Les participants à une table ronde organisé par l'Isesco sous le thème "L'outrage au Prophète dans le film Innocence des Musulmans : contexte, origines et remèdes", ont appelé à traiter, avec sagesse et clairvoyance, les productions médiatiques portant outrage au Prophète Mohamed (QSSSL) et aux symboles religieux, loin de toute réaction hâtive. Les experts réunis dans le cadre du colloque international, organisé par l'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture, lundi et mardi à Chefchaouen (nord du Maroc), sous le thème "L'Isesco et les Musulmans en occident", ont également appelé à poursuivre devant les tribunaux internationaux, les personnes et les institutions coupables d'inciter à la haine et au racisme à l'encontre de l'Islam et des musulmans et de porter atteinte à ses symboles sacrés. A cet égard, les participants ont souligné la nécessité de coordonner les efforts entre les institutions officielles et les organisations de la société civile pour la mise en application de la résolution 224/65 de l'Assemblée générale des Nations unies relative à la lutte contre la diffamation des religions. Dans ce cadre, les participants ont exhorté la Fédération internationale des journalistes (FIJ) et les instances opérant dans le domaine de l'audiovisuel à accélérer la promulgation d'un code d'honneur ou d'une convention internationale engageant les différents acteurs exerçant dans le domaine des nouveaux multimédias et de la production cinématographique à respecter les clauses et les dispositions prévues dans ladite résolution ainsi que dans les déclarations et conventions internationales relatives aux droits de l'Homme. Ils ont aussi appelé au respect des libertés individuelles, collectives et de la préservation de la dignité de l'Homme et de la coexistence entre les religions, soulignant la nécessité d'associer liberté d'expression à responsabilité et à rejeter la politique de deux poids deux mesures. Par ailleurs, les participants ont déploré l'assassinat de personnes, la destruction d'installations et de sièges des représentations diplomatiques de pays occidentaux dans le monde islamique. Tout en désapprouvant certaines positions qui rejettent la condamnation des producteurs du film, les participants ont salué les positions des institutions politiques, culturelles, médiatiques, artistiques, diplomatiques et religieuses dans le monde lesquelles ont exprimé leur indignation à l'égard du film, appelant au respect des symboles religieux islamiques. D'autre part, ils ont appelé les sages du monde islamique et occidental à cerner le problème et d'éviter l'effusion de sang et préserver la paix, la sécurité, la coexistence et la tolérance entre les adeptes des religions. A cet égard, ils ont estimé qu'il devient urgent de fédérer les actions diplomatiques, juridiques, culturelles et éducatives en vue de barrer le chemin aux islamophobes et aux fauteurs de troubles qui sèment la discorde dans les pays occidentaux et incitent à commettre la violence et l'extrémisme dans le monde islamique. De même qu'ils ont recommandé aux producteurs cinématographiques d'accorder de l'intérêt aux thèmes qui défendent l'identité culturelle islamique et présentent les nobles idéaux de l'Islam basés sur la tolérance et les bonnes vertus du Prophète (QSSSL). Les participants à une table ronde organisé par l'Isesco sous le thème "L'outrage au Prophète dans le film Innocence des Musulmans : contexte, origines et remèdes", ont appelé à traiter, avec sagesse et clairvoyance, les productions médiatiques portant outrage au Prophète Mohamed (QSSSL) et aux symboles religieux, loin de toute réaction hâtive. Les experts réunis dans le cadre du colloque international, organisé par l'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture, lundi et mardi à Chefchaouen (nord du Maroc), sous le thème "L'Isesco et les Musulmans en occident", ont également appelé à poursuivre devant les tribunaux internationaux, les personnes et les institutions coupables d'inciter à la haine et au racisme à l'encontre de l'Islam et des musulmans et de porter atteinte à ses symboles sacrés. A cet égard, les participants ont souligné la nécessité de coordonner les efforts entre les institutions officielles et les organisations de la société civile pour la mise en application de la résolution 224/65 de l'Assemblée générale des Nations unies relative à la lutte contre la diffamation des religions. Dans ce cadre, les participants ont exhorté la Fédération internationale des journalistes (FIJ) et les instances opérant dans le domaine de l'audiovisuel à accélérer la promulgation d'un code d'honneur ou d'une convention internationale engageant les différents acteurs exerçant dans le domaine des nouveaux multimédias et de la production cinématographique à respecter les clauses et les dispositions prévues dans ladite résolution ainsi que dans les déclarations et conventions internationales relatives aux droits de l'Homme. Ils ont aussi appelé au respect des libertés individuelles, collectives et de la préservation de la dignité de l'Homme et de la coexistence entre les religions, soulignant la nécessité d'associer liberté d'expression à responsabilité et à rejeter la politique de deux poids deux mesures. Par ailleurs, les participants ont déploré l'assassinat de personnes, la destruction d'installations et de sièges des représentations diplomatiques de pays occidentaux dans le monde islamique. Tout en désapprouvant certaines positions qui rejettent la condamnation des producteurs du film, les participants ont salué les positions des institutions politiques, culturelles, médiatiques, artistiques, diplomatiques et religieuses dans le monde lesquelles ont exprimé leur indignation à l'égard du film, appelant au respect des symboles religieux islamiques. D'autre part, ils ont appelé les sages du monde islamique et occidental à cerner le problème et d'éviter l'effusion de sang et préserver la paix, la sécurité, la coexistence et la tolérance entre les adeptes des religions. A cet égard, ils ont estimé qu'il devient urgent de fédérer les actions diplomatiques, juridiques, culturelles et éducatives en vue de barrer le chemin aux islamophobes et aux fauteurs de troubles qui sèment la discorde dans les pays occidentaux et incitent à commettre la violence et l'extrémisme dans le monde islamique. De même qu'ils ont recommandé aux producteurs cinématographiques d'accorder de l'intérêt aux thèmes qui défendent l'identité culturelle islamique et présentent les nobles idéaux de l'Islam basés sur la tolérance et les bonnes vertus du Prophète (QSSSL).