Manifestement, l'annonce de la création par l'ex-ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, d'un parti politique préoccupe au plus haut point le Mouvement de la société pour la paix (MSP). Car le MSP est quelque peu déstabilisé par cette annonce, et ce, d'autant que des informations insistantes font cas du ralliement de nombreux cadres du mouvement au nouveau parti de Ghoul. En effet, à en croire certaines informations publiées dans la presse nationale, nombreux sont les cadres du MSP, dont des ministres, des députés et des membres du bureau national, auraient rejoint la nouvelle formation politique, dont l'annonce officielle de sa création interviendrait probablement vers la fin du mois en cours. Ce sont justement ces informations relatives au ralliement que vient de démentir fermement le MSP. «Les membres du bureau national dont les noms ont été cités par certains journaux démentent ce qui leur a été attribué comme propos et réitèrent leur engagement vis-à-vis du mouvement, de ses décisions et de ses institutions», note le communiqué du bureau national rendu public avant-hier à l'issue d'une réunion consacrée essentiellement à cette question. Il faut dire que depuis quelques jours, la presse nationale publie régulièrement des informations sur le ralliement des cadres du MSP du parti que compte créer l'ex- ministre des Travaux publics, Amar Ghoul. Dans ce cas, plusieurs noms de membres du bureau national ont été cités, dont Abdelwahab, Abdelhalim, Kamal Mida, Ahmed Latifi, et Mohamed Djemaa. A en croire donc le communiqué du MSP signé de la main de son président, Aboudjerra Soltani, aucun membre du bureau national encore moins des ministres du mouvement, ne comptent rejoindre le parti de Amar Ghoul. Le bureau national, note encore le comuniqué, «rassure les militants et les militantes du mouvement en les informant qu'ils ne sont pas concernés par ce qui se passe en dehors des cadres organisationnels et les appelle à rester en contact avec les institutions du mouvement et ses structures en vue de prendre les informations auprès des sources officielles». Ceci atteste bien que quelque chose ne tourne pas rond au MSP qui est sans doute à la veille d'une autre crise interne dont on ne peut encore mesurer l'impact sur la stabilité et la cohésion des rangs. Amar Ghoul et une partie des cadres du mouvement n'ont pas apprécié la décision du conseil consultatif n'autorisant pas la participation du mouvement au prochain gouvernement. Ghoul et ses amis auraient souhaité que le MSP, continue de faire partie de la coalition gouvernementale alors que la plus haute instance du mouvement, qui s'est élevée contre la fraude qui a caractérisé les législatives du 10 mai dernier , en a décidé autrement. Au lendemain de cette résolution du conseil consultatif, le discours du MSP s'est quelque peu radicalisé. Pour preuve, le mouvement a décidé, dans le cadre de l'Alliance de l'Algérie verte, de boycotter les structures de l'APN. C'est ce retour à cette ligne politique, qui rompt avec l'option participationniste, qui n'agrée pas l'ex-ministre des Travaux publics et ses amis. D'où leur décision de quitter le MSP et d'aller créer un autre parti politique. Manifestement, l'annonce de la création par l'ex-ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, d'un parti politique préoccupe au plus haut point le Mouvement de la société pour la paix (MSP). Car le MSP est quelque peu déstabilisé par cette annonce, et ce, d'autant que des informations insistantes font cas du ralliement de nombreux cadres du mouvement au nouveau parti de Ghoul. En effet, à en croire certaines informations publiées dans la presse nationale, nombreux sont les cadres du MSP, dont des ministres, des députés et des membres du bureau national, auraient rejoint la nouvelle formation politique, dont l'annonce officielle de sa création interviendrait probablement vers la fin du mois en cours. Ce sont justement ces informations relatives au ralliement que vient de démentir fermement le MSP. «Les membres du bureau national dont les noms ont été cités par certains journaux démentent ce qui leur a été attribué comme propos et réitèrent leur engagement vis-à-vis du mouvement, de ses décisions et de ses institutions», note le communiqué du bureau national rendu public avant-hier à l'issue d'une réunion consacrée essentiellement à cette question. Il faut dire que depuis quelques jours, la presse nationale publie régulièrement des informations sur le ralliement des cadres du MSP du parti que compte créer l'ex- ministre des Travaux publics, Amar Ghoul. Dans ce cas, plusieurs noms de membres du bureau national ont été cités, dont Abdelwahab, Abdelhalim, Kamal Mida, Ahmed Latifi, et Mohamed Djemaa. A en croire donc le communiqué du MSP signé de la main de son président, Aboudjerra Soltani, aucun membre du bureau national encore moins des ministres du mouvement, ne comptent rejoindre le parti de Amar Ghoul. Le bureau national, note encore le comuniqué, «rassure les militants et les militantes du mouvement en les informant qu'ils ne sont pas concernés par ce qui se passe en dehors des cadres organisationnels et les appelle à rester en contact avec les institutions du mouvement et ses structures en vue de prendre les informations auprès des sources officielles». Ceci atteste bien que quelque chose ne tourne pas rond au MSP qui est sans doute à la veille d'une autre crise interne dont on ne peut encore mesurer l'impact sur la stabilité et la cohésion des rangs. Amar Ghoul et une partie des cadres du mouvement n'ont pas apprécié la décision du conseil consultatif n'autorisant pas la participation du mouvement au prochain gouvernement. Ghoul et ses amis auraient souhaité que le MSP, continue de faire partie de la coalition gouvernementale alors que la plus haute instance du mouvement, qui s'est élevée contre la fraude qui a caractérisé les législatives du 10 mai dernier , en a décidé autrement. Au lendemain de cette résolution du conseil consultatif, le discours du MSP s'est quelque peu radicalisé. Pour preuve, le mouvement a décidé, dans le cadre de l'Alliance de l'Algérie verte, de boycotter les structures de l'APN. C'est ce retour à cette ligne politique, qui rompt avec l'option participationniste, qui n'agrée pas l'ex-ministre des Travaux publics et ses amis. D'où leur décision de quitter le MSP et d'aller créer un autre parti politique.