Les prix du pétrole ont régressé vendredi en fin d'échanges européens, perdant plus de deux dollars à cause d'un renchérissement du dollar et des chiffres décevants de l'emploi aux Etats-Unis pour juin. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août a reculé de 2,33 dollars à 98,37 dollars le barils sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 2,54 dollars à 84,68 dollars. Les prix des matières premières, notamment de l'or noir, "ont fortement baissé" vendredi du fait de l'effet conjoint "d'un renforcement du dollar et d'inquiétudes sur l'impact de l'affaiblissement des économies chinoise, européenne et américaine" sur leur demande énergétique, ont commenté des analystes. Les investisseurs fuyaient vendredi les actifs à risque, comme le pétrole et l'euro, pour chercher refuge auprès de valeurs jugées plus sûres comme la devise américaine. Les embauches se sont légèrement accélérées aux Etats-Unis en juin mais moins qu'anticipé par les analystes et elles sont restées trop faibles pour faire baisser le taux de chômage, selon des chiffres publiés vendredi. Cette annonce est venue renforcer les inquiétudes des investisseurs sur la vigueur de la croissance mondiale, avivées la veille par des annonces de la Banque centrale européenne (BCE) et de Banque centrale chinoise. En outre, l'annonce par la Chine d'une nouvelle baisse de taux d'intérêt a surpris les investisseurs : si cette décision est susceptible de soutenir l'économie et de stimuler les achats de matières premières du pays, elle est aussi "de mauvais augure pour les statistiques économiques qui doivent être publiées en Chine la semaine prochaine", notent ces analystes. Les investisseurs continuaient, par ailleurs, de surveiller la grève dans le secteur pétrolier en Norvège, entamée le 24 juin par quelque 700 employés sur deux champs de la mer du Nord. L'organisation patronale du secteur a annoncé jeudi un "lock out", c'est-à-dire une interruption, à partir du 10 juillet de l'activité pétrolière de ses membres en mer du Nord dans une tentative de résolution de cette grève. Les prix du pétrole ont régressé vendredi en fin d'échanges européens, perdant plus de deux dollars à cause d'un renchérissement du dollar et des chiffres décevants de l'emploi aux Etats-Unis pour juin. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août a reculé de 2,33 dollars à 98,37 dollars le barils sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance perdait 2,54 dollars à 84,68 dollars. Les prix des matières premières, notamment de l'or noir, "ont fortement baissé" vendredi du fait de l'effet conjoint "d'un renforcement du dollar et d'inquiétudes sur l'impact de l'affaiblissement des économies chinoise, européenne et américaine" sur leur demande énergétique, ont commenté des analystes. Les investisseurs fuyaient vendredi les actifs à risque, comme le pétrole et l'euro, pour chercher refuge auprès de valeurs jugées plus sûres comme la devise américaine. Les embauches se sont légèrement accélérées aux Etats-Unis en juin mais moins qu'anticipé par les analystes et elles sont restées trop faibles pour faire baisser le taux de chômage, selon des chiffres publiés vendredi. Cette annonce est venue renforcer les inquiétudes des investisseurs sur la vigueur de la croissance mondiale, avivées la veille par des annonces de la Banque centrale européenne (BCE) et de Banque centrale chinoise. En outre, l'annonce par la Chine d'une nouvelle baisse de taux d'intérêt a surpris les investisseurs : si cette décision est susceptible de soutenir l'économie et de stimuler les achats de matières premières du pays, elle est aussi "de mauvais augure pour les statistiques économiques qui doivent être publiées en Chine la semaine prochaine", notent ces analystes. Les investisseurs continuaient, par ailleurs, de surveiller la grève dans le secteur pétrolier en Norvège, entamée le 24 juin par quelque 700 employés sur deux champs de la mer du Nord. L'organisation patronale du secteur a annoncé jeudi un "lock out", c'est-à-dire une interruption, à partir du 10 juillet de l'activité pétrolière de ses membres en mer du Nord dans une tentative de résolution de cette grève.