Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est nostalgique de la « cité du bonheur ». Il l'a rappelé plusieurs fois au cours de la visite de travail et d'inspection qu'il a effectuée, jeudi, dans la wilaya de M'Sila. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est nostalgique de la « cité du bonheur ». Il l'a rappelé plusieurs fois au cours de la visite de travail et d'inspection qu'il a effectuée, jeudi, dans la wilaya de M'Sila. Abdelmalek Sellal l'a rappelé en assistant à la remise en service de l'hôtel Caid de Boussaâda, dont les travaux de rénovation et de modernisation ont été lancés en janvier 2011. Il l'a rappelé également au cours d'une rencontre avec la société civile organisée en fin de journée à l'université de M'Sila, « Il est temps pour que cette ville récupère son statut de zone touristique de choix», a-t-il souligné, affirmant que l'Etat qui « accorde une attention particulière au secteur du tourisme ne ménagera aucun effort pour revaloriser les sites touristique de cette région, jadis, considérée comme pionnière dans la formation touristique». Le secteur de l'hydraulique est l'autre secteur qui a bénéficié de l'attention du Premier ministre. La région a connu une longue période de sécheresse, Populations et agriculture ont souffert de ce phénomène. Le lancement « prochain » des travaux de réalisation du barrage El Medjdel, annoncé par Sellal et qui sera d'un impact certain sur l'amélioration de l'alimentation de la population en eau potable a été bien accueilli par les représentants de la société civile qui ont fait de cette question l'une des principales doléances exprimées au Premier ministre. Autre secteur concerné par l'eau qui a été longuement évoque par le Premier ministre : l'agriculture. Il s'est engagé à apporter une soutien fort pour les investisseurs qui choisissent ce secteur. Il estime que le région d'El Mahda, bien prise en charge, seule, avec ses ressources agricoles pourrait satifaire aux besoins en produits agricoles de l'Algérie. Il pense que le développement agricole est la seule solution pour l'Algérie. Il recommande la « modernisation » et l'acquisition du « savoir faire » pour développer ce secteur et cite l'exemple de Mascara. Dans le domaine industriel, il s'engage à soutenir et à faciliter la tâche aux investisseurs qu'ils soient publics ou privés et assure que son gouvernement ne fait pas de distinction entre les deux formes juridiques. « Il est temps que l'industrie reprenne sa place dans le développement économiques du pays", a-t-il martelé, et rappelle certaines données chiffrées. Dans les années 1970, l'industrie générait 15% du PIB (produit intérieur brut), aujourd'hui, elle n'est qu'à 4 ou 5%, regrette-t-il, attribuant cette baisse de la prt de l'industrie dans le PIB « à la décennie noire, vécue par le pays durant les années 1990". Il fait part de la « décision politique » de renverser la tendance et d'augmenter ce taux à plus de 10% d'une manière graduelle. Ce sera 6 à 7% dès le prochain plan de développement 2015-2019, ambitionne-t-il, soulignant que le « pétrole, seul, ne peut être un capital ». Il se déclare satisfait de la bonne gouvernance de la zone industrielle de M'Sila. Une zone où il a pu s'enquérir de son dynamisme en visitant deux unités, Maghreb Pipe et Hodna Lait. Une occasion aussi pour lui de remettre 14 actes de concessions du foncier industriel à des investisseurs, appelant à assainir la zone industrielle et d'envisager son extension, selon les disponibilités. Il appelle aussi à la création d'une nouvelle zone industrielle dans la capitale du Hodna. Le Premier ministre a eu à évoquer le secteur de la santé, objet de sévères critiques de la population de la wilaya de M'Sila. Il reconnaît les « insuffisances » et promet « ce qui doit être fait sera fait ». En attendant, « il s'agit de ne pas se précipiter » et demande d'être « réaliste » et met en exergue la difficulté de créer une faculté de médecine à M'Sila comme il a été demandé par certains représentants de la société civile de la wilaya. « Il faut un corps enseignant spécialisé, des professeurs, éléments qui manquent encore à M'Sila". Pour autant, soutient-il « cela n'empêche pas vos enfants d'étudier la médecine dans d'autres universités algériennes ». Pour le traitement du cancer, problème soulevé par de nombreux intervenants, Abdelmalek Sellal estime que les centre de Sétif répondrait aux besoins de la wilaya du Hodna. Pour le moment, il annonce que le ministre de la Santé se rendra dès la semaine prochaine dans cette wilaya pour s'enquérir du fonctionnement de ce secteur et des mesures nécessaires seront prises. Il a par ailleurs procédé au lancement des chantiers de 1.000 logements au pôle urbain de Boussaâda (65 km au sud de M'sila). Toujours aussi irrité envers les responsables du projet pour leur vision étriquée de ce qu'est un pôle urbain, il a appelé ces responsables, à des correctifs de fond qui puissent tenir compte avant toute considération, des besoins des citoyens, notamment en espaces de convivialité et de loisirs, des spécificités naturelles et culturelles de la région et d'un urbanisme adapté au patrimoine. Abdelmadjid Tebboune, le ministre de l'Habitat, s'est engagé à envoyer une équipe de son département sur place dès la semaine prochaine pour évaluer les correctifs à apporter éventuellement aux études du pôle urbain de Boussaâda qui s'étend sur une superficie globale de 285 ha avec une capacité d'accueil en logements estimée à 11.000 unités.Près de huit milles (8.000) unités, tous segments confondus, ont été réalisées où sont en cours de réalisation sur ce pôle urbain disposant d'une assiette pour 3.084 logements. Dans le secteur de l'Enseignement supérieur, Abdelmalek Sellal a inauguré le siège du rectorat du nouveau pôle universitaire de M'sila. Ce projet comprend 17.000 places pédagogiques et 11.000 lits. Il a, par ailleurs, procédé à la mise en service de dix groupes turbines mobiles et inspecté le chantier de réalisation de deux autres, susceptibles d'augmenter les capacités d'énergie électrique dans la wilaya. Abdelmalek Sellal l'a rappelé en assistant à la remise en service de l'hôtel Caid de Boussaâda, dont les travaux de rénovation et de modernisation ont été lancés en janvier 2011. Il l'a rappelé également au cours d'une rencontre avec la société civile organisée en fin de journée à l'université de M'Sila, « Il est temps pour que cette ville récupère son statut de zone touristique de choix», a-t-il souligné, affirmant que l'Etat qui « accorde une attention particulière au secteur du tourisme ne ménagera aucun effort pour revaloriser les sites touristique de cette région, jadis, considérée comme pionnière dans la formation touristique». Le secteur de l'hydraulique est l'autre secteur qui a bénéficié de l'attention du Premier ministre. La région a connu une longue période de sécheresse, Populations et agriculture ont souffert de ce phénomène. Le lancement « prochain » des travaux de réalisation du barrage El Medjdel, annoncé par Sellal et qui sera d'un impact certain sur l'amélioration de l'alimentation de la population en eau potable a été bien accueilli par les représentants de la société civile qui ont fait de cette question l'une des principales doléances exprimées au Premier ministre. Autre secteur concerné par l'eau qui a été longuement évoque par le Premier ministre : l'agriculture. Il s'est engagé à apporter une soutien fort pour les investisseurs qui choisissent ce secteur. Il estime que le région d'El Mahda, bien prise en charge, seule, avec ses ressources agricoles pourrait satifaire aux besoins en produits agricoles de l'Algérie. Il pense que le développement agricole est la seule solution pour l'Algérie. Il recommande la « modernisation » et l'acquisition du « savoir faire » pour développer ce secteur et cite l'exemple de Mascara. Dans le domaine industriel, il s'engage à soutenir et à faciliter la tâche aux investisseurs qu'ils soient publics ou privés et assure que son gouvernement ne fait pas de distinction entre les deux formes juridiques. « Il est temps que l'industrie reprenne sa place dans le développement économiques du pays", a-t-il martelé, et rappelle certaines données chiffrées. Dans les années 1970, l'industrie générait 15% du PIB (produit intérieur brut), aujourd'hui, elle n'est qu'à 4 ou 5%, regrette-t-il, attribuant cette baisse de la prt de l'industrie dans le PIB « à la décennie noire, vécue par le pays durant les années 1990". Il fait part de la « décision politique » de renverser la tendance et d'augmenter ce taux à plus de 10% d'une manière graduelle. Ce sera 6 à 7% dès le prochain plan de développement 2015-2019, ambitionne-t-il, soulignant que le « pétrole, seul, ne peut être un capital ». Il se déclare satisfait de la bonne gouvernance de la zone industrielle de M'Sila. Une zone où il a pu s'enquérir de son dynamisme en visitant deux unités, Maghreb Pipe et Hodna Lait. Une occasion aussi pour lui de remettre 14 actes de concessions du foncier industriel à des investisseurs, appelant à assainir la zone industrielle et d'envisager son extension, selon les disponibilités. Il appelle aussi à la création d'une nouvelle zone industrielle dans la capitale du Hodna. Le Premier ministre a eu à évoquer le secteur de la santé, objet de sévères critiques de la population de la wilaya de M'Sila. Il reconnaît les « insuffisances » et promet « ce qui doit être fait sera fait ». En attendant, « il s'agit de ne pas se précipiter » et demande d'être « réaliste » et met en exergue la difficulté de créer une faculté de médecine à M'Sila comme il a été demandé par certains représentants de la société civile de la wilaya. « Il faut un corps enseignant spécialisé, des professeurs, éléments qui manquent encore à M'Sila". Pour autant, soutient-il « cela n'empêche pas vos enfants d'étudier la médecine dans d'autres universités algériennes ». Pour le traitement du cancer, problème soulevé par de nombreux intervenants, Abdelmalek Sellal estime que les centre de Sétif répondrait aux besoins de la wilaya du Hodna. Pour le moment, il annonce que le ministre de la Santé se rendra dès la semaine prochaine dans cette wilaya pour s'enquérir du fonctionnement de ce secteur et des mesures nécessaires seront prises. Il a par ailleurs procédé au lancement des chantiers de 1.000 logements au pôle urbain de Boussaâda (65 km au sud de M'sila). Toujours aussi irrité envers les responsables du projet pour leur vision étriquée de ce qu'est un pôle urbain, il a appelé ces responsables, à des correctifs de fond qui puissent tenir compte avant toute considération, des besoins des citoyens, notamment en espaces de convivialité et de loisirs, des spécificités naturelles et culturelles de la région et d'un urbanisme adapté au patrimoine. Abdelmadjid Tebboune, le ministre de l'Habitat, s'est engagé à envoyer une équipe de son département sur place dès la semaine prochaine pour évaluer les correctifs à apporter éventuellement aux études du pôle urbain de Boussaâda qui s'étend sur une superficie globale de 285 ha avec une capacité d'accueil en logements estimée à 11.000 unités.Près de huit milles (8.000) unités, tous segments confondus, ont été réalisées où sont en cours de réalisation sur ce pôle urbain disposant d'une assiette pour 3.084 logements. Dans le secteur de l'Enseignement supérieur, Abdelmalek Sellal a inauguré le siège du rectorat du nouveau pôle universitaire de M'sila. Ce projet comprend 17.000 places pédagogiques et 11.000 lits. Il a, par ailleurs, procédé à la mise en service de dix groupes turbines mobiles et inspecté le chantier de réalisation de deux autres, susceptibles d'augmenter les capacités d'énergie électrique dans la wilaya.