Cent quarante-cinq micro-entreprises ont été créées par les femmes en 2013, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, au titre du dispositif de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (ANSEJ), soit un taux approximatif de 11% des 1.384 unités initiées durant cette période, a indiqué le directeur de l'antenne locale de l'Ansej, selon l'APS. Cent quarante-cinq micro-entreprises ont été créées par les femmes en 2013, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, au titre du dispositif de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (ANSEJ), soit un taux approximatif de 11% des 1.384 unités initiées durant cette période, a indiqué le directeur de l'antenne locale de l'Ansej, selon l'APS. Sur un total de 14.146 micro-entreprises mises sur pied à travers la wilaya depuis le lancement de ce dispositif, la part totale revenant à la gent féminine s'élève à 1.372 unités, selon un bilan présenté par Lamouri Hocine, qui signale "une forte croissance de l'investissement féminin" observée, ces dernières années, à travers la wilaya, rappelant que le nombre de porteuses de projets ne dépassait pas la dizaine durant les années de rodage du dispositif. Cette remarquable place que le femme, s'est taillée dans le monde de l'investissement, elle la doit avant tout, selon ce responsable, qui a fait de l'accompagnement des investisseurs son crédo, à "la témérité des pionnières qui ont posé le premier jalon, en bravant des préjugés négatifs pour montrer la voie à leurs congénères". "L'autre motif de satisfaction réside dans le fait que ces entreprises féminines sont promises à une longue durée de vie, pour cause de la création de la plupart d'entre elles par des diplômées universitaires ou par des produits de la formation professionnelle", se réjouit Lamouri qui voit en ce savoir-faire "un gage de réussite certaine de l'aventure entrepreneuriale".La gamme des créneaux d'investissement sollicités par les femmes s'élargit de plus en plus. Après une limitation, au début, aux activités conventionnelles telles que la coiffure et la couture, les porteuses de projets se sont intéressées à d'autres domaines considérés jusque-là comme étant l'apanage exclusif des hommes, fait remarquer la même source. A la faveur de la bonification des taux d'intérêts des crédits bancaires, dont le paiement est supporté par l'Ansej depuis juillet dernier, conformément à une décision gouvernementale, "il est attendu une sollicitation accrue de ce dispositif d'investissement", estime, par ailleurs, Lamouri. Sur un total de 14.146 micro-entreprises mises sur pied à travers la wilaya depuis le lancement de ce dispositif, la part totale revenant à la gent féminine s'élève à 1.372 unités, selon un bilan présenté par Lamouri Hocine, qui signale "une forte croissance de l'investissement féminin" observée, ces dernières années, à travers la wilaya, rappelant que le nombre de porteuses de projets ne dépassait pas la dizaine durant les années de rodage du dispositif. Cette remarquable place que le femme, s'est taillée dans le monde de l'investissement, elle la doit avant tout, selon ce responsable, qui a fait de l'accompagnement des investisseurs son crédo, à "la témérité des pionnières qui ont posé le premier jalon, en bravant des préjugés négatifs pour montrer la voie à leurs congénères". "L'autre motif de satisfaction réside dans le fait que ces entreprises féminines sont promises à une longue durée de vie, pour cause de la création de la plupart d'entre elles par des diplômées universitaires ou par des produits de la formation professionnelle", se réjouit Lamouri qui voit en ce savoir-faire "un gage de réussite certaine de l'aventure entrepreneuriale".La gamme des créneaux d'investissement sollicités par les femmes s'élargit de plus en plus. Après une limitation, au début, aux activités conventionnelles telles que la coiffure et la couture, les porteuses de projets se sont intéressées à d'autres domaines considérés jusque-là comme étant l'apanage exclusif des hommes, fait remarquer la même source. A la faveur de la bonification des taux d'intérêts des crédits bancaires, dont le paiement est supporté par l'Ansej depuis juillet dernier, conformément à une décision gouvernementale, "il est attendu une sollicitation accrue de ce dispositif d'investissement", estime, par ailleurs, Lamouri.