La question énergétique occupe le dessus. Des experts et hauts responsables du secteur considèrent que les réserves actuelles en hydrocarbures doivent servir uniquement la demande nationale en énergie. Il faut selon les spécialistes préserver ces ressources pour les générations futures. La question énergétique occupe le dessus. Des experts et hauts responsables du secteur considèrent que les réserves actuelles en hydrocarbures doivent servir uniquement la demande nationale en énergie. Il faut selon les spécialistes préserver ces ressources pour les générations futures. L‘Algérie reste un gros producteur d‘hydrocarbures et depuis l‘indépendance son indice de production a été démultiplié à la faveur d‘un investissement colossal résultant des différentes politiques énergétiques. S‘exprimant lors de la convention du FFS sur l‘énergie, Ali Hached, conseiller auprès du ministre de l‘Energie a estimé que « les réserves en hydrocarbures suffisent largement à couvrir les besoins de l‘Algérie », démentant dans ce sens toutes les spéculations autour du déclin des gisements à terme. Cet expert et ex-vice-président de Sonatrach a, au contraire, expliqué dans son intervention que « l‘Algérie a opté vers la diversification énergétique avec un domaine minier qu‘il faut exploiter ». Dans le mêmes sens, il abonde sur l‘encouragement des énergies renouvelables qui représentent 25% du mix énergétique et 8% pour l‘énergie nucléaire. L‘Algérie, qui a engagé 100 milliards de dollars pour ses investissements en hydrocarbures, est une preuve que Sonatrach projette des perspectives pour couvrir pour longtemps ces besoins énergétiques. Les indices sont d‘ailleurs fort confortables puisque des experts évoquent que « le taux d‘intégration productif est aujourd‘hui supérieur de ce qu‘il était il y a quelques années ». En nombre de découvertes, le P-DG de Sonatrach précise que « le nombre de découvertes depuis 1962 est de l‘ordre de 404 découvertes ». Mais, selon lui, la compagnie nationale a fait 70 découvertes en l‘espace de 3 ans, ce qui démontre que l‘entreprise a entreprise avec soins son élan national en matière de compétences techniques liées à l‘exploration pétrolière. Mieux, Sonatrach envisage le forage de 243 puits en shore et un puit en off shore d‘ici 2014. D‘autres projets qu‘il faut rappeler vont permettre à augmenter la cadence de production en matière de gaz avec, notamment, le gazoduc Algérie-Nigeria qui prévoit une mise en production de 85 millions de m3 d‘ici à l‘horizon 2018-2020. L‘Algérie a aussi entamé le pourvoi du marché européen en gaz à long terme avec des recettes qui seront significatives avec la mise en rail du gazoduc de la Sardaigne. Cela étant, certains experts ne sont pas d‘avis d‘exploiter toutes les réserves pétrolières dont disposent actuellement le pays. Nordine Aït Laoussine, ex-ministre de l‘Energie, considère avec pessimisme que « depuis 2000, un fort rythme de production est enregistré et qui a provoqué un déclin des réserves ». « Un tel épuisement des ressources qui a conduit à une baisse de la production nous impose des mesures radicales dont l‘intensification de l‘exploration et la maîtrise de la consommation nationale », fait savoir cet éminent spécialiste. Il estime ainsi que « la préservation de ces réserves doit obéir pour la sécurité énergétique des générations futures ». Une thèse qui ne semble pas pour autant abandonnée par les pouvoirs publics en charge du dossier de l‘énergie qui misent sur de nouvellew stratégiew à reconstituer ces réserves tout en mettant plus d‘efforts dans l‘exploration dans d‘autres bassins recelant de grosses quantités en hydrocarbures. L‘Algérie reste un gros producteur d‘hydrocarbures et depuis l‘indépendance son indice de production a été démultiplié à la faveur d‘un investissement colossal résultant des différentes politiques énergétiques. S‘exprimant lors de la convention du FFS sur l‘énergie, Ali Hached, conseiller auprès du ministre de l‘Energie a estimé que « les réserves en hydrocarbures suffisent largement à couvrir les besoins de l‘Algérie », démentant dans ce sens toutes les spéculations autour du déclin des gisements à terme. Cet expert et ex-vice-président de Sonatrach a, au contraire, expliqué dans son intervention que « l‘Algérie a opté vers la diversification énergétique avec un domaine minier qu‘il faut exploiter ». Dans le mêmes sens, il abonde sur l‘encouragement des énergies renouvelables qui représentent 25% du mix énergétique et 8% pour l‘énergie nucléaire. L‘Algérie, qui a engagé 100 milliards de dollars pour ses investissements en hydrocarbures, est une preuve que Sonatrach projette des perspectives pour couvrir pour longtemps ces besoins énergétiques. Les indices sont d‘ailleurs fort confortables puisque des experts évoquent que « le taux d‘intégration productif est aujourd‘hui supérieur de ce qu‘il était il y a quelques années ». En nombre de découvertes, le P-DG de Sonatrach précise que « le nombre de découvertes depuis 1962 est de l‘ordre de 404 découvertes ». Mais, selon lui, la compagnie nationale a fait 70 découvertes en l‘espace de 3 ans, ce qui démontre que l‘entreprise a entreprise avec soins son élan national en matière de compétences techniques liées à l‘exploration pétrolière. Mieux, Sonatrach envisage le forage de 243 puits en shore et un puit en off shore d‘ici 2014. D‘autres projets qu‘il faut rappeler vont permettre à augmenter la cadence de production en matière de gaz avec, notamment, le gazoduc Algérie-Nigeria qui prévoit une mise en production de 85 millions de m3 d‘ici à l‘horizon 2018-2020. L‘Algérie a aussi entamé le pourvoi du marché européen en gaz à long terme avec des recettes qui seront significatives avec la mise en rail du gazoduc de la Sardaigne. Cela étant, certains experts ne sont pas d‘avis d‘exploiter toutes les réserves pétrolières dont disposent actuellement le pays. Nordine Aït Laoussine, ex-ministre de l‘Energie, considère avec pessimisme que « depuis 2000, un fort rythme de production est enregistré et qui a provoqué un déclin des réserves ». « Un tel épuisement des ressources qui a conduit à une baisse de la production nous impose des mesures radicales dont l‘intensification de l‘exploration et la maîtrise de la consommation nationale », fait savoir cet éminent spécialiste. Il estime ainsi que « la préservation de ces réserves doit obéir pour la sécurité énergétique des générations futures ». Une thèse qui ne semble pas pour autant abandonnée par les pouvoirs publics en charge du dossier de l‘énergie qui misent sur de nouvellew stratégiew à reconstituer ces réserves tout en mettant plus d‘efforts dans l‘exploration dans d‘autres bassins recelant de grosses quantités en hydrocarbures.