La moto, c'est une passion, un plaisir mais également un risque. Dans le cadre des efforts consentis par les unités de la police afin de diminuer le taux des accidents routiers en tentant d'instaurer au sein des usagers de la route la culture de la bonne conduite, la cellule de communication de la DGSN a dévoilé, avant-hier, le bilan des accidents routiers recensés au cours des quatre premiers mois de l'année en cours. La moto, c'est une passion, un plaisir mais également un risque. Dans le cadre des efforts consentis par les unités de la police afin de diminuer le taux des accidents routiers en tentant d'instaurer au sein des usagers de la route la culture de la bonne conduite, la cellule de communication de la DGSN a dévoilé, avant-hier, le bilan des accidents routiers recensés au cours des quatre premiers mois de l'année en cours. Un bilan toujours aussi lourd. Durant les quatre mois, la DGSN a enregistré, rapporte le communiqué, 5.661 accidents routiers ayant entraîné la mort de 207 personnes et 6.236 blessées. Outre ce bilan, le commissaire divisionnaire chargé de la cellule de communication et des relations publiques, en l'occurrence Djilali Boudalia a signalé que 625 accidents routiers parmi les 5.661 constatés ont été provoqués par des conducteurs de motos. Ce qui confirme que de plus en plus de motocyclistes sont derrière des accidents entraînant la mort de plusieurs usagers de la route. L'excès de vitesse, le non-respect du code de la route, la conduite en état d'ivresse, le manque d'expérience, la négligence et la non-utilisation de casque comme moyen indispensable de protection sont autant de facteurs ayant causé la multiplication des accidents routiers par la voie des motos, explique la Sûreté nationale. Il faut dire qu'entre-temps, le parc motos en Algérie a plus que triplé durant la période allant de l'année 2000 à 2013. Cette tendance à l'augmentation du parc des deux-roues notamment dans les milieux urbains où les unités de la police ont enregistré l'implication de plus en plus des motocyclistes dans les accidents routiers. Ajouter à cette tendance, le prix de la moto qui a beaucoup favorisé le recours aux deux-roues, d'autant qu'avec seulement 10 millions de centimes, les jeunes personnes peuvent rouler avec une moto de bonne qualité et, malheureusement, utiliser de la vitesse ce qui a entraîné la mort de plusieurs d'entre elles. Certes, des campagnes d'information ont été organisées par la Sûreté nationale et ce, à travers plusieurs wilayas du pays, toutefois cela n'a pas fait diminuer le taux des accidents routiers impliquant les motos. Autre phénomène inquiétant, la consommation de drogue est en train de représenter une part croissante dans les causes d'accidents de la route impliquant les motos. Un bilan toujours aussi lourd. Durant les quatre mois, la DGSN a enregistré, rapporte le communiqué, 5.661 accidents routiers ayant entraîné la mort de 207 personnes et 6.236 blessées. Outre ce bilan, le commissaire divisionnaire chargé de la cellule de communication et des relations publiques, en l'occurrence Djilali Boudalia a signalé que 625 accidents routiers parmi les 5.661 constatés ont été provoqués par des conducteurs de motos. Ce qui confirme que de plus en plus de motocyclistes sont derrière des accidents entraînant la mort de plusieurs usagers de la route. L'excès de vitesse, le non-respect du code de la route, la conduite en état d'ivresse, le manque d'expérience, la négligence et la non-utilisation de casque comme moyen indispensable de protection sont autant de facteurs ayant causé la multiplication des accidents routiers par la voie des motos, explique la Sûreté nationale. Il faut dire qu'entre-temps, le parc motos en Algérie a plus que triplé durant la période allant de l'année 2000 à 2013. Cette tendance à l'augmentation du parc des deux-roues notamment dans les milieux urbains où les unités de la police ont enregistré l'implication de plus en plus des motocyclistes dans les accidents routiers. Ajouter à cette tendance, le prix de la moto qui a beaucoup favorisé le recours aux deux-roues, d'autant qu'avec seulement 10 millions de centimes, les jeunes personnes peuvent rouler avec une moto de bonne qualité et, malheureusement, utiliser de la vitesse ce qui a entraîné la mort de plusieurs d'entre elles. Certes, des campagnes d'information ont été organisées par la Sûreté nationale et ce, à travers plusieurs wilayas du pays, toutefois cela n'a pas fait diminuer le taux des accidents routiers impliquant les motos. Autre phénomène inquiétant, la consommation de drogue est en train de représenter une part croissante dans les causes d'accidents de la route impliquant les motos.