C'est hier en fin de matinée que le coup d'envoi du procès des quatorze présumés assassins de l'entrepreneur Hend Slimana à Aghrib (wilaya de Tizi Ouzou) s'est ouvert au tribunal criminel de Tizi Ouzou. Dans une salle d'audience archicomble, le procès s'est ouvert après un premier report lors de la session criminelle précédente à la demande d'un avocat. Hier, pas moins de quatre accusés ont défilé à la barre mais, en somme, pour réfuter les griefs retenus contre eux. Le premier à avoir été interrogé par la juge n'est autre que Tchachi Youva. Ce dernier, âgé de 24 ans, a nié toute implication dans les agressions à main armée dont le groupe est l'auteur mais il a révélé qu'il a effectivement « collaboré » avec des groupes terroristes en qualité de soutien. Des déclarations qui sont loin de cadrer avec celle comportées dans l'arrêt de renvoi qui évoque une particpation active de ce dernier puisque, selon le même document, Youva servait de lien entre son frère Boussad et les autres membres du groupe de malfaiteurs. Boussad, le deuxième à venir faire entendre sa version, n'a prononcé aucun mot. Ce dernier souffrirait de troubles psychiatriques, bien que le rapport d'expertise à cet effet nie l'existence de ce déséquilibre mental. Puis, c'est autour de Hlifi Sadek de se présenter devant la juge pour également nier avoir pris part aux exactions du groupe, affirmant juste leur avoir loué un appartement, sans avoir la moindre information des activités de ces individus. Là aussi, ces déclarations sont aux antipodes de celles qu'on retrouve dans l'arrêt de renvoi. L'enquête des gendarmes a montré que cet accusé a joué un rôle important dans la majorité des actions criminelles menées dans les wilayas de Béjaia et de Tizi Ouzou entre 2009 et 2010, année où on tombé la bande de malfaiteurs. Le quatrième accusé à avoir comparu hier est Ibouchoukene Sofiane, qui a lui aussi tout nié alors que dans l'arrêt de renvoi, on signale que c'est lui qui aurait tiré sur la victime Hend Slimana. Ce dernier, pour rappel, a été tué en novembre 2010 après une tentative d'échapper à ses raviseurs dans un faux barrage dressé au niveau de la route Aghrib-Azeffoun. Le groupe en question est composé de 14 membres. Deux sont en état de fuite et doivent de ce fait être jugés par contumace. Ces derniers ont semé la terreur dans les wilayas sus citées car ils dressaient des faux barrages, perpétraient des vols à mains armées, et d'autres méfaits auquels ils devaient répondre lors du procès qui a démarré hier. C'est hier en fin de matinée que le coup d'envoi du procès des quatorze présumés assassins de l'entrepreneur Hend Slimana à Aghrib (wilaya de Tizi Ouzou) s'est ouvert au tribunal criminel de Tizi Ouzou. Dans une salle d'audience archicomble, le procès s'est ouvert après un premier report lors de la session criminelle précédente à la demande d'un avocat. Hier, pas moins de quatre accusés ont défilé à la barre mais, en somme, pour réfuter les griefs retenus contre eux. Le premier à avoir été interrogé par la juge n'est autre que Tchachi Youva. Ce dernier, âgé de 24 ans, a nié toute implication dans les agressions à main armée dont le groupe est l'auteur mais il a révélé qu'il a effectivement « collaboré » avec des groupes terroristes en qualité de soutien. Des déclarations qui sont loin de cadrer avec celle comportées dans l'arrêt de renvoi qui évoque une particpation active de ce dernier puisque, selon le même document, Youva servait de lien entre son frère Boussad et les autres membres du groupe de malfaiteurs. Boussad, le deuxième à venir faire entendre sa version, n'a prononcé aucun mot. Ce dernier souffrirait de troubles psychiatriques, bien que le rapport d'expertise à cet effet nie l'existence de ce déséquilibre mental. Puis, c'est autour de Hlifi Sadek de se présenter devant la juge pour également nier avoir pris part aux exactions du groupe, affirmant juste leur avoir loué un appartement, sans avoir la moindre information des activités de ces individus. Là aussi, ces déclarations sont aux antipodes de celles qu'on retrouve dans l'arrêt de renvoi. L'enquête des gendarmes a montré que cet accusé a joué un rôle important dans la majorité des actions criminelles menées dans les wilayas de Béjaia et de Tizi Ouzou entre 2009 et 2010, année où on tombé la bande de malfaiteurs. Le quatrième accusé à avoir comparu hier est Ibouchoukene Sofiane, qui a lui aussi tout nié alors que dans l'arrêt de renvoi, on signale que c'est lui qui aurait tiré sur la victime Hend Slimana. Ce dernier, pour rappel, a été tué en novembre 2010 après une tentative d'échapper à ses raviseurs dans un faux barrage dressé au niveau de la route Aghrib-Azeffoun. Le groupe en question est composé de 14 membres. Deux sont en état de fuite et doivent de ce fait être jugés par contumace. Ces derniers ont semé la terreur dans les wilayas sus citées car ils dressaient des faux barrages, perpétraient des vols à mains armées, et d'autres méfaits auquels ils devaient répondre lors du procès qui a démarré hier.