Le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, a répondu négativement à la demande des partis de l'opposition de créer une commission nationale indépendante de surveillance de l'élection présidentielle. Le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, a répondu négativement à la demande des partis de l'opposition de créer une commission nationale indépendante de surveillance de l'élection présidentielle. «La commission nationale de surveillance des élections est consacrée par la loi électorale qui lui confère de larges prérogatives » a déclaré le ministre de l‘Intérieur, jeudi, en marge d‘une séance pléniaire au Conseil de la Nation consacrée aux questions orales. « Bien qu‘elle soit en droit d‘exprimer son opinion et proposer des alternatives, un fait normal dans les pays démocratiques et ceux qui consacrent le multipartisme l‘opposition n‘a pas toujours raison » dira encore Belaïz, tout en précisant que « la loi électorale offrait de grandes garanties pour une opération électorale transparente et claire ». La demande de l‘opposition est ainsi clairement rejetée par le gouvernement. Une attitude qui était, du reste, très prévisible puisque le gouvernement n‘a jamais répondu favorablement à cette demande. Une demande que formule l‘opposition à chaque fois que le pays est à la veille d‘un scrutin électoral. Les partis d‘opposition ne font donc que revenir à la charge. Tout récemment encore, en effet, le groupe dit des 14 partis politiques, qui s‘est renforcé avec l‘adhésion de quelques personnalités a de nouveau revendiqué la création d‘une commission nationale indépendante de surveillance de l‘élection présidentielle prévue au printemps de l‘année 2014. Ce fut le cas samedi dernier ou, lors d‘une réunion de ce groupe de partis où il a aussi été question de la revendication relative au report du projet de report de la révision constitutionnelle. Par ailleurs Tayeb Belaïz a rassuré quant à la situation sécuritaire aux frontières du pays. « Toutes les frontières de l‘Algérie sont sécurisées » a indiqué Belaïz. Ce dernier faisait certainement allusion aux frontières Sud notamment ainsi qu‘aux frontières avec la Libye et la Tunisie. Sur un autre registre le ministre de l‘Intérieur a annoncé un programme de formation à partir de janvier de 2014 au profit des présidents d‘APC, des présidents d‘APW et des élus locaux. Un programme qui concerne le perfectionnement en matière de gestion. Selon Tayeb Belaïz, une équipe d‘experts est d‘ores et déjà à l‘œuvre en vue d‘élaborer un programme de formation dans le domaine de la gestion des communes et des wilayas pour l‘année 2014. Belaïz, qui répondait à une question orale d‘un sénateur, a indiqué que 14 structures de formation administrative relevant du ministère seront récupérées pour assurer une « formation méthodique et continue » avant d‘ajouter que « cette formation sera obligatoire ». Pour lui la commune est « avant tout un service public qui doit être gérée par des personnes compétentes et capables d‘offrir des prestations aux citoyens ». Enfin le ministre a annoncé que cette formation aura lieu en Algérie et dans des pays étrangers et ce en vue, dira-t-il, « d‘améliorer les prestations, développer les compétences et humaniser le service public ». «La commission nationale de surveillance des élections est consacrée par la loi électorale qui lui confère de larges prérogatives » a déclaré le ministre de l‘Intérieur, jeudi, en marge d‘une séance pléniaire au Conseil de la Nation consacrée aux questions orales. « Bien qu‘elle soit en droit d‘exprimer son opinion et proposer des alternatives, un fait normal dans les pays démocratiques et ceux qui consacrent le multipartisme l‘opposition n‘a pas toujours raison » dira encore Belaïz, tout en précisant que « la loi électorale offrait de grandes garanties pour une opération électorale transparente et claire ». La demande de l‘opposition est ainsi clairement rejetée par le gouvernement. Une attitude qui était, du reste, très prévisible puisque le gouvernement n‘a jamais répondu favorablement à cette demande. Une demande que formule l‘opposition à chaque fois que le pays est à la veille d‘un scrutin électoral. Les partis d‘opposition ne font donc que revenir à la charge. Tout récemment encore, en effet, le groupe dit des 14 partis politiques, qui s‘est renforcé avec l‘adhésion de quelques personnalités a de nouveau revendiqué la création d‘une commission nationale indépendante de surveillance de l‘élection présidentielle prévue au printemps de l‘année 2014. Ce fut le cas samedi dernier ou, lors d‘une réunion de ce groupe de partis où il a aussi été question de la revendication relative au report du projet de report de la révision constitutionnelle. Par ailleurs Tayeb Belaïz a rassuré quant à la situation sécuritaire aux frontières du pays. « Toutes les frontières de l‘Algérie sont sécurisées » a indiqué Belaïz. Ce dernier faisait certainement allusion aux frontières Sud notamment ainsi qu‘aux frontières avec la Libye et la Tunisie. Sur un autre registre le ministre de l‘Intérieur a annoncé un programme de formation à partir de janvier de 2014 au profit des présidents d‘APC, des présidents d‘APW et des élus locaux. Un programme qui concerne le perfectionnement en matière de gestion. Selon Tayeb Belaïz, une équipe d‘experts est d‘ores et déjà à l‘œuvre en vue d‘élaborer un programme de formation dans le domaine de la gestion des communes et des wilayas pour l‘année 2014. Belaïz, qui répondait à une question orale d‘un sénateur, a indiqué que 14 structures de formation administrative relevant du ministère seront récupérées pour assurer une « formation méthodique et continue » avant d‘ajouter que « cette formation sera obligatoire ». Pour lui la commune est « avant tout un service public qui doit être gérée par des personnes compétentes et capables d‘offrir des prestations aux citoyens ». Enfin le ministre a annoncé que cette formation aura lieu en Algérie et dans des pays étrangers et ce en vue, dira-t-il, « d‘améliorer les prestations, développer les compétences et humaniser le service public ».