« Il s'agit de favoriser la réflexion prélude à toute action, participer et activer les connaissances, mais également ériger cette rencontre en rendez-vous incontournable pour les professionnels de la santé », a notamment déclaré, hier, l'organisateur du Forum de l'hospitalier, Nagy Hadjadj, précisant que ce forum « est une initiative destinée à cerner la problématique du secteur sanitaire en Algérie ». « Il s'agit de favoriser la réflexion prélude à toute action, participer et activer les connaissances, mais également ériger cette rencontre en rendez-vous incontournable pour les professionnels de la santé », a notamment déclaré, hier, l'organisateur du Forum de l'hospitalier, Nagy Hadjadj, précisant que ce forum « est une initiative destinée à cerner la problématique du secteur sanitaire en Algérie ». Il indique que l'essentiel consiste à centrer le débat sur le statut du pharmacien praticien qui est toujours un projet en devenir, la gestion hospitalière étant complexe mettant le directeur d'hôpital en tant que grand chef d'orchestre, dans un métier très technique, rude et à risques. S'agissant des plateaux techniques, ils auront un rôle de plus en plus central dans le diagnostic et le traitement des maladies. Les participants à ce forum ont également mis en relief l'hygiène hospitalière qui doit être performante, tout en mettant aussi l'accent sur la nécessité de mener à bien les actions et les opérations de recherche clinique et biomédicale en favorisant l'accès des patients algériens aux nouvelles thérapeutiques. Le débat sur la pharmacie hospitalière a essentiellement porté sur le statut du pharmacien hospitalier d'autant que les prérogatives et les responsabilités ne font qu'augmenter sur ce métier. « La question des formateurs spécifiques (gestion-affaires règlementaires et hygiène) a été décortiquée lors du débat où les participants ont discuté le boom des thérapies ciblées et de l'avènement des dispositifs médicaux de plus en plus sophistiqués nécessitant l'acquisition de nouvelles connaissances, à revoir notre approche thérapeutique et à anticiper sur les contraintes économiques inéluctables (pharmaco-économie) », soulignent les participants. Plus de 2 milliards dollars par an d'importations de médicaments Au moment où les entreprises algériennes spécialisées dans la production pharmaceutique travaillent inlassablement pour garantir les besoins des consommateurs algériens en matière de médicaments, notamment en axant les efforts sur le partenariat et la coopération (tel que l'exemple de joint-venture avec les partenaires américains dans le domaine des biotechnologies) les importations de médicaments dépassent 2 milliards dollars par an. L'un des objectifs essentiels de la politique nationale en matière de santé publique consiste à réduire la facture d'importation et produire localement les médicaments, tels que les génériques, car la pénurie de produits pharmaceutiques (pour les cancéreux et les diabétiques) met les malades chroniques dans une situation critique et désespérée. Il indique que l'essentiel consiste à centrer le débat sur le statut du pharmacien praticien qui est toujours un projet en devenir, la gestion hospitalière étant complexe mettant le directeur d'hôpital en tant que grand chef d'orchestre, dans un métier très technique, rude et à risques. S'agissant des plateaux techniques, ils auront un rôle de plus en plus central dans le diagnostic et le traitement des maladies. Les participants à ce forum ont également mis en relief l'hygiène hospitalière qui doit être performante, tout en mettant aussi l'accent sur la nécessité de mener à bien les actions et les opérations de recherche clinique et biomédicale en favorisant l'accès des patients algériens aux nouvelles thérapeutiques. Le débat sur la pharmacie hospitalière a essentiellement porté sur le statut du pharmacien hospitalier d'autant que les prérogatives et les responsabilités ne font qu'augmenter sur ce métier. « La question des formateurs spécifiques (gestion-affaires règlementaires et hygiène) a été décortiquée lors du débat où les participants ont discuté le boom des thérapies ciblées et de l'avènement des dispositifs médicaux de plus en plus sophistiqués nécessitant l'acquisition de nouvelles connaissances, à revoir notre approche thérapeutique et à anticiper sur les contraintes économiques inéluctables (pharmaco-économie) », soulignent les participants. Plus de 2 milliards dollars par an d'importations de médicaments Au moment où les entreprises algériennes spécialisées dans la production pharmaceutique travaillent inlassablement pour garantir les besoins des consommateurs algériens en matière de médicaments, notamment en axant les efforts sur le partenariat et la coopération (tel que l'exemple de joint-venture avec les partenaires américains dans le domaine des biotechnologies) les importations de médicaments dépassent 2 milliards dollars par an. L'un des objectifs essentiels de la politique nationale en matière de santé publique consiste à réduire la facture d'importation et produire localement les médicaments, tels que les génériques, car la pénurie de produits pharmaceutiques (pour les cancéreux et les diabétiques) met les malades chroniques dans une situation critique et désespérée.