Selon un rapport du Haut Commissariat pour les réfugiés (HCR), rendu public le 4 février 2013 dernier, le chiffre relatif aux réfugiés maliens dans six pays, à savoir, la Mauritanie, le Niger, le Burkina Faso, l'Algérie, la Guinée et le Togo, a atteint le nombre global de 163.848. Selon un rapport du Haut Commissariat pour les réfugiés (HCR), rendu public le 4 février 2013 dernier, le chiffre relatif aux réfugiés maliens dans six pays, à savoir, la Mauritanie, le Niger, le Burkina Faso, l'Algérie, la Guinée et le Togo, a atteint le nombre global de 163.848. La prise en charge des réfugiés s'avère difficile pour cette instance, en raison du manque de moyens et de l'insécurité qui prévaut au Nord-Mali. La situation politique et sécuritaire des pays subsahariens s'est gravement dégradée, le nombre de réfugiés est appelé à encore augmenter et L'Algérie demeure l'une des destinations privilégiée. Cet afflux constitue une menace pour la stabilité de la structure sociale, culturelle et linguistique de L'Algérie. À partir de ce constat, le gouvernement algérien devrait savoir comment gérer la situation du flux des populations (entre réfugiés et migrants) venant s'installer sur le territoire algérien, surtout que ce dernier est un pays de transit pour les mouvements migratoires mixtes qui se dirigent vers l'Europe. Ralf H.W.Gruenert, représentant du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) a rappelé ce jeudi, à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale du réfugié, « la nécessité d'apporter aide et assistance aux réfugiés dans le monde, dont le nombre est en augmentation ». « Nous célébrons cette journée chaque année dans le monde pour rappeler que les réfugiés sont parmi nous et qu'ils ont besoin d'une assistance et d'une compréhension », a-t-il ajouté. M. Gruenert a mis en exergue le fait que, « cette journée constitue une occasion pour eux de se montrer et de s'exprimer ». Le même représentant de l'UNHCR s'inquiète sur l'augmentation alarmante du nombre de réfugiés encore cette année, à cause des crises en Syrie et au Mali. Il a souligné dans le même sillage, « la nécessité d'apporter aide et assistance à ces réfugiés qui quittent leur pays soit individuellement soit en famille, avec tous les risques encourus ». Pour les amateurs de chiffres, plus de 14.000 immigrants clandestins, africains et arabes, sont entrés en Algérie depuis 2011, tandis que des milliers de réfugiés maliens, fuyant la guerre au nord du mali, se sont installés dans des camps au niveau des villes frontalières algériennes. Un constat alarmant qui véhicule à un risque majeur sur la santé du pays qui peut se transformer en véritable bombe à retardement en cas où les autorités concernées ne prennent pas ce dossier des réfugiés sérieusement qui constitue un lourd fardeau à ses épaules et une bonne prise en charge. Du fait que l'Algérie est un pays pétrolier (riche) à l'instar de Nigéria et de l'Afrique du Sud pouvant ainsi jouer un rôle primordial pour en finir avec cette nouvelle migration forcée. Outre les menaces sécuritaires, les vecteurs de maladies épidémiques sont d'une grande préoccupation pour les autorités du pays. Par les chiffres, 90 % des Algériens atteints de malaria l'ont été au contact de réfugiés et immigrants maliens et nigériens. Par ailleurs et dans la même manifestation, le représentant onusien a salué le rôle joué par l'Algérie qui possède une longue tradition en la matière, et qui marque sa présence à chaque appel en faveur de ces personnes vulnérables. Et pour rendre un hommage symbolique à cette frange de population déplorable, l'Assemblée plénière de l'Onu a fixé le 20 juin la principale journée commémorative internationale en faveur des réfugiés. La prise en charge des réfugiés s'avère difficile pour cette instance, en raison du manque de moyens et de l'insécurité qui prévaut au Nord-Mali. La situation politique et sécuritaire des pays subsahariens s'est gravement dégradée, le nombre de réfugiés est appelé à encore augmenter et L'Algérie demeure l'une des destinations privilégiée. Cet afflux constitue une menace pour la stabilité de la structure sociale, culturelle et linguistique de L'Algérie. À partir de ce constat, le gouvernement algérien devrait savoir comment gérer la situation du flux des populations (entre réfugiés et migrants) venant s'installer sur le territoire algérien, surtout que ce dernier est un pays de transit pour les mouvements migratoires mixtes qui se dirigent vers l'Europe. Ralf H.W.Gruenert, représentant du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) a rappelé ce jeudi, à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale du réfugié, « la nécessité d'apporter aide et assistance aux réfugiés dans le monde, dont le nombre est en augmentation ». « Nous célébrons cette journée chaque année dans le monde pour rappeler que les réfugiés sont parmi nous et qu'ils ont besoin d'une assistance et d'une compréhension », a-t-il ajouté. M. Gruenert a mis en exergue le fait que, « cette journée constitue une occasion pour eux de se montrer et de s'exprimer ». Le même représentant de l'UNHCR s'inquiète sur l'augmentation alarmante du nombre de réfugiés encore cette année, à cause des crises en Syrie et au Mali. Il a souligné dans le même sillage, « la nécessité d'apporter aide et assistance à ces réfugiés qui quittent leur pays soit individuellement soit en famille, avec tous les risques encourus ». Pour les amateurs de chiffres, plus de 14.000 immigrants clandestins, africains et arabes, sont entrés en Algérie depuis 2011, tandis que des milliers de réfugiés maliens, fuyant la guerre au nord du mali, se sont installés dans des camps au niveau des villes frontalières algériennes. Un constat alarmant qui véhicule à un risque majeur sur la santé du pays qui peut se transformer en véritable bombe à retardement en cas où les autorités concernées ne prennent pas ce dossier des réfugiés sérieusement qui constitue un lourd fardeau à ses épaules et une bonne prise en charge. Du fait que l'Algérie est un pays pétrolier (riche) à l'instar de Nigéria et de l'Afrique du Sud pouvant ainsi jouer un rôle primordial pour en finir avec cette nouvelle migration forcée. Outre les menaces sécuritaires, les vecteurs de maladies épidémiques sont d'une grande préoccupation pour les autorités du pays. Par les chiffres, 90 % des Algériens atteints de malaria l'ont été au contact de réfugiés et immigrants maliens et nigériens. Par ailleurs et dans la même manifestation, le représentant onusien a salué le rôle joué par l'Algérie qui possède une longue tradition en la matière, et qui marque sa présence à chaque appel en faveur de ces personnes vulnérables. Et pour rendre un hommage symbolique à cette frange de population déplorable, l'Assemblée plénière de l'Onu a fixé le 20 juin la principale journée commémorative internationale en faveur des réfugiés.