Le chef de l'Etat, Abdelaziz Bouteflika, reprend les choses en mains après une longue absence suite à son accident cardio-vasculaire, suivi d'une période de convalescence. Le chef de l'Etat, Abdelaziz Bouteflika, reprend les choses en mains après une longue absence suite à son accident cardio-vasculaire, suivi d'une période de convalescence. Il a présidé, dimanche, un Conseil des ministres très attendu dans lequel il a donné des orientations et des recommandations aux membres du gou affirmé : « Notre ambition est grande, mais elle est à la mesure de l'Algérie et des aspirations de ses enfants. J'attends de chacun d'entre vous du travail, de l'engagement et de l'abnégation ». Le ton est donné ! Dans ce cadre, il a instruit le gouvernement de poursuivre les efforts de l'Etat en vue de renforcer la démarche de développement économique et social à travers la dynamisation de la réalisation des projets d'équipements, la stabilisation des cadres réglementaire et fiscal et le maintien des transferts sociaux. Il a également rappelé que le développement de la sphère productive constitue un axe majeur, autour duquel, doit s'inscrire l'ensemble des démarches sectorielles, notamment l'agriculture qui est selon l'optique du président de la République un segment nodal. Bouteflika rappelle que l'Etat a déjà consenti des efforts importants censés se traduire par des résultats tangibles en matière d'amélioration qualitative et quantitative de la production, à même d'assurer, la sécurité alimentaire du pays. Pour ce faire, Bouteflika instruit le gouvernement de préparer minutieusement la prochaine rencontre tripartite qui sera consacrée à la dynamisation du développement économique national fondée sur le renforcement du cadre de promotion de l'entreprise nationale qui constitue la source première de création de richesse et d'emploi et d'impulsion de la croissance. Ces assises, selon lui, devront permettre, par ailleurs, le renforcement des vertus du dialogue et de la concertation entre l'ensemble des acteurs concernés par l'œuvre de renouveau de la sphère productive du pays. Il estime par ailleurs, que « l'émergence d'une base industrielle nationale moderne et compétitive passe nécessairement par le soutien de l'Etat à l'entreprenariat et à la promotion de l'investissement ». Dans ce contexte, il estime également que que tous les secteurs devront faire preuve de plus de dynamisme et d'initiative pour favoriser la création de la croissance des entreprises et encourager les projets innovants créateurs de richesse et d'emplois pérennes. Selon lui, l'ampleur des défis auxquels le pays « demeure confronté, en dépit des appréciables étapes franchies, exige d'éviter tout retard dans l'action engagée ou celle en cours de maturation ». Il appartient, en conséquence, dira-t-il « d'inscrire l'action dans une démarche de mobilisation cohérente et coordonnée des efforts et des moyens qui tienne compte de la tâche qui nous incombe ». D'autant plus, souligne-t-il que « le monde d'aujourd'hui est dominé par la compétition et l'Algérie a les capacités d'être un bon concurrent ». Pour « ce faire, nous devons mobiliser davantage notre potentiel national et l'ensemble des acteurs économiques et financiers pour une économie structurée et pérenne, à même de commercer avantageusement avec le reste du monde», a-t-il souligné, relevant que « grâce à de lourds sacrifices, l'Algérie est aujourd'hui forte de sa stabilité et de celle de ses institutions. Il nous incombe donc de redoubler d'efforts pour léguer à nos enfants un pays économiquement prospère et résolument tourné vers l'avenir ». Pour Abdelaziz Bouteflika, cette « mission requiert obligatoirement une administration efficace et transparente basée sur un service public moderne et de qualité, débarrassée des nuisances de la bureaucratie ». Il estime que « le citoyen doit pouvoir compter sur l'agent public et lui faire confiance » et instruit qu'« un même service public de qualité doit lui être rendu, et ce quelle que soit sa condition sociale ou son lieu de résidence à travers le territoire national ». Dans ce contexte, il a rappelé « la nécessité impérieuse pour toutes les institutions de la République, notamment le gouvernement, d'être en permanence à l'écoute de la société et de développer les canaux appropriés de dialogue et de concertation avec l'ensemble de ses composantes». Le président de la République a, enfin, rappelé « l'importance de prendre, d'ores et déjà, toutes les mesures et dispositions nécessaires afin de permettre à notre pays d'aborder, dans les meilleurs conditions, les prochaines échéances politiques ». Auparavant, le Conseil des ministres avait procédé à l'examen et l'approbation de 7 projets de textes législatifs, notamment le projet de loi de finances pour l'année 2014, qui consacre l'objectif de croissance économique estimé, pour 2014, à 4,5%, ainsi que la maîtrise de l'inflation à un taux de 3,5%, et vise le maintien des grandséquilibres budgétaires et la poursuite de la dynamique de réalisation du programme présidentiel de développement économique dans le cadre d'une vision cohérente de la poursuite de la relance dans tous les domaines. Un projet de loi modifiant et complétant l'ordonnance numéro 66-156 du 8 juin 1966 portant code pénal. Un projet d'ordonnance modifiant et complétant l'ordonnance numéro 05-06 du 23 août 2005 relative à la lutte contre la contrebande. Un projet de loi portant règlement budgétaire de l'exercice 2011 Un projet de loi portant loi minière consistant en la refonte du dispositif actuel en vue de relancer la recherche minière et encourager les investissements. Un projet de loi relative aux activités et au marché du livre et enfin un projet de loi relative à l'activité audiovisuelle pris en application des dispositions de la loi organique du 12 janvier 2012 relative à l'information qui a pour objet de consacrer, dans la pratique, conformément aux dispositions constitutionnelles, l'ouverture du champ audiovisuel national à l'initiative privée. Le Conseil des ministres a, ensuite, examiné et approuvé un projet de décret présidentiel autorisant la souscription de l'Algérie à la seizième reconstitution des ressources de l'association internationale pour le développement. Le conseil des ministres a, également, examiné et approuvé 4 projets de décrets présidentiels portant approbation de contrats et d'avenants pour la recherche et l'exploitation d'hydrocarbures et a entendu des communications portant sur la conclusion, sous la formule du gré à gré simple, de plusieurs projets de marchés publics relatifs à la réalisation d'infrastructures et d'équipements publics, qui ont toutes fait l'objet d'un débat. Il a présidé, dimanche, un Conseil des ministres très attendu dans lequel il a donné des orientations et des recommandations aux membres du gou affirmé : « Notre ambition est grande, mais elle est à la mesure de l'Algérie et des aspirations de ses enfants. J'attends de chacun d'entre vous du travail, de l'engagement et de l'abnégation ». Le ton est donné ! Dans ce cadre, il a instruit le gouvernement de poursuivre les efforts de l'Etat en vue de renforcer la démarche de développement économique et social à travers la dynamisation de la réalisation des projets d'équipements, la stabilisation des cadres réglementaire et fiscal et le maintien des transferts sociaux. Il a également rappelé que le développement de la sphère productive constitue un axe majeur, autour duquel, doit s'inscrire l'ensemble des démarches sectorielles, notamment l'agriculture qui est selon l'optique du président de la République un segment nodal. Bouteflika rappelle que l'Etat a déjà consenti des efforts importants censés se traduire par des résultats tangibles en matière d'amélioration qualitative et quantitative de la production, à même d'assurer, la sécurité alimentaire du pays. Pour ce faire, Bouteflika instruit le gouvernement de préparer minutieusement la prochaine rencontre tripartite qui sera consacrée à la dynamisation du développement économique national fondée sur le renforcement du cadre de promotion de l'entreprise nationale qui constitue la source première de création de richesse et d'emploi et d'impulsion de la croissance. Ces assises, selon lui, devront permettre, par ailleurs, le renforcement des vertus du dialogue et de la concertation entre l'ensemble des acteurs concernés par l'œuvre de renouveau de la sphère productive du pays. Il estime par ailleurs, que « l'émergence d'une base industrielle nationale moderne et compétitive passe nécessairement par le soutien de l'Etat à l'entreprenariat et à la promotion de l'investissement ». Dans ce contexte, il estime également que que tous les secteurs devront faire preuve de plus de dynamisme et d'initiative pour favoriser la création de la croissance des entreprises et encourager les projets innovants créateurs de richesse et d'emplois pérennes. Selon lui, l'ampleur des défis auxquels le pays « demeure confronté, en dépit des appréciables étapes franchies, exige d'éviter tout retard dans l'action engagée ou celle en cours de maturation ». Il appartient, en conséquence, dira-t-il « d'inscrire l'action dans une démarche de mobilisation cohérente et coordonnée des efforts et des moyens qui tienne compte de la tâche qui nous incombe ». D'autant plus, souligne-t-il que « le monde d'aujourd'hui est dominé par la compétition et l'Algérie a les capacités d'être un bon concurrent ». Pour « ce faire, nous devons mobiliser davantage notre potentiel national et l'ensemble des acteurs économiques et financiers pour une économie structurée et pérenne, à même de commercer avantageusement avec le reste du monde», a-t-il souligné, relevant que « grâce à de lourds sacrifices, l'Algérie est aujourd'hui forte de sa stabilité et de celle de ses institutions. Il nous incombe donc de redoubler d'efforts pour léguer à nos enfants un pays économiquement prospère et résolument tourné vers l'avenir ». Pour Abdelaziz Bouteflika, cette « mission requiert obligatoirement une administration efficace et transparente basée sur un service public moderne et de qualité, débarrassée des nuisances de la bureaucratie ». Il estime que « le citoyen doit pouvoir compter sur l'agent public et lui faire confiance » et instruit qu'« un même service public de qualité doit lui être rendu, et ce quelle que soit sa condition sociale ou son lieu de résidence à travers le territoire national ». Dans ce contexte, il a rappelé « la nécessité impérieuse pour toutes les institutions de la République, notamment le gouvernement, d'être en permanence à l'écoute de la société et de développer les canaux appropriés de dialogue et de concertation avec l'ensemble de ses composantes». Le président de la République a, enfin, rappelé « l'importance de prendre, d'ores et déjà, toutes les mesures et dispositions nécessaires afin de permettre à notre pays d'aborder, dans les meilleurs conditions, les prochaines échéances politiques ». Auparavant, le Conseil des ministres avait procédé à l'examen et l'approbation de 7 projets de textes législatifs, notamment le projet de loi de finances pour l'année 2014, qui consacre l'objectif de croissance économique estimé, pour 2014, à 4,5%, ainsi que la maîtrise de l'inflation à un taux de 3,5%, et vise le maintien des grandséquilibres budgétaires et la poursuite de la dynamique de réalisation du programme présidentiel de développement économique dans le cadre d'une vision cohérente de la poursuite de la relance dans tous les domaines. Un projet de loi modifiant et complétant l'ordonnance numéro 66-156 du 8 juin 1966 portant code pénal. Un projet d'ordonnance modifiant et complétant l'ordonnance numéro 05-06 du 23 août 2005 relative à la lutte contre la contrebande. Un projet de loi portant règlement budgétaire de l'exercice 2011 Un projet de loi portant loi minière consistant en la refonte du dispositif actuel en vue de relancer la recherche minière et encourager les investissements. Un projet de loi relative aux activités et au marché du livre et enfin un projet de loi relative à l'activité audiovisuelle pris en application des dispositions de la loi organique du 12 janvier 2012 relative à l'information qui a pour objet de consacrer, dans la pratique, conformément aux dispositions constitutionnelles, l'ouverture du champ audiovisuel national à l'initiative privée. Le Conseil des ministres a, ensuite, examiné et approuvé un projet de décret présidentiel autorisant la souscription de l'Algérie à la seizième reconstitution des ressources de l'association internationale pour le développement. Le conseil des ministres a, également, examiné et approuvé 4 projets de décrets présidentiels portant approbation de contrats et d'avenants pour la recherche et l'exploitation d'hydrocarbures et a entendu des communications portant sur la conclusion, sous la formule du gré à gré simple, de plusieurs projets de marchés publics relatifs à la réalisation d'infrastructures et d'équipements publics, qui ont toutes fait l'objet d'un débat.