La téléphonie mobile de troisième génération (3G) est enfin disponible. L'ARPT vient de lancer les offres commerciales pour les 3 opérateurs Mobilis, Djezzy, Ooredoo. Désormais, la concurrence est ouverte pour chaque opérateur qui devra se déployer conformément au cahier de charges. La téléphonie mobile de troisième génération (3G) est enfin disponible. L'ARPT vient de lancer les offres commerciales pour les 3 opérateurs Mobilis, Djezzy, Ooredoo. Désormais, la concurrence est ouverte pour chaque opérateur qui devra se déployer conformément au cahier de charges. L'ARPT a annoncé sur son site jeudi dernier que « les opérateurs peuvent, désormais, procéder au lancement commercial de leur service 3G dans leurs wilayas respectives de déploiement conformément au cahier des charges ». Rappelons à cet effet que le déploiement de la 3G touchera 20 wilayas pour être généralisé plus tard. Les opérateurs qui ont mené une campagne marketing pour la téléphonie 3G vont commercialiser leurs offres en fonction des coûts et prix des abonnements, des puces et des smartphones et tablettes déjà disponibles. Mobilis, Ooredoo (ex-Nedjma) et Djezzy avaient reçu le 3 décembre dernier les notifications officielles de leurs licences définitives 3G dont le décret exécutif avait été signé la veille par le gouvernement. De son côté, l'ARPT a veillé au grain pour ne pas dépasser la date du 15 décembre pour le lancement des offres commerciales. Ce qui est une prouesse vu le retard cumulé depuis deux ans sur le lancement de la 3G. Les décisions prises par l'autorité de la régulation ont pour but « d'encadrer strictement les conditions d'abonnement aux services de la licence 3G ». La première est celle qui vise à « séparer strictement les deux licence GSM et 3G en dépit de l'exception accordée par l'ARPT aux opérateurs de la commercialisation d'une carte SIM/USIM commune aux deux numéros GSM/3G pour les abonnés qui en expriment le souhait à l'opérateur ». La deuxième décision permettra a « cette césure nette entre les deux licences (GSM/3G) transparaisse dans les revenus engrangés au titre de chacune d'elles afin que les redevances assises sur le chiffre d'affaires de l'une ou de l'autre, ne souffrent pas d'ambiguïté ». L'ARPT indique qu'à ce titre « utiliser le numéro GSM sur le réseau 3G n'est pas autorisé pour l'heure par le régulateur dans ladite décision ». Concernant la seconde décision, l'ARPT a précisé qu'il s'agissait de mettre en place « le mode opératoire d'une identification précise et incontestable de chaque abonné postpayé ou prépayé, gage de la constitution par les opérateurs d'une base de données de leurs clients 3G cohérente et fiable ». L'identification précise de chaque abonné peut « assurer le régulateur que la statistique déclarée de leurs abonnés ne souffre pas des incohérences déjà rencontrées à l'occasion de la licence GSM comme la réunion d'un nombre anormalement important de numéros différents pour une seule et même personne ou même l'absence totale d'identification » explique encore l'ARPT. Pour le souci de la transparence, l'autorité de régulation souligne clairement que « la garantie du respect de cette obligation ne peut se faire que de visu par le déplacement de l'usager aux agences commerciales ou points de vente agrées de l'opérateur, conformément au cahier des charges ». en ajoutant que «de telles dispositions sont de nature en outre à préserver l'usager d'une identification erronée ou confuse qui pourrait lui causer des désagréments en cas d'enquêtae judiciaire à l'occasion d'une utilisation malveillante d'une carte SIM identifiée à tort en son nom ». L'ARPT a annoncé sur son site jeudi dernier que « les opérateurs peuvent, désormais, procéder au lancement commercial de leur service 3G dans leurs wilayas respectives de déploiement conformément au cahier des charges ». Rappelons à cet effet que le déploiement de la 3G touchera 20 wilayas pour être généralisé plus tard. Les opérateurs qui ont mené une campagne marketing pour la téléphonie 3G vont commercialiser leurs offres en fonction des coûts et prix des abonnements, des puces et des smartphones et tablettes déjà disponibles. Mobilis, Ooredoo (ex-Nedjma) et Djezzy avaient reçu le 3 décembre dernier les notifications officielles de leurs licences définitives 3G dont le décret exécutif avait été signé la veille par le gouvernement. De son côté, l'ARPT a veillé au grain pour ne pas dépasser la date du 15 décembre pour le lancement des offres commerciales. Ce qui est une prouesse vu le retard cumulé depuis deux ans sur le lancement de la 3G. Les décisions prises par l'autorité de la régulation ont pour but « d'encadrer strictement les conditions d'abonnement aux services de la licence 3G ». La première est celle qui vise à « séparer strictement les deux licence GSM et 3G en dépit de l'exception accordée par l'ARPT aux opérateurs de la commercialisation d'une carte SIM/USIM commune aux deux numéros GSM/3G pour les abonnés qui en expriment le souhait à l'opérateur ». La deuxième décision permettra a « cette césure nette entre les deux licences (GSM/3G) transparaisse dans les revenus engrangés au titre de chacune d'elles afin que les redevances assises sur le chiffre d'affaires de l'une ou de l'autre, ne souffrent pas d'ambiguïté ». L'ARPT indique qu'à ce titre « utiliser le numéro GSM sur le réseau 3G n'est pas autorisé pour l'heure par le régulateur dans ladite décision ». Concernant la seconde décision, l'ARPT a précisé qu'il s'agissait de mettre en place « le mode opératoire d'une identification précise et incontestable de chaque abonné postpayé ou prépayé, gage de la constitution par les opérateurs d'une base de données de leurs clients 3G cohérente et fiable ». L'identification précise de chaque abonné peut « assurer le régulateur que la statistique déclarée de leurs abonnés ne souffre pas des incohérences déjà rencontrées à l'occasion de la licence GSM comme la réunion d'un nombre anormalement important de numéros différents pour une seule et même personne ou même l'absence totale d'identification » explique encore l'ARPT. Pour le souci de la transparence, l'autorité de régulation souligne clairement que « la garantie du respect de cette obligation ne peut se faire que de visu par le déplacement de l'usager aux agences commerciales ou points de vente agrées de l'opérateur, conformément au cahier des charges ». en ajoutant que «de telles dispositions sont de nature en outre à préserver l'usager d'une identification erronée ou confuse qui pourrait lui causer des désagréments en cas d'enquêtae judiciaire à l'occasion d'une utilisation malveillante d'une carte SIM identifiée à tort en son nom ».