Du nouveau dans le commerce : pour réguler la concurrence un Conseil national de la concurrence (CNC) a été institué. Avec aussi la mise en place de cellules de veille pour surveiller le négoce et inhiber l'informel qui plombe le secteur. Du nouveau dans le commerce : pour réguler la concurrence un Conseil national de la concurrence (CNC) a été institué. Avec aussi la mise en place de cellules de veille pour surveiller le négoce et inhiber l'informel qui plombe le secteur. Du nouveau dans le commerce, il tente de se restructurer, c'est ce qui ressort de la dernière réunion du ministre de tutelle avec ses cadres. Le but étant d'en finir avec la spéculation, mais aussi les marchées de vente à la sauvette, porteurs de plus d'un risque dont les répercussions, on le sait et devine, se font ressentir sur le contribuable a priori et l'état a fortiori. Explications : En tant que consommateur de ces produits l'acheteur lambda expose sa santé à tous les risques imaginables, dont la mort. Faut-il rappeler l'irrespect des règles d'hygiène, de la chaîne de froid ou la consommation de certains ingrédients inscrits en «riquiqui» sur des emballages malmenés, dont des agents conservateurs additifs dangereux. En cause les risques qu'ils font porter à la santé. Ces produits, issus d'un marché informel et provenant de différents horizons pour ne pas dire de plusieurs pays, sont proposés, selon la demande et le vendeur à des prix allant de la bourse la plus maigre à la plus aisée. Reste la question de taille, en l'occurrence la traçabilité qui malheureusement fait défaut chez nous, en dépit du nombre de techniciens en rapport avec cette question. Les conséquences deviennent alors évidentes, à savoir un impact sur la santé du consommateur dont les soins sont à la charge de l'état. Pris sous cet aspect il est vrai que plusieurs acteurs de la santé, et par ricochet de la consommation sont montrés du doigt. Il en va de la médecine au commerce en tant que tutelle, des services des Douanes qui vraisemblablement n'ont pas le bon filtre pour laisser passer les marchandises, du secteur de la sensibilisation qui, par appât du gain devient l'acquis de gros lobbies commerciaux et des associations de consommateurs. Au regard de nos marchés actuels mais aussi de nos services hospitaliers la faute aussi honteuse qu'elle soit est commune à tous ses acteurs sous-cités. A moindre coût pour les associations des consommateurs qui en dépit des efforts individuels déployées à ce jour n'arrivent toujours pas à retrouver leur place clairement dans notre société en tant qu'acteur de la société et membre à part dont les avertissements, remarques et recommandations ont un écho et pourquoi pas un retour comme cela se fait ailleurs. La particularité du marché national étant miné par le marché de l'informel. Devenu la gangrène du commerce. Pour en découdre, une série de mesures ont été déjà mises sur rail. Depuis l'été dernier le ministre de l'intérieur et des Collectivités locales a donné le feu vert pour dissuader tout vendeur à la sauvette. A l'issue d'une réunion ministérielle qui a regroupé le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locale, du Commerce, de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, de l'Habitat et de 1'Urbanisme l'été dernier a été convenu d'inhiler le marché informel d'ici au prochain Ramadhan en le résorbant. Pour rappel le budget alloué au commerce pour le quinquennat 2010-2014 est de l'ordre de dix milliards de dinars. Son but essentiel étant en plus de l'entretien de ce qui existe en matière d'infrastructure commercial de combler les vides du secteur. Pour le ministre du Commerce ce vide est marqué par le manque de 1.500 commerces. Le comble étant le nombre de commerces illégaux ou informels recensés durant la même période. Il a été de l'ordre de 1.512 commerces informels. Sur la question les spécialistes, dont sociologues et experts en économie ces vendeurs ne sont que l'arbre qui cache la forêt «chekarienne». Explicitement : pour mettre un terme au marché de l'informel ces experts sont unanimes à reconnaître qu'il faut agir à l'amont. En bref cerner les gros bonnets qui sont les détenteurs de ce marché véreux à partir duquel ses détenteurs tentent de blanchir leur argent sale et le faire atterrir hors circuit standart de l'autre côté de nos frontières via l'acquisition de logement payés selon des sources bien informées rubis sur l'ongle. Aujourd'hui ces pratiques sont en phase d'être cernés et mieux annuler. En cause la réinsertion des vendeurs à la sauvette dans le marché formel. Pour y arriver le département de Benbada a déjà consacré six milliards de dinars du budget pour restructurer les infrastructures commerciales. Il est question des marchées du gros et des marchés couverts. 32 marchés de gros ont été réhabilités, soit un peu plus des 75% des marchés du gros. S'agissant des marchés couverts leur réhabilitation continuent de se faire à ce jour avec en plus la restructuration du commerce et de l'hygiène du milieu. Pour faciliter le négoce plus loin via le département de Benbada, en effet avec l'aval des collectivités locales (en tant que tuteur du marché du gros), a été mise sur rail et est en cours la création des marchés mobiles. L'autre objectif assigné à ces mesures est de promouvoir la production locale et de relancer le secteur agricole. L'été dernier avait évoqué sans rentrer dans le détail les projets de son département. Parmi lesquel des textes de loi pour cadrer les relations et activités entre les mandataires et les grossistes. Il s'agit d'un nouveau décret exécutif fixant les conditions et les modalités d'exercice du mandataire grossiste des produits fruits et légumes. Selon la tutelle il "sera promulgué incessamment". En attendant il a ainsi rappelé qu'un nouveau décret exécutif (numéro 12-111) fixant les conditions et les modalités d'implantation et d'organisation des espaces commerciaux et d'exercice de certaines activités commerciales a été promulgué en mars dernier. Ce nouveau texte intègre les trois familles de produits : fruits et légumes, produits alimentaires et produits industriels. Pour demain un plus sera apporté. Il s'agit du Conseil national de la concurrence (CNC). Il sera efficient dès demain. Placé sous la houlette du Commerce son rôle étant de réguler la concurrence. Il s'agit d'une structure pluridisciplinaire. Le CNC une structure pluridisciplinaire : son équipe comprend six experts juridique et économique, quatre professionnels, membres non permanents, ayant une expérience dans les secteurs de la production, de la distribution et deux représentants des associations de protection des consommateurs. Instruction d'une cellule de veille Le ministre a recommandé, par ailleurs, aux cadres du secteur de mettre en place une cellule de veille qui se chargera de l'évaluation de l'application des nouvelles lois et de relever les insuffisances et les contraintes. En matière d'organisation commerciale, une circulaire sera adressée aux APC pour leur signifier leur rôle sur le plan de la gestion des marchés, a déclaré le ministre, assurant que son département se chargera du contrôle et "pourra même poursuivre les APC en justice en cas de manquement aux obligations". Pour ce qui est des nouveaux réseaux de distribution et la réalisation d'espaces commerciaux de grande envergure par des opérateurs privés. Selon la même source ils ont été adressés aux autorités compétentes, dont les walis. Il leur est demandé de dégager une assiette fonciere pour la réalisation de ces espaces. Pour rappel le décret exécutif numéro 12-111, stipule que 60% du chiffre d'affaires de ces espaces doit provenir de la production nationale. Il a été clairement rappelé par Benbada ce qui va avec les nouvelles orientations économiques de promouvoir la production nationale. Outre ces mesures le ministre a rappelé lors d'une rencontre avec les cadres de son secteur que seront réalisés dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014 1.000 nouvelles infrastructures commerciales au titre des 10 milliards DA octroyés au secteur. D'après la même source deux milliards DA ont été alloués en 2012 au fonds de soutien au transport vers le Sud en plus des trois milliards DA attribués annuellement à ce fonds afin de prendre en charge une partie des dettes des opérateurs économiques assurant le transport des denrées alimentaires vers le sud du pays dans un but de désenclavement Du nouveau dans le commerce, il tente de se restructurer, c'est ce qui ressort de la dernière réunion du ministre de tutelle avec ses cadres. Le but étant d'en finir avec la spéculation, mais aussi les marchées de vente à la sauvette, porteurs de plus d'un risque dont les répercussions, on le sait et devine, se font ressentir sur le contribuable a priori et l'état a fortiori. Explications : En tant que consommateur de ces produits l'acheteur lambda expose sa santé à tous les risques imaginables, dont la mort. Faut-il rappeler l'irrespect des règles d'hygiène, de la chaîne de froid ou la consommation de certains ingrédients inscrits en «riquiqui» sur des emballages malmenés, dont des agents conservateurs additifs dangereux. En cause les risques qu'ils font porter à la santé. Ces produits, issus d'un marché informel et provenant de différents horizons pour ne pas dire de plusieurs pays, sont proposés, selon la demande et le vendeur à des prix allant de la bourse la plus maigre à la plus aisée. Reste la question de taille, en l'occurrence la traçabilité qui malheureusement fait défaut chez nous, en dépit du nombre de techniciens en rapport avec cette question. Les conséquences deviennent alors évidentes, à savoir un impact sur la santé du consommateur dont les soins sont à la charge de l'état. Pris sous cet aspect il est vrai que plusieurs acteurs de la santé, et par ricochet de la consommation sont montrés du doigt. Il en va de la médecine au commerce en tant que tutelle, des services des Douanes qui vraisemblablement n'ont pas le bon filtre pour laisser passer les marchandises, du secteur de la sensibilisation qui, par appât du gain devient l'acquis de gros lobbies commerciaux et des associations de consommateurs. Au regard de nos marchés actuels mais aussi de nos services hospitaliers la faute aussi honteuse qu'elle soit est commune à tous ses acteurs sous-cités. A moindre coût pour les associations des consommateurs qui en dépit des efforts individuels déployées à ce jour n'arrivent toujours pas à retrouver leur place clairement dans notre société en tant qu'acteur de la société et membre à part dont les avertissements, remarques et recommandations ont un écho et pourquoi pas un retour comme cela se fait ailleurs. La particularité du marché national étant miné par le marché de l'informel. Devenu la gangrène du commerce. Pour en découdre, une série de mesures ont été déjà mises sur rail. Depuis l'été dernier le ministre de l'intérieur et des Collectivités locales a donné le feu vert pour dissuader tout vendeur à la sauvette. A l'issue d'une réunion ministérielle qui a regroupé le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locale, du Commerce, de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, de l'Habitat et de 1'Urbanisme l'été dernier a été convenu d'inhiler le marché informel d'ici au prochain Ramadhan en le résorbant. Pour rappel le budget alloué au commerce pour le quinquennat 2010-2014 est de l'ordre de dix milliards de dinars. Son but essentiel étant en plus de l'entretien de ce qui existe en matière d'infrastructure commercial de combler les vides du secteur. Pour le ministre du Commerce ce vide est marqué par le manque de 1.500 commerces. Le comble étant le nombre de commerces illégaux ou informels recensés durant la même période. Il a été de l'ordre de 1.512 commerces informels. Sur la question les spécialistes, dont sociologues et experts en économie ces vendeurs ne sont que l'arbre qui cache la forêt «chekarienne». Explicitement : pour mettre un terme au marché de l'informel ces experts sont unanimes à reconnaître qu'il faut agir à l'amont. En bref cerner les gros bonnets qui sont les détenteurs de ce marché véreux à partir duquel ses détenteurs tentent de blanchir leur argent sale et le faire atterrir hors circuit standart de l'autre côté de nos frontières via l'acquisition de logement payés selon des sources bien informées rubis sur l'ongle. Aujourd'hui ces pratiques sont en phase d'être cernés et mieux annuler. En cause la réinsertion des vendeurs à la sauvette dans le marché formel. Pour y arriver le département de Benbada a déjà consacré six milliards de dinars du budget pour restructurer les infrastructures commerciales. Il est question des marchées du gros et des marchés couverts. 32 marchés de gros ont été réhabilités, soit un peu plus des 75% des marchés du gros. S'agissant des marchés couverts leur réhabilitation continuent de se faire à ce jour avec en plus la restructuration du commerce et de l'hygiène du milieu. Pour faciliter le négoce plus loin via le département de Benbada, en effet avec l'aval des collectivités locales (en tant que tuteur du marché du gros), a été mise sur rail et est en cours la création des marchés mobiles. L'autre objectif assigné à ces mesures est de promouvoir la production locale et de relancer le secteur agricole. L'été dernier avait évoqué sans rentrer dans le détail les projets de son département. Parmi lesquel des textes de loi pour cadrer les relations et activités entre les mandataires et les grossistes. Il s'agit d'un nouveau décret exécutif fixant les conditions et les modalités d'exercice du mandataire grossiste des produits fruits et légumes. Selon la tutelle il "sera promulgué incessamment". En attendant il a ainsi rappelé qu'un nouveau décret exécutif (numéro 12-111) fixant les conditions et les modalités d'implantation et d'organisation des espaces commerciaux et d'exercice de certaines activités commerciales a été promulgué en mars dernier. Ce nouveau texte intègre les trois familles de produits : fruits et légumes, produits alimentaires et produits industriels. Pour demain un plus sera apporté. Il s'agit du Conseil national de la concurrence (CNC). Il sera efficient dès demain. Placé sous la houlette du Commerce son rôle étant de réguler la concurrence. Il s'agit d'une structure pluridisciplinaire. Le CNC une structure pluridisciplinaire : son équipe comprend six experts juridique et économique, quatre professionnels, membres non permanents, ayant une expérience dans les secteurs de la production, de la distribution et deux représentants des associations de protection des consommateurs. Instruction d'une cellule de veille Le ministre a recommandé, par ailleurs, aux cadres du secteur de mettre en place une cellule de veille qui se chargera de l'évaluation de l'application des nouvelles lois et de relever les insuffisances et les contraintes. En matière d'organisation commerciale, une circulaire sera adressée aux APC pour leur signifier leur rôle sur le plan de la gestion des marchés, a déclaré le ministre, assurant que son département se chargera du contrôle et "pourra même poursuivre les APC en justice en cas de manquement aux obligations". Pour ce qui est des nouveaux réseaux de distribution et la réalisation d'espaces commerciaux de grande envergure par des opérateurs privés. Selon la même source ils ont été adressés aux autorités compétentes, dont les walis. Il leur est demandé de dégager une assiette fonciere pour la réalisation de ces espaces. Pour rappel le décret exécutif numéro 12-111, stipule que 60% du chiffre d'affaires de ces espaces doit provenir de la production nationale. Il a été clairement rappelé par Benbada ce qui va avec les nouvelles orientations économiques de promouvoir la production nationale. Outre ces mesures le ministre a rappelé lors d'une rencontre avec les cadres de son secteur que seront réalisés dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014 1.000 nouvelles infrastructures commerciales au titre des 10 milliards DA octroyés au secteur. D'après la même source deux milliards DA ont été alloués en 2012 au fonds de soutien au transport vers le Sud en plus des trois milliards DA attribués annuellement à ce fonds afin de prendre en charge une partie des dettes des opérateurs économiques assurant le transport des denrées alimentaires vers le sud du pays dans un but de désenclavement