A quelques jours de la rentrée scolaire, beaucoup de parents ont commencé à acquérir les fournitures scolaires et autres kits nécessaires. A quelques jours de la rentrée scolaire, beaucoup de parents ont commencé à acquérir les fournitures scolaires et autres kits nécessaires. Les magasins au niveau des grandes surfaces et dans les rues principales de la capitale ont réservé des espaces aux articles scolaires (cahiers, stylos et cartables) et d‘autres aux habits, chaussures et tabliers. Devant le rush constaté chaque année sur ces articles, les propriétaires des locaux commerciaux ont renforcé la main d‘œuvre. Les parents attendent généralement la dernière semaine avant la rentrée pour procéder à l‘achat des articles scolaires, d‘autres préfèrent attendre la liste donnée par les établissements Fournitures scolaires, un créneau porteur pour le commerce informel Beaucoup de jeunes notamment les chômeurs saisissent l‘occasion de la rentrée des classes pour dresser des étals de fortune à côté des marchés et proposer des articles souvent à des prix raisonnables. Ces jeunes confient s‘approvisionner auprès des vendeurs de gros à côté de la pêcherie d‘Alger ou dans la commune de Bab Ezzouar, précisant que cette activité saisonnière dure près de deux semaines après la rentrée scolaire, prévue le 8 septembre courant pour cette année. Ils revendent les articles à des prix abordables ce qui arrange les petites bourses quand bien même la qualité n‘est pas ce qu‘il y a de mieux. Les prix des articles scolaires sont généralement stables "en dépit de légères augmentations pour certains", à l‘instar des cahiers dont les prix ont augmenté de 5 à 8 DA par rapport à l‘année dernière, ont relevé des commerçants. Selon l‘un d‘eux rencontré à la rue Bab Azzoun, en plein centre d‘Alger le prix du cahier de 96 pages varie entre 25 et 30 DA alors qu‘il se situait l‘année dernière entre 20 et 25 DA rapporte l‘APS. Les prix des cartables, quant à eux, se situent entre 250 et 1.500 DA en fonction du volume, de la qualité et du pays d‘origine. Les cartables fabriqués localement, dont le prix avoisine les 800 DA, sont les plus prisés, a constaté l‘APS. Quant aux tabliers, que ce soit pour les filles ou les garçons leur prix varie entre 300 et 1.200 DA, également selon la qualité du produit et son origine. Les parents ne cachent pas leur mécontentement devant la mauvaise qualité des articles proposés notamment les cartables et les tabliers souvent importés de pays asiatiques. Même si les prix des fournitures scolaires connaissent une certaine stabilité, les parents notamment ceux dont les revenus sont faibles, ont affirmé que la succession d‘occasions religieuses comme le Ramadan et l‘Aïd El-Fitr et par la suite les vacances et finalement la rentrée scolaire "ont lourdement affecté les budgets des familles". Des élèves retroussent leurs manches pour financer leur rentrée scolaire Afin d‘aider leurs parents à faire face aux dépenses liées à cet événement, beaucoup d‘élèves travaillent durant la saison estivale pour financer leur rentrée scolaire et épargner à leurs parents cette charge souvent pénible pour les faibles revenus. Des jeunes travaillant dans des pizzerias, salon de thé et autres travaillent pour aider leurs parents à l‘achat du trousseau scolaire qui coute en moyenne entre 5000 et 8000 DA. Plus de 8 millions d‘élèves, tous paliers confondus (primaire, moyen et secondaire) rejoindront les bancs de l‘école dimanche prochain au titre de l‘année scolaire 2013-2014. L‘Etat alloue une prime de scolarité aux familles démunies de 3.000 DA qui est loin de couvrir les besoins scolaires . Des associations interpelllent les pouvoirs publics pour que cette allocation soit revue à la hausse. Les magasins au niveau des grandes surfaces et dans les rues principales de la capitale ont réservé des espaces aux articles scolaires (cahiers, stylos et cartables) et d‘autres aux habits, chaussures et tabliers. Devant le rush constaté chaque année sur ces articles, les propriétaires des locaux commerciaux ont renforcé la main d‘œuvre. Les parents attendent généralement la dernière semaine avant la rentrée pour procéder à l‘achat des articles scolaires, d‘autres préfèrent attendre la liste donnée par les établissements Fournitures scolaires, un créneau porteur pour le commerce informel Beaucoup de jeunes notamment les chômeurs saisissent l‘occasion de la rentrée des classes pour dresser des étals de fortune à côté des marchés et proposer des articles souvent à des prix raisonnables. Ces jeunes confient s‘approvisionner auprès des vendeurs de gros à côté de la pêcherie d‘Alger ou dans la commune de Bab Ezzouar, précisant que cette activité saisonnière dure près de deux semaines après la rentrée scolaire, prévue le 8 septembre courant pour cette année. Ils revendent les articles à des prix abordables ce qui arrange les petites bourses quand bien même la qualité n‘est pas ce qu‘il y a de mieux. Les prix des articles scolaires sont généralement stables "en dépit de légères augmentations pour certains", à l‘instar des cahiers dont les prix ont augmenté de 5 à 8 DA par rapport à l‘année dernière, ont relevé des commerçants. Selon l‘un d‘eux rencontré à la rue Bab Azzoun, en plein centre d‘Alger le prix du cahier de 96 pages varie entre 25 et 30 DA alors qu‘il se situait l‘année dernière entre 20 et 25 DA rapporte l‘APS. Les prix des cartables, quant à eux, se situent entre 250 et 1.500 DA en fonction du volume, de la qualité et du pays d‘origine. Les cartables fabriqués localement, dont le prix avoisine les 800 DA, sont les plus prisés, a constaté l‘APS. Quant aux tabliers, que ce soit pour les filles ou les garçons leur prix varie entre 300 et 1.200 DA, également selon la qualité du produit et son origine. Les parents ne cachent pas leur mécontentement devant la mauvaise qualité des articles proposés notamment les cartables et les tabliers souvent importés de pays asiatiques. Même si les prix des fournitures scolaires connaissent une certaine stabilité, les parents notamment ceux dont les revenus sont faibles, ont affirmé que la succession d‘occasions religieuses comme le Ramadan et l‘Aïd El-Fitr et par la suite les vacances et finalement la rentrée scolaire "ont lourdement affecté les budgets des familles". Des élèves retroussent leurs manches pour financer leur rentrée scolaire Afin d‘aider leurs parents à faire face aux dépenses liées à cet événement, beaucoup d‘élèves travaillent durant la saison estivale pour financer leur rentrée scolaire et épargner à leurs parents cette charge souvent pénible pour les faibles revenus. Des jeunes travaillant dans des pizzerias, salon de thé et autres travaillent pour aider leurs parents à l‘achat du trousseau scolaire qui coute en moyenne entre 5000 et 8000 DA. Plus de 8 millions d‘élèves, tous paliers confondus (primaire, moyen et secondaire) rejoindront les bancs de l‘école dimanche prochain au titre de l‘année scolaire 2013-2014. L‘Etat alloue une prime de scolarité aux familles démunies de 3.000 DA qui est loin de couvrir les besoins scolaires . Des associations interpelllent les pouvoirs publics pour que cette allocation soit revue à la hausse.