Le secrétaire général du FLN, Amar Saidani, semble avoir réussi son coup. Lui qui tenait énormément au meeting d'hier, il a réussi sa démonstration de force, car il y avait beaucoup de monde hier sous le chapiteau limitrophe à la salle omnipsorts du complexe olympique Med-Boudiaf. Le secrétaire général du FLN, Amar Saidani, semble avoir réussi son coup. Lui qui tenait énormément au meeting d'hier, il a réussi sa démonstration de force, car il y avait beaucoup de monde hier sous le chapiteau limitrophe à la salle omnipsorts du complexe olympique Med-Boudiaf. Des milliers de militants ont en effet répondu présents à l‘appel de la direction du vieux parti. Ce qui devait être une rencontre nationale des élus du parti s‘est finalement transformée en un meeting où tout était dédié au quatrième mandat pour le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dont les portraits ornaient la salle. D‘ailleurs c‘était là le véritable motif de cette rencontre si bien que bien avant le début du discours de Saidani, le mouhafedh de Cheraga a donné le ton en réitérant devant l‘assistance que le chef de l‘Etat est le candidat du parti lors des prochaines élections présidentielles. Le ton est alors monté d‘un cran lorsque le secrétaire géneral du FLN a pris la parole. Amar Saidani a, d‘emblée, exhorté le président Abdelaziz Bouteflika à briguer un quatrième mandat. La salle s‘emflamme alors aux cris de "Bouteflika , Bouteflika ". Et à l‘orateur d‘enchaîner : "Notre candidat est le président du parti, le président de la République Boutelika". C‘est alors le délire dans la salle qui, aux cris "Allah Akbar, Bouteflika" aquiesce. A ce moment précis, l‘ex-secretaire géneral du parti, Abdelaziz Belkhadem, fait son entrée dans la salle. Du haut de la tribune, Saidani marque alors un petit temps d‘arrêt dans son allocution avant de lancer: "Certains veulent gâcher cette fête, mais hélas le Président est candidat. Le président de la République algérienne démocratique et populaire est candidat pour un quatrième mandat". Beaucoup se sont interrogés, à juste titre d‘ailleurs, sur la signification de la présence de Abdelaziz Belkhadem qui, pour rappel, a été "débarqué" du parti il y a exactement presque une année.Saidani visait-il Belkhadem quand il a déclaré que certains veulent gâcher la fête ? Apparement non, puisque le secrétaire général contesté du vieux parti s‘est ensuite attaqué à ses détracteurs qui ambitionnent de l‘évincer du secrétariat général dans les prochains jours. "Ce sont des chargés de mission, mais laissez-les, leur mission s‘achèvera au mois d‘avril 2014" a martelé l‘orateur. D‘aucuns ont compris que ses propos étaient destinés au groupe de Belayat et de Abada que Saidani a déja accusé d‘être contre le quatrième mandat de Bouteflika. Un quatrième mandat qui est, en tout cas, une question déja tranchée dans l‘esprit de Saidani ." La question du candidat du FLN aux élections présidentielles, qui est du ressort des instances, a été tranchée par le comité central du parti. Le parti continue de revendiquer la révision de la Constitution , mais cela est du ressort du Président qui décidera quand et pourquoi", affirme Amar Saidani. Ce dernier , dont le discours fut très bref puisque il n‘a pas dépassé les dix minutes, a indiqué, à l‘adresse de l‘assistance : "J‘estime que vous avez plébiscité le Président pour un quatrième mandat" . Il a , par conséquent , invité les militants à se préparer dès maintenant à la campagne électorale. Cela dit, sur certaines zones d‘ombre qui persistent il est certain que Saidani ne manquera pas de donner d‘autres précisions aujourd‘hui lors de la conférence de presse qu‘il animera dans l‘après-midi. Des milliers de militants ont en effet répondu présents à l‘appel de la direction du vieux parti. Ce qui devait être une rencontre nationale des élus du parti s‘est finalement transformée en un meeting où tout était dédié au quatrième mandat pour le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dont les portraits ornaient la salle. D‘ailleurs c‘était là le véritable motif de cette rencontre si bien que bien avant le début du discours de Saidani, le mouhafedh de Cheraga a donné le ton en réitérant devant l‘assistance que le chef de l‘Etat est le candidat du parti lors des prochaines élections présidentielles. Le ton est alors monté d‘un cran lorsque le secrétaire géneral du FLN a pris la parole. Amar Saidani a, d‘emblée, exhorté le président Abdelaziz Bouteflika à briguer un quatrième mandat. La salle s‘emflamme alors aux cris de "Bouteflika , Bouteflika ". Et à l‘orateur d‘enchaîner : "Notre candidat est le président du parti, le président de la République Boutelika". C‘est alors le délire dans la salle qui, aux cris "Allah Akbar, Bouteflika" aquiesce. A ce moment précis, l‘ex-secretaire géneral du parti, Abdelaziz Belkhadem, fait son entrée dans la salle. Du haut de la tribune, Saidani marque alors un petit temps d‘arrêt dans son allocution avant de lancer: "Certains veulent gâcher cette fête, mais hélas le Président est candidat. Le président de la République algérienne démocratique et populaire est candidat pour un quatrième mandat". Beaucoup se sont interrogés, à juste titre d‘ailleurs, sur la signification de la présence de Abdelaziz Belkhadem qui, pour rappel, a été "débarqué" du parti il y a exactement presque une année.Saidani visait-il Belkhadem quand il a déclaré que certains veulent gâcher la fête ? Apparement non, puisque le secrétaire général contesté du vieux parti s‘est ensuite attaqué à ses détracteurs qui ambitionnent de l‘évincer du secrétariat général dans les prochains jours. "Ce sont des chargés de mission, mais laissez-les, leur mission s‘achèvera au mois d‘avril 2014" a martelé l‘orateur. D‘aucuns ont compris que ses propos étaient destinés au groupe de Belayat et de Abada que Saidani a déja accusé d‘être contre le quatrième mandat de Bouteflika. Un quatrième mandat qui est, en tout cas, une question déja tranchée dans l‘esprit de Saidani ." La question du candidat du FLN aux élections présidentielles, qui est du ressort des instances, a été tranchée par le comité central du parti. Le parti continue de revendiquer la révision de la Constitution , mais cela est du ressort du Président qui décidera quand et pourquoi", affirme Amar Saidani. Ce dernier , dont le discours fut très bref puisque il n‘a pas dépassé les dix minutes, a indiqué, à l‘adresse de l‘assistance : "J‘estime que vous avez plébiscité le Président pour un quatrième mandat" . Il a , par conséquent , invité les militants à se préparer dès maintenant à la campagne électorale. Cela dit, sur certaines zones d‘ombre qui persistent il est certain que Saidani ne manquera pas de donner d‘autres précisions aujourd‘hui lors de la conférence de presse qu‘il animera dans l‘après-midi.