"Nous dénonçons le silence de la communauté internationale quant à la répression brutale menée par les autorités de l'occupation marocaines et qui sont toujours en cours dans les territoires sahraouis occupés", a dénoncé le Premier ministre sahraoui, Abdelkader Taleb Omar, dans un message lu aux cadres participants à l'université d'été de la RASD qui s'est clôturée hier à Boumerdès. "Nous dénonçons le silence de la communauté internationale quant à la répression brutale menée par les autorités de l'occupation marocaines et qui sont toujours en cours dans les territoires sahraouis occupés", a dénoncé le Premier ministre sahraoui, Abdelkader Taleb Omar, dans un message lu aux cadres participants à l'université d'été de la RASD qui s'est clôturée hier à Boumerdès. "Nous demandons aux Nations unies de prendre leur entière responsabilité quant à l‘atteinte des droits de l‘homme qui se poursuit contre les civils sahraouis", a-t-il encore écrit. Abordant le sujet de la protection des civils et des droits de l‘Homme, le Premier ministre a précisé dans son message que pas "moins de 651 Sahraouis sont portés disparus depuis l‘invasion marocaine des territoires sahraouis en 1975". Il a dénoncé avec force l‘indifférence de la communauté internationale face aux agissements et dépassements des autorités coloniales du Maroc contre les civils sans défense dans une zone pourtant sous l‘égide des Nations unies. Profitant de cette occasion, Omar Taleb a demandé à l‘Onu le démantèlement du mur de la honte érigé par le Maroc, un mur long de 2.700 km et constitué de 160.000 soldats et près de 6 millions de mines antipersonnel. Outre cela, Khatri Abdoun, le président du conseil national et chef de la délégation chargé des négociations, a dénoncé, également, "le soutien du Maroc au terrorisme et ce, dans l‘optique de déstabiliser la région et entraver le processus de règlement de la cause sahraoui". Selon lui, "le Royaume chérifien abrite des groupes criminels et des terroristes activant notamment au nord du Mali, visent à déstabiliser le Sahel et la région entière" . Pour sa part, M‘hamed Kheddad, coordinateur sahraoui avec le Minurso, a dénoncé, samedi dernier "l‘exploitation des richesses sahraouies par des sociétés étrangères qui ont conclus des partenariats avec les autorités d‘occupations pour brader les richesses du Sahara occidental." Sur ce plan il a indiqué que l‘accord de la Pêche conclu avec l‘Union européenne est illégal et considéré comme nul et non avenus. "Nous demandons aux Nations unies de prendre leur entière responsabilité quant à l‘atteinte des droits de l‘homme qui se poursuit contre les civils sahraouis", a-t-il encore écrit. Abordant le sujet de la protection des civils et des droits de l‘Homme, le Premier ministre a précisé dans son message que pas "moins de 651 Sahraouis sont portés disparus depuis l‘invasion marocaine des territoires sahraouis en 1975". Il a dénoncé avec force l‘indifférence de la communauté internationale face aux agissements et dépassements des autorités coloniales du Maroc contre les civils sans défense dans une zone pourtant sous l‘égide des Nations unies. Profitant de cette occasion, Omar Taleb a demandé à l‘Onu le démantèlement du mur de la honte érigé par le Maroc, un mur long de 2.700 km et constitué de 160.000 soldats et près de 6 millions de mines antipersonnel. Outre cela, Khatri Abdoun, le président du conseil national et chef de la délégation chargé des négociations, a dénoncé, également, "le soutien du Maroc au terrorisme et ce, dans l‘optique de déstabiliser la région et entraver le processus de règlement de la cause sahraoui". Selon lui, "le Royaume chérifien abrite des groupes criminels et des terroristes activant notamment au nord du Mali, visent à déstabiliser le Sahel et la région entière" . Pour sa part, M‘hamed Kheddad, coordinateur sahraoui avec le Minurso, a dénoncé, samedi dernier "l‘exploitation des richesses sahraouies par des sociétés étrangères qui ont conclus des partenariats avec les autorités d‘occupations pour brader les richesses du Sahara occidental." Sur ce plan il a indiqué que l‘accord de la Pêche conclu avec l‘Union européenne est illégal et considéré comme nul et non avenus.