Personne ne peut nier le travail accompli de l'entraîneur bosnien, Vahid Halilhodzic, effectué depuis son installation à la tête de la barre technique de la sélection algérienne de football. Sur les dix dernières sorties qu'il a dirigées, le coach a réussi à arracher huit victoires, un nul et une défaite. Des statistiques qui plaident en sa faveur. Personne ne peut nier le travail accompli de l'entraîneur bosnien, Vahid Halilhodzic, effectué depuis son installation à la tête de la barre technique de la sélection algérienne de football. Sur les dix dernières sorties qu'il a dirigées, le coach a réussi à arracher huit victoires, un nul et une défaite. Des statistiques qui plaident en sa faveur. Le coach est visiblement heureux de la chance qui lui sourit depuis son arrivée en Algérie. Vahid Halilhodzic qui a entamé son travail au mois de septembre 2011, à l'occasion du match retour face à la Tanzanie des éliminatoires de la précédente édition de la coupe d'Afrique des nations, est sur une courbe ascendante. Les statistiques plaident en faveur du sélectionneur national qui, en dix matches, a réussi à glaner 21 buts toutes compétitions confondues. Ce qui donnera une moyenne de deux but par match pour une équipe qui avait éprouvé d'énormes difficultés par le passé pour inscrire un but dans un match. Depuis son arrivée, Vahid Halilhodzic faisait l'état des lieux, constatant au passage la fébrilité de l'attaque de l'équipe algérienne notamment hors de ses bases. Il a beaucoup insisté sur ce compartiment de l'attaque qui est, selon lui, très important. Après un match nul face à la Tanzanie, à Dar Es Salem, la sélection algérienne sous la houlette de Vahid Halilhodzic a battu l'équipe centrafricaine sur le score de 2 buts à 0. Jusque là, Halilhodzic n'a pas encore entamé les choses sérieuses puisque son objectif principal reste la qualification de l'équipe algérienne pour la coupe d'Afrique des nations 2013 et Coupe du monde 2014. Avant d'entamer son travail, l'entraîneur national a effectué pendant plusieurs mois une mission de supervision des joueurs susceptibles de renforcer les rangs de l'équipe. Il n'a pas écarté les anciens, mais il a pu injecter quelques éléments, en créant une certaine concurrence dans le groupe. Contrairement à ses prédécesseurs qui avaient l'habitude de reconduire la même équipe pendant plusieurs mois, Halilhodzic procède à chaque fois aux changements jusqu'à ce que l'équipe type se dessine convenablement. L'actuel sélectionneur des Verts a ramené d'abord Sofiane Feghouli, Islam Slimani qui se distinguent avec la sélection. Par la suite, Halilhodzic a rappelé l'ancien attaquant de l'ASO Chlef, Hillal Soudani, que tout le monde croyait cuit, notamment avec le problème qu'il a vécu avec son nouveau club Guimaraes de Portugal. Après avoir réussi a métamorphoser l'équipe, en changeant un grand nombre de joueurs, le technicien a axé son travail beaucoup plus sur l'aspect technico-tactique. Sans doute beaucoup vont dire pourquoi le mérite lui revient-il ? Il n'y a pas si longtemps, l'équipe éprouvait d'énormes difficultés pour secouer les filets de son adversaire. Les parcours des Verts en Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud reste néanmoins le meilleur exemple. Battre la Libye en aller-retour (0-1, 2-0), dominer la Gambie (4-1) et le Rwanda (4-0), s'imposer face au Niger (3-0) et la Tunisie (1-0) en matches amicaux restent des performances qui n'ont pas été réalisées depuis belle lurette. Maintenant que la sélection algérienne est déjà qualifiée à la phase finale de la coupe d'Afrique des nations en Afrique du Sud, il faut désormais penser au second objectif qui est la qualification à la phase finale de la Coupe du monde au Brésil en 2014, et éviter de penser au travail accompli. Le coach est visiblement heureux de la chance qui lui sourit depuis son arrivée en Algérie. Vahid Halilhodzic qui a entamé son travail au mois de septembre 2011, à l'occasion du match retour face à la Tanzanie des éliminatoires de la précédente édition de la coupe d'Afrique des nations, est sur une courbe ascendante. Les statistiques plaident en faveur du sélectionneur national qui, en dix matches, a réussi à glaner 21 buts toutes compétitions confondues. Ce qui donnera une moyenne de deux but par match pour une équipe qui avait éprouvé d'énormes difficultés par le passé pour inscrire un but dans un match. Depuis son arrivée, Vahid Halilhodzic faisait l'état des lieux, constatant au passage la fébrilité de l'attaque de l'équipe algérienne notamment hors de ses bases. Il a beaucoup insisté sur ce compartiment de l'attaque qui est, selon lui, très important. Après un match nul face à la Tanzanie, à Dar Es Salem, la sélection algérienne sous la houlette de Vahid Halilhodzic a battu l'équipe centrafricaine sur le score de 2 buts à 0. Jusque là, Halilhodzic n'a pas encore entamé les choses sérieuses puisque son objectif principal reste la qualification de l'équipe algérienne pour la coupe d'Afrique des nations 2013 et Coupe du monde 2014. Avant d'entamer son travail, l'entraîneur national a effectué pendant plusieurs mois une mission de supervision des joueurs susceptibles de renforcer les rangs de l'équipe. Il n'a pas écarté les anciens, mais il a pu injecter quelques éléments, en créant une certaine concurrence dans le groupe. Contrairement à ses prédécesseurs qui avaient l'habitude de reconduire la même équipe pendant plusieurs mois, Halilhodzic procède à chaque fois aux changements jusqu'à ce que l'équipe type se dessine convenablement. L'actuel sélectionneur des Verts a ramené d'abord Sofiane Feghouli, Islam Slimani qui se distinguent avec la sélection. Par la suite, Halilhodzic a rappelé l'ancien attaquant de l'ASO Chlef, Hillal Soudani, que tout le monde croyait cuit, notamment avec le problème qu'il a vécu avec son nouveau club Guimaraes de Portugal. Après avoir réussi a métamorphoser l'équipe, en changeant un grand nombre de joueurs, le technicien a axé son travail beaucoup plus sur l'aspect technico-tactique. Sans doute beaucoup vont dire pourquoi le mérite lui revient-il ? Il n'y a pas si longtemps, l'équipe éprouvait d'énormes difficultés pour secouer les filets de son adversaire. Les parcours des Verts en Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud reste néanmoins le meilleur exemple. Battre la Libye en aller-retour (0-1, 2-0), dominer la Gambie (4-1) et le Rwanda (4-0), s'imposer face au Niger (3-0) et la Tunisie (1-0) en matches amicaux restent des performances qui n'ont pas été réalisées depuis belle lurette. Maintenant que la sélection algérienne est déjà qualifiée à la phase finale de la coupe d'Afrique des nations en Afrique du Sud, il faut désormais penser au second objectif qui est la qualification à la phase finale de la Coupe du monde au Brésil en 2014, et éviter de penser au travail accompli.