Le sommet des pays voisins de la Centrafrique s'est ouvert jeudi dernier. Le président Michel Djotodia et son Premier ministre sont, désormais, en sursis. Les pays voisins de la Centrafrique étaient réunis jeudi à N'Djamena pour mettre le président centrafricain, Michel Djotodia, désormais en sursis, au défi de rétablir l'ordre dans son pays ensanglanté par les violences. En ouvrant ce sommet "extraordinaire" de la Communauté économique des Etats d'Afrique centrale (CEEAC), qu'il a convoqué en tant que président en exercice, le chef de l'Etat tchadien, Idriss Déby Itno, a invité les participants à observer une minute de silence "face à cette tragédie vécue par les Africains en Centrafrique". Le sommet des pays voisins de la Centrafrique s'est ouvert jeudi dernier. Le président Michel Djotodia et son Premier ministre sont, désormais, en sursis. Les pays voisins de la Centrafrique étaient réunis jeudi à N'Djamena pour mettre le président centrafricain, Michel Djotodia, désormais en sursis, au défi de rétablir l'ordre dans son pays ensanglanté par les violences. En ouvrant ce sommet "extraordinaire" de la Communauté économique des Etats d'Afrique centrale (CEEAC), qu'il a convoqué en tant que président en exercice, le chef de l'Etat tchadien, Idriss Déby Itno, a invité les participants à observer une minute de silence "face à cette tragédie vécue par les Africains en Centrafrique". Un seul constat doit être fait et il est amer : la RCA (République centrafricaine) subit au plus profond d'elle-même les agissements de ses propres fils plongeant leur pays dans une guerre qui compromet dangereusement son avenir", a ajouté Idriss Déby Itno, en présence, notamment, du président centrafricain et de son Premier ministre, Nicolas Tiangaye. "Nous avons le devoir (...) de faire montre de plus de solidarité et de détermination pour sortir la Centrafrique de son abîme. Il nous faut de plus en plus des actes concrets et décisifs", a réclamé le président tchadien avant le début des travaux à huis clos. Un seul constat doit être fait et il est amer : la RCA (République centrafricaine) subit au plus profond d'elle-même les agissements de ses propres fils plongeant leur pays dans une guerre qui compromet dangereusement son avenir", a ajouté Idriss Déby Itno, en présence, notamment, du président centrafricain et de son Premier ministre, Nicolas Tiangaye. "Nous avons le devoir (...) de faire montre de plus de solidarité et de détermination pour sortir la Centrafrique de son abîme. Il nous faut de plus en plus des actes concrets et décisifs", a réclamé le président tchadien avant le début des travaux à huis clos.