La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, arrivée samedi dernier en Egypte, a rencontré le nouveau président Mohamed Morsi et a eu des discussions avec les dirigeants égyptiens de la transition démocratique dans le pays. Au cours de son séjour de deux jours en Egypte, Mme Clinton devait s'entretenir avec M. Morsi, le maréchal Hussein Tantaoui, le chef du Conseil suprême des forces armées (CSFA), ainsi que des représentants de la société civile, notamment des Coptes et des militantes des droits des femmes. Mme Clinton a évoqué avec les dirigeants égyptiens "les mesures que les Egyptiens prévoient de prendre (...) concernant la Constitution, le Parlement et d'autres aspects des institutions, qui au final conduiront à une transition pleine et entière vers un Etat civil et démocratique", a déclaré un responsable du département d'Etat à des journalistes. "Ce sont des questions auxquelles seuls les Egyptiens peuvent répondre. Elle ne vient pas avec des recommandations ou avec un ensemble spécifique de propositions, mais plutôt pour chercher à mieux comprendre comment ils entendent procéder", a-t-il précisé. Mme Clinton a cherché à mettre en avant l'idée "selon laquelle un dialogue entre les parties pour développer un consensus (...) est crucial pour éviter tout type d'instabilité ou de confrontation qui pourrait faire dérailler la transition", a ajouté le responsable. La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, arrivée samedi dernier en Egypte, a rencontré le nouveau président Mohamed Morsi et a eu des discussions avec les dirigeants égyptiens de la transition démocratique dans le pays. Au cours de son séjour de deux jours en Egypte, Mme Clinton devait s'entretenir avec M. Morsi, le maréchal Hussein Tantaoui, le chef du Conseil suprême des forces armées (CSFA), ainsi que des représentants de la société civile, notamment des Coptes et des militantes des droits des femmes. Mme Clinton a évoqué avec les dirigeants égyptiens "les mesures que les Egyptiens prévoient de prendre (...) concernant la Constitution, le Parlement et d'autres aspects des institutions, qui au final conduiront à une transition pleine et entière vers un Etat civil et démocratique", a déclaré un responsable du département d'Etat à des journalistes. "Ce sont des questions auxquelles seuls les Egyptiens peuvent répondre. Elle ne vient pas avec des recommandations ou avec un ensemble spécifique de propositions, mais plutôt pour chercher à mieux comprendre comment ils entendent procéder", a-t-il précisé. Mme Clinton a cherché à mettre en avant l'idée "selon laquelle un dialogue entre les parties pour développer un consensus (...) est crucial pour éviter tout type d'instabilité ou de confrontation qui pourrait faire dérailler la transition", a ajouté le responsable.