Les prix des fruits et légumes ont atteint, les deux premiers jours du Ramadhan, des seuils "intolérables" au niveau des différents marchés d'Oran. Les prix des fruits et légumes ont atteint, les deux premiers jours du Ramadhan, des seuils "intolérables" au niveau des différents marchés d'Oran. Ce sont pratiquement tous les produits qui ont connu une hausse de leur prix, en dépit de toutes les promesses faites quant à la maîtrise de la situation. La tomate qui se vendait à 30 dinars le kilogramme voire à 20 dinars la veille du Ramadhan sur les étals des marchés, est passée à 50 dinars. La pomme de terre, proposée à 40 dinars il y a quelques jours, est aujourd'hui cédée à 50 dinars le kilogramme. La courgette et la carotte, ingrédients indispensables pour la préparation de la "hrira" du f'tour, ont franchi un autre palier passant du simple au double, pour se négocier respectivement entre 80 et 90 dinars le kilogramme, a souligné un retraité qui lève ses mains au ciel comme pour maudire ces sangsues, rapporte l'APS. Comme à l'accoutumée à chaque Ramadhan, les prix des viandes rouges et blanches n'ont pas échappé à cette flambée. Le poulet vendu à moins de 300 dinars le kg a enregistré une hausse vertigineuse pour atteindre les 390 dinars le kg au premier jour du mois de Ramadhan. Quant au prix de l'agneau, il a atteint les cimes avec 1.300 dinars le kilogramme. Au marché de la rue des Aurès (ex-la Bastille), véritable baromètre de la mercuriale, c'est à une véritable arnaque que sont confrontées les ménagères, avec la même tendance haussière aussi bien pour les fruits et légumes, les poissons, les viandes et les fruits malgré leur abondance. Même le poivron, disponible à volonté sur les étals, est sujet à la spéculation pour être cédé à des prix défiant tout entendement, entre 110 et 130 dinars, alors qu'il est cédé à 50 dinars le prix de gros. "Aucun argument avancé par les commerçants et les détaillants ne peut être justifié", soutiennent des consommateurs qui ont pu s'approvisionner dans certains marchés de gros de fruits et légumes qui assurent que la belle tomate rouge est écoulée à 20 dinars, la carotte à 50 dinars, la pomme de terre entre 30 et 36 dinars, le poivron à 50 dinars le kilogramme. "L'ombre du marché informel est là toute pesante dans cette hausse des prix", dénonce dépité un fonctionnaire, déplorant le fait que ce phénomène prend des proportions inimaginables à chaque mois de jeûne. Ce sont pratiquement tous les produits qui ont connu une hausse de leur prix, en dépit de toutes les promesses faites quant à la maîtrise de la situation. La tomate qui se vendait à 30 dinars le kilogramme voire à 20 dinars la veille du Ramadhan sur les étals des marchés, est passée à 50 dinars. La pomme de terre, proposée à 40 dinars il y a quelques jours, est aujourd'hui cédée à 50 dinars le kilogramme. La courgette et la carotte, ingrédients indispensables pour la préparation de la "hrira" du f'tour, ont franchi un autre palier passant du simple au double, pour se négocier respectivement entre 80 et 90 dinars le kilogramme, a souligné un retraité qui lève ses mains au ciel comme pour maudire ces sangsues, rapporte l'APS. Comme à l'accoutumée à chaque Ramadhan, les prix des viandes rouges et blanches n'ont pas échappé à cette flambée. Le poulet vendu à moins de 300 dinars le kg a enregistré une hausse vertigineuse pour atteindre les 390 dinars le kg au premier jour du mois de Ramadhan. Quant au prix de l'agneau, il a atteint les cimes avec 1.300 dinars le kilogramme. Au marché de la rue des Aurès (ex-la Bastille), véritable baromètre de la mercuriale, c'est à une véritable arnaque que sont confrontées les ménagères, avec la même tendance haussière aussi bien pour les fruits et légumes, les poissons, les viandes et les fruits malgré leur abondance. Même le poivron, disponible à volonté sur les étals, est sujet à la spéculation pour être cédé à des prix défiant tout entendement, entre 110 et 130 dinars, alors qu'il est cédé à 50 dinars le prix de gros. "Aucun argument avancé par les commerçants et les détaillants ne peut être justifié", soutiennent des consommateurs qui ont pu s'approvisionner dans certains marchés de gros de fruits et légumes qui assurent que la belle tomate rouge est écoulée à 20 dinars, la carotte à 50 dinars, la pomme de terre entre 30 et 36 dinars, le poivron à 50 dinars le kilogramme. "L'ombre du marché informel est là toute pesante dans cette hausse des prix", dénonce dépité un fonctionnaire, déplorant le fait que ce phénomène prend des proportions inimaginables à chaque mois de jeûne.