L'ex-ministre des Travaux publics, veut aller vite dans le projet de création d'un parti politique. Il semble même qu'il serait sur le point de déposer sur le bureau du ministre de l'Intérieur le dossier constitutif de ce parti. Selon certaines indiscrétions ce sera chose faite ce mercredi, soit demain. Demain donc Amar Ghoul, qui sera sans doute accompagné par d'autres membres fondateurs de ce nouveau parti dénommé TAJ (Tajamoua amal El Djazair) sollicitera les services du ministère de l'Intérieur pour l'obtention d'un quitus en vue de tenir son congrès constitutif. Un conclave dont la date semble avoir d'ores et déjà été arrêtée. En effet, à en croire des sources proches de Amar Ghoul, le congrès devrait se tenir à la mi-septembre, soit dans un mois. Il devrait cependant réunir les cadres de cette nouvelle formation avant la tenue du congrès constitutif. A ce titre une conférence aura lieu, selon toujours les indiscrétions qui ont filtré de l'entourage de l'ex-ministre des Travaux publics le 24 août prochain. Amar Ghoul devra donc désormais sortir au grand jour. Depuis l'annonce de la création de ce parti, le député d'Alger semble avoir engagé une course contre la montre dans le but, sans doute aucun, d'être prêt à mener la bataille des élections locales, prévues le 29 novembre prochain. Mais pour pouvoir y participer, le TAJ doit avoir l'agrément des services du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. Tout porte à croire que cela semble être une simple formalité. Amar Ghoul aura donc consommé son divorce avec son ancien parti, le MSP. L'ex-ministre des Travaux publics et actuel député d'Alger a pris d'abord ses distances avec le MSP avant d'annoncer officiellement sa démission. Ghoul n'a, en effet, pas apprécié la décision de son ex-parti de ne pas participer au nouveau gouvernement que devrait normalement former le président de la République. Cette décision, prise par le conseil consultatif une quinzaine de jours après la proclamation des résultats des élections législatives du 10 mai dernier, a été rejetée par Ghoul et d'autres membres du MSP. En effet, de hauts responsables au sein du MSP, à l'exemple de Mohamed Megharia, dit Hajd Hamou, qui assumait les charges de vice-président, ont alors manifesté leur opposition, avant de claquer la porte du parti. Le MSP a ainsi perdu de nombreux cadres, qui ont suivi Amar Ghoul. Certains font partie du bureau national, d'autres du conseil consultatif. Tout porte à croire que d'autres démissions des rangs du MSP seront enregistrées avant la tenue du congrès constitutif du TAJ. Mais cette nouvelle épreuve n'inquiétée pas outre mesure le MSP, comme le soutient d'ailleurs son président ; Bouguerra Soltani. Pour ce dernier en effet le MSP est fort et ne peut donc souffrir de cette dissidence. Dans de récentes déclarations il a en effet laissé clairement entendre que le TAJ subira le même sort que le Front du changement (FC), un parti crée par d'autres dissidents du MSP emmené par Abdelmadjid Menasra. Le FC a subi en effet une déroute lors des législatives du 10 mai puisqu'il n'a obtenu que 4 sièges à l'APN. Serait-ce effectivement le cas ? Seul l'avenir nous le dira alors que Amar Ghoul et ses amis font de grands desseins pour le futur nouveau-né de la classe politique nationale. L'ex-ministre des Travaux publics, veut aller vite dans le projet de création d'un parti politique. Il semble même qu'il serait sur le point de déposer sur le bureau du ministre de l'Intérieur le dossier constitutif de ce parti. Selon certaines indiscrétions ce sera chose faite ce mercredi, soit demain. Demain donc Amar Ghoul, qui sera sans doute accompagné par d'autres membres fondateurs de ce nouveau parti dénommé TAJ (Tajamoua amal El Djazair) sollicitera les services du ministère de l'Intérieur pour l'obtention d'un quitus en vue de tenir son congrès constitutif. Un conclave dont la date semble avoir d'ores et déjà été arrêtée. En effet, à en croire des sources proches de Amar Ghoul, le congrès devrait se tenir à la mi-septembre, soit dans un mois. Il devrait cependant réunir les cadres de cette nouvelle formation avant la tenue du congrès constitutif. A ce titre une conférence aura lieu, selon toujours les indiscrétions qui ont filtré de l'entourage de l'ex-ministre des Travaux publics le 24 août prochain. Amar Ghoul devra donc désormais sortir au grand jour. Depuis l'annonce de la création de ce parti, le député d'Alger semble avoir engagé une course contre la montre dans le but, sans doute aucun, d'être prêt à mener la bataille des élections locales, prévues le 29 novembre prochain. Mais pour pouvoir y participer, le TAJ doit avoir l'agrément des services du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. Tout porte à croire que cela semble être une simple formalité. Amar Ghoul aura donc consommé son divorce avec son ancien parti, le MSP. L'ex-ministre des Travaux publics et actuel député d'Alger a pris d'abord ses distances avec le MSP avant d'annoncer officiellement sa démission. Ghoul n'a, en effet, pas apprécié la décision de son ex-parti de ne pas participer au nouveau gouvernement que devrait normalement former le président de la République. Cette décision, prise par le conseil consultatif une quinzaine de jours après la proclamation des résultats des élections législatives du 10 mai dernier, a été rejetée par Ghoul et d'autres membres du MSP. En effet, de hauts responsables au sein du MSP, à l'exemple de Mohamed Megharia, dit Hajd Hamou, qui assumait les charges de vice-président, ont alors manifesté leur opposition, avant de claquer la porte du parti. Le MSP a ainsi perdu de nombreux cadres, qui ont suivi Amar Ghoul. Certains font partie du bureau national, d'autres du conseil consultatif. Tout porte à croire que d'autres démissions des rangs du MSP seront enregistrées avant la tenue du congrès constitutif du TAJ. Mais cette nouvelle épreuve n'inquiétée pas outre mesure le MSP, comme le soutient d'ailleurs son président ; Bouguerra Soltani. Pour ce dernier en effet le MSP est fort et ne peut donc souffrir de cette dissidence. Dans de récentes déclarations il a en effet laissé clairement entendre que le TAJ subira le même sort que le Front du changement (FC), un parti crée par d'autres dissidents du MSP emmené par Abdelmadjid Menasra. Le FC a subi en effet une déroute lors des législatives du 10 mai puisqu'il n'a obtenu que 4 sièges à l'APN. Serait-ce effectivement le cas ? Seul l'avenir nous le dira alors que Amar Ghoul et ses amis font de grands desseins pour le futur nouveau-né de la classe politique nationale.