Une étude très intéressante faite par le Groupement de la Gendarmerie nationale d'Alger sur les accidents de la route et le comportement des conducteurs et conductrices algérois vient d'être dévoilée. On commence tout d'abord par donner les derniers chiffres enregistrés par les gendarmes d'Alger sur le nombre des accidents routiers, les blessés et les morts qui causés durant les sept premiers mois de l'année 2012. Ainsi, durant la période allant du 1er janvier au 27 juillet dernier, les unités de la Gendarmerie nationale d'Alger ont recensé 813 accidents routiers, dont 39 accidents mortels, ce qui représente 4,79% de taux des accidents et 622 accidents corporels, soit un taux de 76,50%. Ces accidents ont provoqué la mort de 39 personnes et 1103 autres blessées, rapporte le bilan de la Gendarmerie inclus dans cette étude. Passons maintenant aux différents facteurs ayant causé la multiplication des accidents routiers sur les routes d'Alger. L'étude fait ressortir que 682 accidents routiers ont été causés par le facteur humain, puis 96 accidents se sont produits suite à un mauvais comportement des piétons. Alors que 16 accidents routiers sont causés par le mauvais état des routes et l'environnement. Puis, il ne faut pas oublier que le facteur des véhicules vétustes a causé, à son tour, 19 accidents routiers. Commençons tout d'abord par le facteur humain ayant provoqué l'augmentation des accidents routiers. Sur ce plan, l'étude dévoile pas mal de choses que, certainement, beaucoup d'Algériens ne savent pas. L'étude des gendarmes d'Alger indique que les conducteurs ayant acquis leurs permis voilà quelques petits mois seulement sont derrières 50, 31% des accidents routiers, ce qui représente déjà la moitié si ce n'est un peu plus. Autre détail important, la plupart des automobilistes impliqués dans les accidents routiers sont âgés entre 18 et 29 ans. Pour les conducteurs âgés de moins de 18 ans, ces derniers sont derrière 163 accidents de la circulation recensés en sept mois (1er janvier au 27 juillet 2012). Pour les conducteurs ayant la tranche d'âge allant de 18 à 29 ans, ces derniers sont impliqués dans 396 accidents routiers, soit le plus gros taux. L'étude de la gendarmerie algéroise fait, également, ressortir que les automobilistes âgés entre 30 et 39 ans sont derrière 222 accidents routiers, alors que les 40 àt 49 ans ont provoqué 157 accidents ; les 50 àt 59 ans sont derrière 147 accidents et enfin les chauffeurs âgés de plus de 60 ans sont derrière 31 accidents de la circulation. Les femmes conductrices ont provoqué 250 accidents routiers à Alger Durant les cinq dernières années, les auto-écoles avaient connu un «boom» sans précédent d'un nouveau profil de candidats, des femmes âgées de plus de 50 ans, alors que d'habitude c'étaient plutôt les jeunes filles qui s'intéressaient au permis de conduire. D'ailleurs, il est intéressant de rappeler qu'en 2011 le nombre de femmes ayant passé les épreuves pour l'acquisition d'un permis de conduire avait, pour la première fois, dépassé les hommes. L'arrivée en masse des femmes conductrices sur les routes avait créé, en outre, de nouveaux comportements « irresponsables » de certains conducteurs, hommes. En plus de ça, beaucoup de conductrices stressées apparemment par le comportement de certains automobilistes ont provoqué des accidents routiers, parfois mortels. En sept mois, 250 femmes conductrices sont impliquées dans des accidents de la circulation, indique l'étude de la Gendarmerie nationale. «Top» huit des accidents routiers Encore une fois, l'excès de vitesse vient en tête du classement du "top"des huit causes des accidents routiers. En matière de chiffres, on note l'implication de 178 automobilistes pour excès de vitesse. Ces derniers ont, malheureusement, provoqué des accidents mortels sur les routes d'Alger, en utilisant la vitesse supérieure. En deuxième position des causes, ce n'est autre que le non-respect de la distance sécuritaire séparant un véhicule et un autre avec 140 accidents provoqués à partir de cette cause. En troisième position c'est l'imprudence des piétons avec 117 accidents provoqués par des citoyens voulant traverser une voie. La quatrième cause qui a multiplié les accidents routiers à Alger est le changement dangereux de direction avec 71 accidents enregistrés par les unités de la Gendarmerie nationale. Le dépassement dangereux vient en cinquième position avec 103 accidents enregistrés, puis en sixième position c'est le délit de fuite (l'auteur a causé un accident puis il s'est enfui) avec 43 cas recensés. La septième cause ayant provoqué un accident est la conduite en état d'ivresse avec 17 accidents, dont certains mortels recensés à Alger. Puis enfin le non-respect de certains conducteurs de la plaque «Stop» a provoqué 17 accidents en sept mois. L'énigme du «mardi» Encore un détail important dévoilé par l'étude de la Gendarmerie d'Alger, c'est que la plupart des accidents routiers se sont produits durant un mardi. Un jour de la semaine devenu le plus mortel et le plus important dans le nombre des accidents, relève l'étude des gendarmes. En chiffres, 129 accidents se sont produits les journées du mardi, cela durant les sept premiers mois de l'année en cours, ce qui représente une moyenne de 16,39%. Avec 88 accidents routiers enregistrés les samedis des sept premiers mois, cette journée du week-end est la moins mortelle sur les routes, fait constater l'étude. Par ailleurs, les unités de la Gendarmerie nationale indiquent que la journée du dimanche est un jour à risque sur les routes, d'autant que 122 accidents ont été recensés durant cette journée de la semaine. Pour la journée de lundi, 103 accidents ont été dénombrés, alors que 118 accidents ont été recensés durant les journées du mercredi, 117 accidents recensés durant les jeudis et enfin 110 accidents comptabilisés durant les vendredis. Une étude très intéressante faite par le Groupement de la Gendarmerie nationale d'Alger sur les accidents de la route et le comportement des conducteurs et conductrices algérois vient d'être dévoilée. On commence tout d'abord par donner les derniers chiffres enregistrés par les gendarmes d'Alger sur le nombre des accidents routiers, les blessés et les morts qui causés durant les sept premiers mois de l'année 2012. Ainsi, durant la période allant du 1er janvier au 27 juillet dernier, les unités de la Gendarmerie nationale d'Alger ont recensé 813 accidents routiers, dont 39 accidents mortels, ce qui représente 4,79% de taux des accidents et 622 accidents corporels, soit un taux de 76,50%. Ces accidents ont provoqué la mort de 39 personnes et 1103 autres blessées, rapporte le bilan de la Gendarmerie inclus dans cette étude. Passons maintenant aux différents facteurs ayant causé la multiplication des accidents routiers sur les routes d'Alger. L'étude fait ressortir que 682 accidents routiers ont été causés par le facteur humain, puis 96 accidents se sont produits suite à un mauvais comportement des piétons. Alors que 16 accidents routiers sont causés par le mauvais état des routes et l'environnement. Puis, il ne faut pas oublier que le facteur des véhicules vétustes a causé, à son tour, 19 accidents routiers. Commençons tout d'abord par le facteur humain ayant provoqué l'augmentation des accidents routiers. Sur ce plan, l'étude dévoile pas mal de choses que, certainement, beaucoup d'Algériens ne savent pas. L'étude des gendarmes d'Alger indique que les conducteurs ayant acquis leurs permis voilà quelques petits mois seulement sont derrières 50, 31% des accidents routiers, ce qui représente déjà la moitié si ce n'est un peu plus. Autre détail important, la plupart des automobilistes impliqués dans les accidents routiers sont âgés entre 18 et 29 ans. Pour les conducteurs âgés de moins de 18 ans, ces derniers sont derrière 163 accidents de la circulation recensés en sept mois (1er janvier au 27 juillet 2012). Pour les conducteurs ayant la tranche d'âge allant de 18 à 29 ans, ces derniers sont impliqués dans 396 accidents routiers, soit le plus gros taux. L'étude de la gendarmerie algéroise fait, également, ressortir que les automobilistes âgés entre 30 et 39 ans sont derrière 222 accidents routiers, alors que les 40 àt 49 ans ont provoqué 157 accidents ; les 50 àt 59 ans sont derrière 147 accidents et enfin les chauffeurs âgés de plus de 60 ans sont derrière 31 accidents de la circulation. Les femmes conductrices ont provoqué 250 accidents routiers à Alger Durant les cinq dernières années, les auto-écoles avaient connu un «boom» sans précédent d'un nouveau profil de candidats, des femmes âgées de plus de 50 ans, alors que d'habitude c'étaient plutôt les jeunes filles qui s'intéressaient au permis de conduire. D'ailleurs, il est intéressant de rappeler qu'en 2011 le nombre de femmes ayant passé les épreuves pour l'acquisition d'un permis de conduire avait, pour la première fois, dépassé les hommes. L'arrivée en masse des femmes conductrices sur les routes avait créé, en outre, de nouveaux comportements « irresponsables » de certains conducteurs, hommes. En plus de ça, beaucoup de conductrices stressées apparemment par le comportement de certains automobilistes ont provoqué des accidents routiers, parfois mortels. En sept mois, 250 femmes conductrices sont impliquées dans des accidents de la circulation, indique l'étude de la Gendarmerie nationale. «Top» huit des accidents routiers Encore une fois, l'excès de vitesse vient en tête du classement du "top"des huit causes des accidents routiers. En matière de chiffres, on note l'implication de 178 automobilistes pour excès de vitesse. Ces derniers ont, malheureusement, provoqué des accidents mortels sur les routes d'Alger, en utilisant la vitesse supérieure. En deuxième position des causes, ce n'est autre que le non-respect de la distance sécuritaire séparant un véhicule et un autre avec 140 accidents provoqués à partir de cette cause. En troisième position c'est l'imprudence des piétons avec 117 accidents provoqués par des citoyens voulant traverser une voie. La quatrième cause qui a multiplié les accidents routiers à Alger est le changement dangereux de direction avec 71 accidents enregistrés par les unités de la Gendarmerie nationale. Le dépassement dangereux vient en cinquième position avec 103 accidents enregistrés, puis en sixième position c'est le délit de fuite (l'auteur a causé un accident puis il s'est enfui) avec 43 cas recensés. La septième cause ayant provoqué un accident est la conduite en état d'ivresse avec 17 accidents, dont certains mortels recensés à Alger. Puis enfin le non-respect de certains conducteurs de la plaque «Stop» a provoqué 17 accidents en sept mois. L'énigme du «mardi» Encore un détail important dévoilé par l'étude de la Gendarmerie d'Alger, c'est que la plupart des accidents routiers se sont produits durant un mardi. Un jour de la semaine devenu le plus mortel et le plus important dans le nombre des accidents, relève l'étude des gendarmes. En chiffres, 129 accidents se sont produits les journées du mardi, cela durant les sept premiers mois de l'année en cours, ce qui représente une moyenne de 16,39%. Avec 88 accidents routiers enregistrés les samedis des sept premiers mois, cette journée du week-end est la moins mortelle sur les routes, fait constater l'étude. Par ailleurs, les unités de la Gendarmerie nationale indiquent que la journée du dimanche est un jour à risque sur les routes, d'autant que 122 accidents ont été recensés durant cette journée de la semaine. Pour la journée de lundi, 103 accidents ont été dénombrés, alors que 118 accidents ont été recensés durant les journées du mercredi, 117 accidents recensés durant les jeudis et enfin 110 accidents comptabilisés durant les vendredis.