L'Algérie et la Grande-Bretagne ont convenu de renforcer leur coopération sécuritaire qu'ils veulent ériger en partenariat stratégique dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, a indiqué, hier, à Alger l'ambassadeur de Grande-Bretagne, Martyn Roper. L'Algérie et la Grande-Bretagne ont convenu de renforcer leur coopération sécuritaire qu'ils veulent ériger en partenariat stratégique dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, a indiqué, hier, à Alger l'ambassadeur de Grande-Bretagne, Martyn Roper. "M. David Cameron et le président Abdelaziz Bouteflika ont convenu fin janvier dernier au cours de la visite à Alger du Premier ministre britannique d'un nouveau partenariat sécuritaire entre les deux pays'', a déclaré M. Roper. L'attentat de "Tiguentourine a renforcé la conviction des deux pays de la nécessité de coopérer étroitement dans la lutte contre le terrorisme", a-t-il ajouté, rapporte l'APS, en marge d'un point de presse de Lord Richard Risby, envoyé spécial du Premier ministre britannique, chargé de la promotion des relations économiques avec l'Algérie. Le rapprochement des visions sur cette lutte contre le terrorisme s'est illustré à travers le dialogue stratégique dans le domaine sécuritaire que les deux pays mènent depuis l'attentat terroriste perpétré en janvier dernier contre le site gazier de Tiguentourine. M. Roper a fait savoir que son pays souhaitait organiser les deuxièmes discussions initiées dans le cadre de ce dialogue après l'été 2013. La première rencontre s'était tenue au mois d'avril dernier à Londres, a-t-il rappelé. Ces rencontres sont importantes à plus d'un titre : elle permettent d'élaborer une analyse conjointe des menaces dans la région du Sahel et de définir les domaines pratiques de cette coopération, notamment dans la lutte contre le terrorisme, a-t-il relevé. M. Roper n'a pas omis de souligner la convergence des points de vue de l'Algérie et de la Grande-Bretagne sur la lutte contre le terrorisme, notamment sur la question du non paiement de rançons aux terroristes. "Le Royaume-Uni et l'Algérie partagent la même vision sur la question de non paiement de rançons. C'est un sujet sur lequel nous coopérons étroitement au niveau international", a affirmé l'ambassadeur britannique, indiquant que cette question sera abordée lors du prochain sommet du G8, prévu juin prochain à Londres. La visite en Algérie du chef d'état-major général des Forces terrestres britanniques, le général d'armée Peter Wall, a contribué à renforcer cette coopération, souligne-t-on. En matière sécuritaire, l'Algérie reste "un pays stable et sécurisé", a affirmé de son côté Lord Risby, qui a nié que la Grande-Bretagne ait changé de vision sur l'Algérie après l'attentat de Tiguentourine. Cet attentat a coûté la vie à cinq employés du groupe britannique BP. "L'Algérie et un pays stable et sécurisé. Ce n'est pas un acte isolé qui va changer notre vision de l'Algérie, les opportunités d'affaires pour les Britanniques reste intéressantes en Algérie", a-t-il souligné. "Tous les pays ont vécu des actes terroristes, y compris les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France. Le terrorisme n'est pas propre à l'Algérie", a-t-il ajouté. "M. David Cameron et le président Abdelaziz Bouteflika ont convenu fin janvier dernier au cours de la visite à Alger du Premier ministre britannique d'un nouveau partenariat sécuritaire entre les deux pays'', a déclaré M. Roper. L'attentat de "Tiguentourine a renforcé la conviction des deux pays de la nécessité de coopérer étroitement dans la lutte contre le terrorisme", a-t-il ajouté, rapporte l'APS, en marge d'un point de presse de Lord Richard Risby, envoyé spécial du Premier ministre britannique, chargé de la promotion des relations économiques avec l'Algérie. Le rapprochement des visions sur cette lutte contre le terrorisme s'est illustré à travers le dialogue stratégique dans le domaine sécuritaire que les deux pays mènent depuis l'attentat terroriste perpétré en janvier dernier contre le site gazier de Tiguentourine. M. Roper a fait savoir que son pays souhaitait organiser les deuxièmes discussions initiées dans le cadre de ce dialogue après l'été 2013. La première rencontre s'était tenue au mois d'avril dernier à Londres, a-t-il rappelé. Ces rencontres sont importantes à plus d'un titre : elle permettent d'élaborer une analyse conjointe des menaces dans la région du Sahel et de définir les domaines pratiques de cette coopération, notamment dans la lutte contre le terrorisme, a-t-il relevé. M. Roper n'a pas omis de souligner la convergence des points de vue de l'Algérie et de la Grande-Bretagne sur la lutte contre le terrorisme, notamment sur la question du non paiement de rançons aux terroristes. "Le Royaume-Uni et l'Algérie partagent la même vision sur la question de non paiement de rançons. C'est un sujet sur lequel nous coopérons étroitement au niveau international", a affirmé l'ambassadeur britannique, indiquant que cette question sera abordée lors du prochain sommet du G8, prévu juin prochain à Londres. La visite en Algérie du chef d'état-major général des Forces terrestres britanniques, le général d'armée Peter Wall, a contribué à renforcer cette coopération, souligne-t-on. En matière sécuritaire, l'Algérie reste "un pays stable et sécurisé", a affirmé de son côté Lord Risby, qui a nié que la Grande-Bretagne ait changé de vision sur l'Algérie après l'attentat de Tiguentourine. Cet attentat a coûté la vie à cinq employés du groupe britannique BP. "L'Algérie et un pays stable et sécurisé. Ce n'est pas un acte isolé qui va changer notre vision de l'Algérie, les opportunités d'affaires pour les Britanniques reste intéressantes en Algérie", a-t-il souligné. "Tous les pays ont vécu des actes terroristes, y compris les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France. Le terrorisme n'est pas propre à l'Algérie", a-t-il ajouté.