Les spécialistes ayant pris part, hier , à la huitième rencontre internationale sur les troubles pschotraumatiques, à l'hôpital psychiatrique Frantz Fanon de Blida, ont mis l'accent sur la nécessité de renforcer la sensibilisation afin de garantir une prise en charge efficiente. Les spécialistes ayant pris part, hier , à la huitième rencontre internationale sur les troubles pschotraumatiques, à l'hôpital psychiatrique Frantz Fanon de Blida, ont mis l'accent sur la nécessité de renforcer la sensibilisation afin de garantir une prise en charge efficiente. "Il est indispensable que les citoyens en finissent avec cette attitude considérant que le fait de consulter un psychiatre est un tabou. Ces troubles psychotraumatiques peuvent être à l'origine de lourdes conséquences sur la santé mentale et les soins sont plus efficaces lorsqu'on les entame au bon moment", a souligné, à cet effet, le Professeur Mohamed Tedjiza, chef de service de psychiatrie à l'hôpital Drid Hocine (Alger) et président de la Société algérienne de médico-psychologie. La société civile devrait, selon lui, déployer des "efforts soutenus" dans ce sens, car, a-t-il expliqué, "la personne atteinte de ces traumatismes a besoin d'aide, de soutien moral de son environnement immédiat et surtout d'encouragement pour suivre une thérapie chez des spécialistes". De son côté, le professeur Mohamed El Amin Bencharif, a estimé que les parents "devraient faire attention aux cas de traumatismes que subissent leurs enfants, suite, par exemple, à des accidents de circulation, des catastrophes naturelles ou de violence", ajoutant que la consultation devrait se faire dès l'apparition des premiers symptômes. Il a affirmé, en outre, rapporte l'APS, que le service spécialisé en psychiatrie infanto-juvénile, à l'hôpital Frantz Fanon de Blida, reçoit un nombre "important" d'enfants ayant subi des chocs, soulignant que la prise en charge précoce permet de soulager ces patients et, surtout, de leur éviter la complication de leur situation. La souffrance psycho traumatique peut apparaître plusieurs années après avoir subi le "choc", ont souligné les spécialistes, rappelant, à ce titre, que des personnes torturées durant la guerre de Libération nationale gardent toujours les séquelles des agressions, d'où la nécessité d'un suivi régulier et de soins appropriés. Concernant la prise en charge de ce type de maladie, le Professeur Tedjiza la qualifie de "satisfaisante et qui va s'améliorer davantage avec la réception des nouvelles structures hospitalières spécialisées qui sont actuellement en voie d'achèvement". "Il est indispensable que les citoyens en finissent avec cette attitude considérant que le fait de consulter un psychiatre est un tabou. Ces troubles psychotraumatiques peuvent être à l'origine de lourdes conséquences sur la santé mentale et les soins sont plus efficaces lorsqu'on les entame au bon moment", a souligné, à cet effet, le Professeur Mohamed Tedjiza, chef de service de psychiatrie à l'hôpital Drid Hocine (Alger) et président de la Société algérienne de médico-psychologie. La société civile devrait, selon lui, déployer des "efforts soutenus" dans ce sens, car, a-t-il expliqué, "la personne atteinte de ces traumatismes a besoin d'aide, de soutien moral de son environnement immédiat et surtout d'encouragement pour suivre une thérapie chez des spécialistes". De son côté, le professeur Mohamed El Amin Bencharif, a estimé que les parents "devraient faire attention aux cas de traumatismes que subissent leurs enfants, suite, par exemple, à des accidents de circulation, des catastrophes naturelles ou de violence", ajoutant que la consultation devrait se faire dès l'apparition des premiers symptômes. Il a affirmé, en outre, rapporte l'APS, que le service spécialisé en psychiatrie infanto-juvénile, à l'hôpital Frantz Fanon de Blida, reçoit un nombre "important" d'enfants ayant subi des chocs, soulignant que la prise en charge précoce permet de soulager ces patients et, surtout, de leur éviter la complication de leur situation. La souffrance psycho traumatique peut apparaître plusieurs années après avoir subi le "choc", ont souligné les spécialistes, rappelant, à ce titre, que des personnes torturées durant la guerre de Libération nationale gardent toujours les séquelles des agressions, d'où la nécessité d'un suivi régulier et de soins appropriés. Concernant la prise en charge de ce type de maladie, le Professeur Tedjiza la qualifie de "satisfaisante et qui va s'améliorer davantage avec la réception des nouvelles structures hospitalières spécialisées qui sont actuellement en voie d'achèvement".