Suite à l'exécution de Tahar Touati - non encore confirmée - revendiquée par les terroristes du Mujao, des méharis armés (Touaregs à dos de chameaux) se sont mobilisés pour traquer les goupes armés qui tentent de s'infiltrer au Sahara algérien pour y exécuter des attentats, nous apprend une source sécuritaire. Cette mobilisation des Touaregs intervient au moment où un mouvement islamiste armé, le Mouvement des fils du Sahara pour la justice islamique (MSJI), menace à son tour. Débordement de la situation au Sahel Depuis l'arrestation de Necib Tayeb, alias Ishak Essoufi, à Ghardaïa, les terroristes du Mujao, à l'instar d'Aqmi ont affiché leur barbarisme, en exécutant, fort probablement, le vice-consul algérien et en menaçant de représailles l'Algérie. Cette triste information a été traitée, par le ministre des Affaires étrangères, avec beaucoup de prudence, qui n'a pas encore confirmé ou infirmé l'exécution de Tahar Touati. Le MSJI a ressurgi, après une éclipse de cinq années, annonçant son intention de reprendre les armes. Cela au moment où les terroristes du Mujao ont, à leur tour, annoncé de porter leur « guerre » dans les villes algériennes, après le refus de l'Etat algérien de négocier le relâchement d'Issehak Essoufi. Cette escalade des terroristes survient au moment où les forces algériennes sont déjà mobilisés tout le long du tracé frontalier algéro-malien depuis les tristes événements du 22 mars passé, lorsque des rebelles Azawads du MNLA ont pris le contrôle des villes du nord du Mali. Des villes maliennes qui, aujourd'hui, sont sous le contrôle des groupes terroristes, le Mujao, l'Aqmi et Ançar Edine. Ce chamboulement dans cette sous-région du Sahel suivie, d'une cascade d'événements a poussé les populations targuies, résidant dans le Grand Sahara algérien, d'appréhender l'avenir et de se mobiliser pour contrer d'éventuelles infiltrations des terroristes du Mujao et d'Aqmi, surtout que ces derniers ont déjà ciblé deux villes du Sud algérien, Ouargla et Tamanrasset, par deux attentats kamikazes. L'exécution probable du vice-consul algérien Tahar Touati par le Mujao a soulevé le courroux des Azawads algériens. Ces derniers, tout comme ils l'avaient fait, au cours des années précédentes contre les terroristes d'Aqmi, se sont mobilisés, cette fois-ci, pour traquer les terroristes du Mujao, ce groupe terroriste, auteur de l'éventuelle exécution de l'enfant de l'Algérie, Tahar Touati. Ce possible assassinat a créé une forte mobilisation des Touaregs algériens pour traquer, sur le sol algérien, les terroristes du Mujao tentant d'infiltrer ou exécuter un attentat au Sud algérien. Selon une source bien informée, des méharis ont été mobilisés par les Touaregs pour contrôler le Grand Sahara algérien avec la coopération des services de sécurité qui leur prêtent main-forte. C'est la même lutte contre les terroristes sanguinaires quelles que soient leurs affiliations, Aqmi ou Mujao, peu importe, puisqu'au final, ce sont des ennemis de l'Algérie. Les frontières algéro-maliennes fermées depuis cinq mois L'exécution, non confirmée jusqu'à présent du vice-consul, Tahar Touati par le Mujao, a poussé certains médias à parler d'une forte réaction des autorités algériennes. Ces médias avancent comme « preuve », qu'une grande mobilisation de troupes de l'armée algérienne suivie d'un isolement du territoire azawad frontalier au Mali ont été prises, ces derniers jours, par l'Etat algérien en guise de première réaction urgente. Avant de parler d'une mobilisation de près de 30.000 soldats de l'ANP au niveau des frontières algéro-maliennes. Face à ces informations il est utile de rappeler une chose. D'abord, les troupes algériennes sont mobilisées au niveau des frontières algéro-maliennes depuis le mois de mars dernier. Une période ayant enregistré d'importants événements, à commencer par le putsh contre l'ex-président malien, Amadou Toumani Touré (ATT), après que des villes du nord du Mali soient tombées sous le contrôle des groupes terroristes et le MNLA pourchassé. De ce fait il est totalement faux de parler d'une vaste mobilisation de troupes algériennes suite à l'exécution de Tahar Touati. Ces mêmes médias qui, faut-il le rappeler aussi, avaient colporté, il y a quatre mois de cela, l'information fausse de la prétendue libération des sept diplomates algériens. Ils avaient basé leurs informations sur des déclarations de cadres du MNLA, alors que ces derniers sont, à leur tour , égarés dans le Nord. Au début de la grande opération menée au nord du Mali, les rebelles azawads avaient pourchassé les troupes maliennes et occupé plusieurs villes du Nord avant d'être pourchassés par les terroristes d'Aqmi et du Mujao et par le Ançar Edine. Les chefs notoires, Abou Zeid, Mokhtar Belmokhtar, Nabil Sahraoui, Abou Gaâgaâ et Abou Abderrahmane El Walid Sahraoui ont donné les consignes à leurs acolytes d'occuper toutes les villes maliennes situées dans le Nord. Quant à Iyad Ag Ghaly, chef d'Ancar Edine, il a choisi d'occuper Kidal et de pourchasser les rebelles du MNLA. Suite à l'exécution de Tahar Touati - non encore confirmée - revendiquée par les terroristes du Mujao, des méharis armés (Touaregs à dos de chameaux) se sont mobilisés pour traquer les goupes armés qui tentent de s'infiltrer au Sahara algérien pour y exécuter des attentats, nous apprend une source sécuritaire. Cette mobilisation des Touaregs intervient au moment où un mouvement islamiste armé, le Mouvement des fils du Sahara pour la justice islamique (MSJI), menace à son tour. Débordement de la situation au Sahel Depuis l'arrestation de Necib Tayeb, alias Ishak Essoufi, à Ghardaïa, les terroristes du Mujao, à l'instar d'Aqmi ont affiché leur barbarisme, en exécutant, fort probablement, le vice-consul algérien et en menaçant de représailles l'Algérie. Cette triste information a été traitée, par le ministre des Affaires étrangères, avec beaucoup de prudence, qui n'a pas encore confirmé ou infirmé l'exécution de Tahar Touati. Le MSJI a ressurgi, après une éclipse de cinq années, annonçant son intention de reprendre les armes. Cela au moment où les terroristes du Mujao ont, à leur tour, annoncé de porter leur « guerre » dans les villes algériennes, après le refus de l'Etat algérien de négocier le relâchement d'Issehak Essoufi. Cette escalade des terroristes survient au moment où les forces algériennes sont déjà mobilisés tout le long du tracé frontalier algéro-malien depuis les tristes événements du 22 mars passé, lorsque des rebelles Azawads du MNLA ont pris le contrôle des villes du nord du Mali. Des villes maliennes qui, aujourd'hui, sont sous le contrôle des groupes terroristes, le Mujao, l'Aqmi et Ançar Edine. Ce chamboulement dans cette sous-région du Sahel suivie, d'une cascade d'événements a poussé les populations targuies, résidant dans le Grand Sahara algérien, d'appréhender l'avenir et de se mobiliser pour contrer d'éventuelles infiltrations des terroristes du Mujao et d'Aqmi, surtout que ces derniers ont déjà ciblé deux villes du Sud algérien, Ouargla et Tamanrasset, par deux attentats kamikazes. L'exécution probable du vice-consul algérien Tahar Touati par le Mujao a soulevé le courroux des Azawads algériens. Ces derniers, tout comme ils l'avaient fait, au cours des années précédentes contre les terroristes d'Aqmi, se sont mobilisés, cette fois-ci, pour traquer les terroristes du Mujao, ce groupe terroriste, auteur de l'éventuelle exécution de l'enfant de l'Algérie, Tahar Touati. Ce possible assassinat a créé une forte mobilisation des Touaregs algériens pour traquer, sur le sol algérien, les terroristes du Mujao tentant d'infiltrer ou exécuter un attentat au Sud algérien. Selon une source bien informée, des méharis ont été mobilisés par les Touaregs pour contrôler le Grand Sahara algérien avec la coopération des services de sécurité qui leur prêtent main-forte. C'est la même lutte contre les terroristes sanguinaires quelles que soient leurs affiliations, Aqmi ou Mujao, peu importe, puisqu'au final, ce sont des ennemis de l'Algérie. Les frontières algéro-maliennes fermées depuis cinq mois L'exécution, non confirmée jusqu'à présent du vice-consul, Tahar Touati par le Mujao, a poussé certains médias à parler d'une forte réaction des autorités algériennes. Ces médias avancent comme « preuve », qu'une grande mobilisation de troupes de l'armée algérienne suivie d'un isolement du territoire azawad frontalier au Mali ont été prises, ces derniers jours, par l'Etat algérien en guise de première réaction urgente. Avant de parler d'une mobilisation de près de 30.000 soldats de l'ANP au niveau des frontières algéro-maliennes. Face à ces informations il est utile de rappeler une chose. D'abord, les troupes algériennes sont mobilisées au niveau des frontières algéro-maliennes depuis le mois de mars dernier. Une période ayant enregistré d'importants événements, à commencer par le putsh contre l'ex-président malien, Amadou Toumani Touré (ATT), après que des villes du nord du Mali soient tombées sous le contrôle des groupes terroristes et le MNLA pourchassé. De ce fait il est totalement faux de parler d'une vaste mobilisation de troupes algériennes suite à l'exécution de Tahar Touati. Ces mêmes médias qui, faut-il le rappeler aussi, avaient colporté, il y a quatre mois de cela, l'information fausse de la prétendue libération des sept diplomates algériens. Ils avaient basé leurs informations sur des déclarations de cadres du MNLA, alors que ces derniers sont, à leur tour , égarés dans le Nord. Au début de la grande opération menée au nord du Mali, les rebelles azawads avaient pourchassé les troupes maliennes et occupé plusieurs villes du Nord avant d'être pourchassés par les terroristes d'Aqmi et du Mujao et par le Ançar Edine. Les chefs notoires, Abou Zeid, Mokhtar Belmokhtar, Nabil Sahraoui, Abou Gaâgaâ et Abou Abderrahmane El Walid Sahraoui ont donné les consignes à leurs acolytes d'occuper toutes les villes maliennes situées dans le Nord. Quant à Iyad Ag Ghaly, chef d'Ancar Edine, il a choisi d'occuper Kidal et de pourchasser les rebelles du MNLA.