Le mois du Ramadhan pointe à l'horizon, et comme chaque année, se pose l'épineuse question des couffins du Ramadhan qui sont distribués au profit des familles nécessiteuses. Le mois du Ramadhan pointe à l'horizon, et comme chaque année, se pose l'épineuse question des couffins du Ramadhan qui sont distribués au profit des familles nécessiteuses. A quelques dizaines de jours qui nous séparent du mois de Ramadhan, l'inquiétude des habitants s'accroît au fil des jours sur la façon dont ils vont passer le mois sacré de cette année. La flambée des prix de produits de première nécessité a connu déjà le seuil de l'inflation sur le marché. Malgré que ce mois est censé être le mois des pauvres, le mois de tolérance et de générosité. Cependant, certains des commerçants profitent de cette petite période pour toucher le gain et s'enrichir rapidement sur le dos des familles démunies et au dessous de la classe moyenne. On prend les mêmes et on recommence, chaque année, les couffins du Ramadan alimentent la polémique à cause de la mauvaise gestion de ce dossier par certaines Assemblées populaires communales. Pour la gestion des couffins de ramadhan à Alger- Centre, Bettache Abdelhakim, président de l'assemblée populaire communale d'Alger-Centre précise «que 1.400 dossiers ont été étudiés par le service social de la commune dont 1.200 familles nécessiteuses vont bénéficier des mandats dès le début du mois sacré englobant une enveloppe de 5.000 DA chacune». Par ailleurs, M. Bettache souligne «ces mandats seront distribués d'une manière équitable et selon le degré de nécessité des familles, à savoir les chômeurs, les familles nombreuses ne dépassant pas le SNMG et les retraités à faibles revenus». À la question de cette modalité d'aide par mandats non par couffins comme d'habitude, il répond «c'est pour protéger la dignité des familles concernées». Et d'ajouter sur la question de l'inflation pendant le Ramadhan, il dira que « cette situation est à la charge des pouvoirs publics, la tâche de l'APC consiste à contrôler le cadre d'hygiène et la santé ». Concernant, la régulation des prix sur marché, le président de l'APC d'Alger-Centre insiste « sur l'élaboration d'une stratégie pour stabiliser les prix des produits dans le marché ». « Il faut faire des portes ouvertes pour la sensibilisation des consommateurs sur leurs droits et contribuer dans l'élaboration d'une stratégie durable, car la couche sociale doit être protégée par la loi et par l'état », ajoute-t-il. A quelques dizaines de jours qui nous séparent du mois de Ramadhan, l'inquiétude des habitants s'accroît au fil des jours sur la façon dont ils vont passer le mois sacré de cette année. La flambée des prix de produits de première nécessité a connu déjà le seuil de l'inflation sur le marché. Malgré que ce mois est censé être le mois des pauvres, le mois de tolérance et de générosité. Cependant, certains des commerçants profitent de cette petite période pour toucher le gain et s'enrichir rapidement sur le dos des familles démunies et au dessous de la classe moyenne. On prend les mêmes et on recommence, chaque année, les couffins du Ramadan alimentent la polémique à cause de la mauvaise gestion de ce dossier par certaines Assemblées populaires communales. Pour la gestion des couffins de ramadhan à Alger- Centre, Bettache Abdelhakim, président de l'assemblée populaire communale d'Alger-Centre précise «que 1.400 dossiers ont été étudiés par le service social de la commune dont 1.200 familles nécessiteuses vont bénéficier des mandats dès le début du mois sacré englobant une enveloppe de 5.000 DA chacune». Par ailleurs, M. Bettache souligne «ces mandats seront distribués d'une manière équitable et selon le degré de nécessité des familles, à savoir les chômeurs, les familles nombreuses ne dépassant pas le SNMG et les retraités à faibles revenus». À la question de cette modalité d'aide par mandats non par couffins comme d'habitude, il répond «c'est pour protéger la dignité des familles concernées». Et d'ajouter sur la question de l'inflation pendant le Ramadhan, il dira que « cette situation est à la charge des pouvoirs publics, la tâche de l'APC consiste à contrôler le cadre d'hygiène et la santé ». Concernant, la régulation des prix sur marché, le président de l'APC d'Alger-Centre insiste « sur l'élaboration d'une stratégie pour stabiliser les prix des produits dans le marché ». « Il faut faire des portes ouvertes pour la sensibilisation des consommateurs sur leurs droits et contribuer dans l'élaboration d'une stratégie durable, car la couche sociale doit être protégée par la loi et par l'état », ajoute-t-il.