Un cinquième des inscrits maritimes de la Méditerranée se trouve en Algérie dont le tiers représente des sardiniers. D'où l'importance pour le secteur de la pêche de montrer la place qu'occupe l'Algérie dans la Méditerranée. Un cinquième des inscrits maritimes de la Méditerranée se trouve en Algérie dont le tiers représente des sardiniers. D'où l'importance pour le secteur de la pêche de montrer la place qu'occupe l'Algérie dans la Méditerranée. D‘ailleurs de ce point de vue l‘Algérie tient à ce que les règles régissant la pêche maritime dans ce bassin doivent tenir compte de l‘état de développement économique de chaque pays notamment ceux de la rive Sud. C‘est ce qui ressort des déclarations du ministre de la Pêche et des ressources halieutiques, Sid Ahmed Ferroukhi, qui a tenu une séance de travail avec le président de la Commission générale de la pêche en Méditerranée et en mer Noire (CGPM), Stéfano Ctaudella. Pour le ministre, le renforcement de la coopération entre les pays méditerranéens dans le domaine de la pêche va aider ces Etats à trouver des compromis sur des questions importantes touchant à la pêche nationale et régionale. Pour l‘Algérie, le développement d‘une pêche durable répond au besoin de préserver l‘impact socioéconomique de l‘activité de la pêche tout en contribuant à la relance de l‘économie productive nationale. Pour ce faire, l‘Algérie veut renforcer ses liens de coopération avec les organisations et institutions régionales dont la CGPM à laquelle elle a adhérée en 1965. "Cette coopération va nous aider à mettre en perspective le secteur de la pêche" telle que définie dans la feuille de route "STRAT-e-Said" oeuvrant pour un développement durable des activités de la pêche et de l‘aquaculture. Pour le président de la CGPM, cette réunion de travail à Alger a permis d‘évoquer des problématiques à caractère national et régional en évoquant des questions "complexes" comme la préservation de l‘environnement et comment valoriser la ressource halieutique afin de répondre aux besoins des générations futures. "Il est nécessaire d‘améliorer la coopération entre les pays de la Méditerranée dans le domaine de la pêche étant donné que ces Etats partagent les mêmes problématiques liées à cette activité", a soutenu M. Ctaudella. Il a indiqué dans ce sens qu‘un symposium régional sur la pêche artisanale durable en Méditerranée se tiendra du 27 au 30 novembre prochain à Malte pour faire le point sur toutes les initiatives menées par ces pays dans ce domaine et sortir avec une stratégie commune de développement de la pêche artisanale. "La pêche artisanale est un secteur prédominant dans la Méditerranée, mais malheureusement n‘a pas bénéficié d‘une politique régionale pour son développement durable", a soutenu le secrétaire général de la CGPM, Abdellah Srour. Ce symposium devrait aboutir à une feuille de route et des actions concrètes pour le suivi de cette activité afin de mieux appréhender les potentialités de ce secteur qui fait vivre une grande communauté. D‘ailleurs de ce point de vue l‘Algérie tient à ce que les règles régissant la pêche maritime dans ce bassin doivent tenir compte de l‘état de développement économique de chaque pays notamment ceux de la rive Sud. C‘est ce qui ressort des déclarations du ministre de la Pêche et des ressources halieutiques, Sid Ahmed Ferroukhi, qui a tenu une séance de travail avec le président de la Commission générale de la pêche en Méditerranée et en mer Noire (CGPM), Stéfano Ctaudella. Pour le ministre, le renforcement de la coopération entre les pays méditerranéens dans le domaine de la pêche va aider ces Etats à trouver des compromis sur des questions importantes touchant à la pêche nationale et régionale. Pour l‘Algérie, le développement d‘une pêche durable répond au besoin de préserver l‘impact socioéconomique de l‘activité de la pêche tout en contribuant à la relance de l‘économie productive nationale. Pour ce faire, l‘Algérie veut renforcer ses liens de coopération avec les organisations et institutions régionales dont la CGPM à laquelle elle a adhérée en 1965. "Cette coopération va nous aider à mettre en perspective le secteur de la pêche" telle que définie dans la feuille de route "STRAT-e-Said" oeuvrant pour un développement durable des activités de la pêche et de l‘aquaculture. Pour le président de la CGPM, cette réunion de travail à Alger a permis d‘évoquer des problématiques à caractère national et régional en évoquant des questions "complexes" comme la préservation de l‘environnement et comment valoriser la ressource halieutique afin de répondre aux besoins des générations futures. "Il est nécessaire d‘améliorer la coopération entre les pays de la Méditerranée dans le domaine de la pêche étant donné que ces Etats partagent les mêmes problématiques liées à cette activité", a soutenu M. Ctaudella. Il a indiqué dans ce sens qu‘un symposium régional sur la pêche artisanale durable en Méditerranée se tiendra du 27 au 30 novembre prochain à Malte pour faire le point sur toutes les initiatives menées par ces pays dans ce domaine et sortir avec une stratégie commune de développement de la pêche artisanale. "La pêche artisanale est un secteur prédominant dans la Méditerranée, mais malheureusement n‘a pas bénéficié d‘une politique régionale pour son développement durable", a soutenu le secrétaire général de la CGPM, Abdellah Srour. Ce symposium devrait aboutir à une feuille de route et des actions concrètes pour le suivi de cette activité afin de mieux appréhender les potentialités de ce secteur qui fait vivre une grande communauté.