Une nouvelle alliance a vu le jour avant-hier à l'APN. Trois groupes parlementaires se sont alliés à l'effet de soutenir ensemble les projets de loi qui ont tout récemment été déposés par le gouvernement sur le bureau de l'Assemblée. Une nouvelle alliance a vu le jour avant-hier à l'APN. Trois groupes parlementaires se sont alliés à l'effet de soutenir ensemble les projets de loi qui ont tout récemment été déposés par le gouvernement sur le bureau de l'Assemblée. Les groupes parlementaires du FLN, des indépendans et du parti TAJ, dont les chefs se sont rencontrés avant-hier, ont rendu public un communiqué dans lequel ils expliquent les objectifs de cette nouvelle alliance politique. Ainsi cette initiative vise , selon le communiqué, à consacrer «cohésion, action collective et échange de vues et d'idées sur les projets de loi soumis à l'APN» ; elle (l'initiative ) se veut aussi «un partenariat fort et efficace qui consacre le principe de stabilité et de continuité et préserve les acquis et réalisations tout en œuvrant à la consolidation des institutions de l'Etat au mieux des intérêts du peuple. Elle consacre aussi les intérêts du Parlement pour une meilleure prise en charge de ses préoccupations et un suivi de l'application des lois». Il s'agit enfin, note encore le communiqué, «d'une initiative ouverte à tous et n'excluant aucun groupe parlementaire». L'absence du RND dans cette alliance n'est pas passée inaperçue. D'aucuns se sont interrogés sur le pourquoi de cette absence, alors que ce parti a toujours été aux côtés du FLN. «Nous n'avons pas adressé une invitation au RND» a déclaré le président du groupe parlementaire du FLN, Tahar Khaoua avant de préciser que «ce parti était au courant de cette initiative». Tahar Khaoua voulait sans doute dire que le RND devait se joindre à ce groupe de manière automatique sans attendre une quelconque invitation. Le chef du groupe parlementaire du FLN a reconnu que c'est son parti qui est à l'origine de cette initiative. «Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la promotion du travail législatif et d'une meilleure prise en charge des préoccupations des citoyens», a-t-il affirmé ajoutant que "l'alliance comprend quelque 300 députés et reste ouverte à toutes les sensibilités politiques de l'APN. L'initiative n'est pas le fruit de circonstances précises et poursuivra son action et son travail de coordination jusqu'à la fin de la présente législature". Avec cette alliance il est évident que tous les projets de loi proposés par le gouvernement seront adoptés sans aucun problème tant ces trois groupes parlementaires disposent de la majorité absolue à l'APN. Il faut aussi noter qu'en plus des 300 députés dont a parlé Tahar Khaoua, il faut ajouter plus de 60 députés du RND. Un parti qui soutient lui aussi le programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Les observateurs n'ont pas manqué de faire le lien entre cette initiative et le projet de révision constitutionnelle dont la présentation devant les deux Chambres du Parlement interviendrait très prochainement. Ce projet cher au chef de l'Etat sera ainsi le clou de la session d'automne du Parlement. Pour être avalisé le projet doit avoir le soutien des 2/3 des parlementaires des deux chambres du Parlement, à savoir l'APN et le Conseil de la nation qui, pour la circonstance, tiendront une session extraordinaire. Le FLN, qui est, faut-il le rappeler, la première force politique du pays comme l'atteste sa grande représentativité au sein des assemblées élues, veut être le fer de lance des partisans du chef de l'Etat et avoir un rôle central dans la scène politique nationale. C'est aussi dans ce contexte que le vieux parti s'active à lancer une nouvelle alliance présidentielle puisqu'il a déjà enregistré l'adhésion du parti TAJ de Amar Ghoul. Les groupes parlementaires du FLN, des indépendans et du parti TAJ, dont les chefs se sont rencontrés avant-hier, ont rendu public un communiqué dans lequel ils expliquent les objectifs de cette nouvelle alliance politique. Ainsi cette initiative vise , selon le communiqué, à consacrer «cohésion, action collective et échange de vues et d'idées sur les projets de loi soumis à l'APN» ; elle (l'initiative ) se veut aussi «un partenariat fort et efficace qui consacre le principe de stabilité et de continuité et préserve les acquis et réalisations tout en œuvrant à la consolidation des institutions de l'Etat au mieux des intérêts du peuple. Elle consacre aussi les intérêts du Parlement pour une meilleure prise en charge de ses préoccupations et un suivi de l'application des lois». Il s'agit enfin, note encore le communiqué, «d'une initiative ouverte à tous et n'excluant aucun groupe parlementaire». L'absence du RND dans cette alliance n'est pas passée inaperçue. D'aucuns se sont interrogés sur le pourquoi de cette absence, alors que ce parti a toujours été aux côtés du FLN. «Nous n'avons pas adressé une invitation au RND» a déclaré le président du groupe parlementaire du FLN, Tahar Khaoua avant de préciser que «ce parti était au courant de cette initiative». Tahar Khaoua voulait sans doute dire que le RND devait se joindre à ce groupe de manière automatique sans attendre une quelconque invitation. Le chef du groupe parlementaire du FLN a reconnu que c'est son parti qui est à l'origine de cette initiative. «Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la promotion du travail législatif et d'une meilleure prise en charge des préoccupations des citoyens», a-t-il affirmé ajoutant que "l'alliance comprend quelque 300 députés et reste ouverte à toutes les sensibilités politiques de l'APN. L'initiative n'est pas le fruit de circonstances précises et poursuivra son action et son travail de coordination jusqu'à la fin de la présente législature". Avec cette alliance il est évident que tous les projets de loi proposés par le gouvernement seront adoptés sans aucun problème tant ces trois groupes parlementaires disposent de la majorité absolue à l'APN. Il faut aussi noter qu'en plus des 300 députés dont a parlé Tahar Khaoua, il faut ajouter plus de 60 députés du RND. Un parti qui soutient lui aussi le programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Les observateurs n'ont pas manqué de faire le lien entre cette initiative et le projet de révision constitutionnelle dont la présentation devant les deux Chambres du Parlement interviendrait très prochainement. Ce projet cher au chef de l'Etat sera ainsi le clou de la session d'automne du Parlement. Pour être avalisé le projet doit avoir le soutien des 2/3 des parlementaires des deux chambres du Parlement, à savoir l'APN et le Conseil de la nation qui, pour la circonstance, tiendront une session extraordinaire. Le FLN, qui est, faut-il le rappeler, la première force politique du pays comme l'atteste sa grande représentativité au sein des assemblées élues, veut être le fer de lance des partisans du chef de l'Etat et avoir un rôle central dans la scène politique nationale. C'est aussi dans ce contexte que le vieux parti s'active à lancer une nouvelle alliance présidentielle puisqu'il a déjà enregistré l'adhésion du parti TAJ de Amar Ghoul.