aussi, ils indiquent «qu'un programme de modernisation et de privatisation industrielle a été développé dans le cadre de la coopération avec l'UE. Ce programme comporte, notamment, un volet ‘'infrastructure qualité'' prévoyant le renforcement des capacités de l'Algérie en vue de négocier des accords avec l'Union européenne en matière d'évaluation de la conformité et de l'acceptation de produits industriels (dits ACAA) ». A propos des bénéfices et obligations, les responsables de ce projet affirment, qu'à titre d'exemple, un produit ‘'made in Algeria'' affichant le marquage CE apposé en Algérie pourra entrer librement en Europe. En contrepartie, les produits «made in Europe» ayant le label CE pourront également entrer librement en Algérie. Avec des ressources de 320 heures et jours d'expertise sur place, 964.000 euros et 20 experts et acteurs du projet, le projet P3A s'articule autour de l'harmonisation de la législation (normalisation, accréditation, évaluation de la conformité, métrologie légale) et de la règlementation technique (produits de construction, produits électriques basse tension et instruments de mesure) avec l'acquis de l'UE. Il s'agit aussi du renforcement de la capacité de l'administration centrale et la mise en place d'une structure de coordination apte à maîtriser le processus ACAA et son application. Les bénéficiaires de ce projet, à savoir, l'Ianor, l'Algerac et l'ONML doivent également renforcer leurs institutions de l'infrastructure de la qualité, dans ce cadre, et avoir accès au programme d'information et de sensibilisation des acteurs concernés par les ACAA