Les importations algériennes de lait de transformation ont poursuivi leur recul durant les onze mois de 2013 à 989,357 millions de dollars, contre 1,026 milliard de dollars à la même période de l'année écoulée, en baisse de près de 3,6%, a-t-on appris auprès des Douanes algériennes. Les importations algériennes de lait de transformation ont poursuivi leur recul durant les onze mois de 2013 à 989,357 millions de dollars, contre 1,026 milliard de dollars à la même période de l'année écoulée, en baisse de près de 3,6%, a-t-on appris auprès des Douanes algériennes. Les quantités de lait importées ont également chuté de près de 12,4%, passant de 280.010 tonnes durant les onze premiers mois de 2012 à 245.335 tonnes à la même période de 2013, indique le Centre national de l'informatique et des statistiques (CNIS) des Douanes. L'Etat, qui consacre annuellement plus de 46 milliards DA au soutien de la filière lait, encourage la production locale dans le but notamment de réduire la facture d'importation. A cet effet, un dispositif de développement de la production laitière nationale a été mis en place. Il prévoit, entre autres, une prime de 4 DA/litre pour l'intégration du lait cru dans le processus de transformation, alors que les laiteries qui utilisent la totalité de leurs capacités pour la production du lait en sachet à partir du lait cru ont une prime de 7 DA/litre. Ce dispositif prévoit également plusieurs mesures incitatives "importantes" au profit des éleveurs, des collecteurs, des transformateurs et récemment même des producteurs de certains aliments de bétail comme le maïs et la luzerne. Grâce à ces mesures d'encouragement, la production laitière a atteint 3,4 milliards de litres durant la campagne 2012-2013 contre 3,2 lors de la précédente, selon les chiffres communiqués par le ministère de l'Agriculture et du Développement rural. La collecte de lait cru a légèrement progressé lors de la campagne écoulée dépassant les 700 millions de litres contre 687,9 millions de litres l'année d'avant, selon le ministère. Le développement de la filière lait s'inscrit dans le cadre de la politique agricole, dont l'objectif est de mettre en place une filière laitière intégrée et rassemblant les différents acteurs intervenant soit en amont ou en aval de cette filière (producteurs, collecteurs, transformateurs, structures techniques, office interprofessionnel et fournisseurs des intrants). La facture des laits et produits laitiers a atteint 1,19 milliard de dollars en 2012 contre 1,42 milliard de dollars en 2011. Les quantités de lait importées ont également chuté de près de 12,4%, passant de 280.010 tonnes durant les onze premiers mois de 2012 à 245.335 tonnes à la même période de 2013, indique le Centre national de l'informatique et des statistiques (CNIS) des Douanes. L'Etat, qui consacre annuellement plus de 46 milliards DA au soutien de la filière lait, encourage la production locale dans le but notamment de réduire la facture d'importation. A cet effet, un dispositif de développement de la production laitière nationale a été mis en place. Il prévoit, entre autres, une prime de 4 DA/litre pour l'intégration du lait cru dans le processus de transformation, alors que les laiteries qui utilisent la totalité de leurs capacités pour la production du lait en sachet à partir du lait cru ont une prime de 7 DA/litre. Ce dispositif prévoit également plusieurs mesures incitatives "importantes" au profit des éleveurs, des collecteurs, des transformateurs et récemment même des producteurs de certains aliments de bétail comme le maïs et la luzerne. Grâce à ces mesures d'encouragement, la production laitière a atteint 3,4 milliards de litres durant la campagne 2012-2013 contre 3,2 lors de la précédente, selon les chiffres communiqués par le ministère de l'Agriculture et du Développement rural. La collecte de lait cru a légèrement progressé lors de la campagne écoulée dépassant les 700 millions de litres contre 687,9 millions de litres l'année d'avant, selon le ministère. Le développement de la filière lait s'inscrit dans le cadre de la politique agricole, dont l'objectif est de mettre en place une filière laitière intégrée et rassemblant les différents acteurs intervenant soit en amont ou en aval de cette filière (producteurs, collecteurs, transformateurs, structures techniques, office interprofessionnel et fournisseurs des intrants). La facture des laits et produits laitiers a atteint 1,19 milliard de dollars en 2012 contre 1,42 milliard de dollars en 2011.