Les examens du baccalauréat session 2013 ont débuté dans de bonnes conditions, hier le 2 juin, à travers tout le pays englobant un total de 566.694 candidats et cela jusqu'au 6 juin prochain. Les examens du baccalauréat session 2013 ont débuté dans de bonnes conditions, hier le 2 juin, à travers tout le pays englobant un total de 566.694 candidats et cela jusqu'au 6 juin prochain. Cette année, le coup d'envoi des épreuves du baccalauréat a été donné, hier matin, à Ouargla par le ministre de l'Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed, au cours de sa visite qu'il poursuit dans la même willaya. En conduisant avec les autorités locales de l'ensemble des wilayas du Sud, les associations et les parents d'élèves une cérémonie symbolique d'ouverture des plis du sujet de l'épreuve de langue arabe, pour la filière lettre et philosophie, au lycée El Kawarizmi de la cité Tazagrart au chef-lieu de Ouargla, apprend-on de l'APS. Même si cette année scolaire est caractérisée par quelques mouvements de grèves, mais sans perturbations sur le déroulement des cours ni mêmes les examens trimestriels. Pour le premier jour du baccalauréat c'est un bon climat qui règne dans les salles concernant le déroulement des épreuves. Abordant les modalités d'organisation de cette session, elles sont les mêmes appliquées que pour la précédente, à part que cette année, le ministre de l'Education nationale a mis en place des centres d'examens dans les hôpitaux au profit des candidats hospitalisés, la proclamation des résultats par Internet pour tous les examens et l'envoi des listes des candidats reçus aux examens par e-mail juste après la proclamation des résultats à toutes les directions de l'éducation. Ainsi, l'approche par compétences est aussi écartée. 6.644 candidats de plus par rapport à l'édition de juin 2012., le communiqué du ministère précise que les candidats scolarisés sont au nombre de 391.622, ceux libres au nombre de 175.072. Dans la catégorie des candidats scolarisés, les garçons sont au nombre de 154.884 (39,55%), alors que les filles sont au nombre de 236.738 (60,45%). Les filles sont nettement plus nombreuses que les garçons pour des raisons connues. Dans la catégorie des candidats libres, les garçons sont plus nombreux que les filles. Concernant le classement par filières les candidats scolarisés sont inscrits de cette manière : sciences expérimentales (152. 067), lettres et philosophie (107.338), langues étrangères (36.759), gestion économie (51.651), mathématiques (11.732) et techniques mathématiques (32.075), souligne le communiqué. Pour les candidats libres, la répartition par filières se présente comme suit : lettres et philosophie (95.059), sciences expérimentales (46.780), gestion économie (15.568), langues étrangères (8.873), mathématiques (3.774) et techniques mathématiques (5.018), poursuit-il le même communiqué. Toujours selon les chiffres fournis par le ministère de l'Education plus de 68.800 candidats au sud du pays sont attendus à l'épreuve du baccalauréat et cela dans une ambiance convenable. Dans la wilaya de Ouargla, 12.760 élèves, dont 4.135 candidats libres, à Bechar, 5.177 candidats où 1.734 libres devraient se présenter aux épreuves de cet examen. Dans les wilayas de Laghouat et de Tindouf respectivement le nombre de candidats est comme suit : 9.856 et 645 (dont 287 garçons et 358 filles). A Tindouf, au sud-ouest du pays, 645 candidats dont 287 garçons et 358 filles sont concernés par cette épreuve, précise la note de département de Baba Ahmed. Au lycée d'Alger ce rendez-vous éducatif s'est bien passé à en croire certains des lauréats rencontrés sur les lieux. Pour Mohamed Aoudia, «le sujet de littérature arabe est traitable, il est à la portée des élèves moyens». Outre le stress, Dounia nous dira : « On ne savait pas à quel saint se vouer ». Concernant une question sur le système de deux sujets au choix et les 30 minutes supplémentaires posée à un autre élève qui préfère garder l'anonymat, il nous répondra : « Evidemment, cela joue en notre faveur, puisqu'on pourra utiliser le brouillon, on peut choisir le sujet qui convient aux capacités individuelles de chacun de nous». «Pour l'instant, le ministre a tenu sa promesse sur la limitation du seuil de programme enseigné, j'espère que cela continuera pour la suite», nous confie Réda. Cette année, le coup d'envoi des épreuves du baccalauréat a été donné, hier matin, à Ouargla par le ministre de l'Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed, au cours de sa visite qu'il poursuit dans la même willaya. En conduisant avec les autorités locales de l'ensemble des wilayas du Sud, les associations et les parents d'élèves une cérémonie symbolique d'ouverture des plis du sujet de l'épreuve de langue arabe, pour la filière lettre et philosophie, au lycée El Kawarizmi de la cité Tazagrart au chef-lieu de Ouargla, apprend-on de l'APS. Même si cette année scolaire est caractérisée par quelques mouvements de grèves, mais sans perturbations sur le déroulement des cours ni mêmes les examens trimestriels. Pour le premier jour du baccalauréat c'est un bon climat qui règne dans les salles concernant le déroulement des épreuves. Abordant les modalités d'organisation de cette session, elles sont les mêmes appliquées que pour la précédente, à part que cette année, le ministre de l'Education nationale a mis en place des centres d'examens dans les hôpitaux au profit des candidats hospitalisés, la proclamation des résultats par Internet pour tous les examens et l'envoi des listes des candidats reçus aux examens par e-mail juste après la proclamation des résultats à toutes les directions de l'éducation. Ainsi, l'approche par compétences est aussi écartée. 6.644 candidats de plus par rapport à l'édition de juin 2012., le communiqué du ministère précise que les candidats scolarisés sont au nombre de 391.622, ceux libres au nombre de 175.072. Dans la catégorie des candidats scolarisés, les garçons sont au nombre de 154.884 (39,55%), alors que les filles sont au nombre de 236.738 (60,45%). Les filles sont nettement plus nombreuses que les garçons pour des raisons connues. Dans la catégorie des candidats libres, les garçons sont plus nombreux que les filles. Concernant le classement par filières les candidats scolarisés sont inscrits de cette manière : sciences expérimentales (152. 067), lettres et philosophie (107.338), langues étrangères (36.759), gestion économie (51.651), mathématiques (11.732) et techniques mathématiques (32.075), souligne le communiqué. Pour les candidats libres, la répartition par filières se présente comme suit : lettres et philosophie (95.059), sciences expérimentales (46.780), gestion économie (15.568), langues étrangères (8.873), mathématiques (3.774) et techniques mathématiques (5.018), poursuit-il le même communiqué. Toujours selon les chiffres fournis par le ministère de l'Education plus de 68.800 candidats au sud du pays sont attendus à l'épreuve du baccalauréat et cela dans une ambiance convenable. Dans la wilaya de Ouargla, 12.760 élèves, dont 4.135 candidats libres, à Bechar, 5.177 candidats où 1.734 libres devraient se présenter aux épreuves de cet examen. Dans les wilayas de Laghouat et de Tindouf respectivement le nombre de candidats est comme suit : 9.856 et 645 (dont 287 garçons et 358 filles). A Tindouf, au sud-ouest du pays, 645 candidats dont 287 garçons et 358 filles sont concernés par cette épreuve, précise la note de département de Baba Ahmed. Au lycée d'Alger ce rendez-vous éducatif s'est bien passé à en croire certains des lauréats rencontrés sur les lieux. Pour Mohamed Aoudia, «le sujet de littérature arabe est traitable, il est à la portée des élèves moyens». Outre le stress, Dounia nous dira : « On ne savait pas à quel saint se vouer ». Concernant une question sur le système de deux sujets au choix et les 30 minutes supplémentaires posée à un autre élève qui préfère garder l'anonymat, il nous répondra : « Evidemment, cela joue en notre faveur, puisqu'on pourra utiliser le brouillon, on peut choisir le sujet qui convient aux capacités individuelles de chacun de nous». «Pour l'instant, le ministre a tenu sa promesse sur la limitation du seuil de programme enseigné, j'espère que cela continuera pour la suite», nous confie Réda.